On peut participer à un essai clinique en toute connaissance de cause pour faire avancer la science et les traitements.
On peut aussi interdire tous les essais cliniques sur les hommes et les animaux et se faire soigner par des sorciers.
Je prefere la première solution avec un encadrement trés precis; j ai participé à un essai therapeutique et j 'ai eu un délai de 30 jours de reflexion avant que l'essai ne débute; j'ai été suivi minutieusement durant les 18 mois de cet essai. Jamais je n'ai eu la sensation de mettre ma vie en danger ou de soumettre mon organisme à rude épreuve.
Ce qui serait anormal c'est de faire participer les patients à leur insu ou contre rémunération à des essais; je sais que est pratiqué ou que cela se pratique dans certains pays.
Et n oublions pas que les entreprises et les marques nous scrutent et nous testent à travail nos visites sur le web et l utilisation de nos portables; là j'ai le sentiment d'être un pigeon.
..grâce à eux je suis encore en vie après 34 ans de coinfection VIH/VHC, et ils nous ont permis d'avoir aujourd'hui des traitements efficaces, dont peut-être tu profites !!!!
Mais seulement responsable de mes actes pour moi et pour les autres.
J'ai participé à des essais, notemment à l'arrivée du Kaletra, et ça m'a probablement sauvé la vie à l'époque tout en profitant à des milliers de sréopos ensuite.
Je participe de nouveau à un essai de monothérapie Tivicay librement consenti entre le médecin et moi.
Le concept en lui même est très bizarre se faire administré des médicaments sans savoir les effet secondaire possible c'est jouer a la roulette russe ou être un pigeon, (aider les labo a faire des profit en se mettant en danger) dans l'ancien temp seul les esclave ,prisonnier été soumis a ces test macabre ...
C'est un avis personnel ... Et ces mon blog :)
Permalien Par barberousse 11 Octobre 2015, 21:09:00
Moi aussi, je participe à un Essai.
Et celà dure depuis dix ans.
Je ne vois rien venir, ni chute de T4, ni explosion de ma charge virale.
C'est frustrant.
Je culpabilise.
Pourquoi Moi?
Contrairement à la majorité sur ce site,
je ne prends pas de médicament ni d'injections ou lavage de sperme ou sang.
Je fais partie de la cohorte anrs codex pour les natural killers ; j'ai le sida
mais je ne développe pas la maladie.
Et pourtant je souffre. L'inflammation est réelle, je peux avoir
- un cancer de la gorge (suis fumeuse et consommatrice de produits psychoactifs),
- du sein (j'ai un nodule aux contours réguliers contrôlés depuis six ans),
- un début de diabète et des migraines qui me font pressentir un commencement d'avc.
Face à ces angoisses, je suis naturellement suivie par un psy, je suis dans la phase phorique (clin d'oeil à imim).
Certes ! Je ne suis pas médecin.
Cependant, je suis parfaitement d'accord avec Lavie-en-rose dans le débat qui l'opposait à Frabro et Seliah sur les compétences des acteurs de santé ; médecins, biologistes, pharmaciens, chercheurs versus le cercle vertueux des usagers des systèmes de soin, les associations de patients, les personnes séropositives aux revendications militantistes, etc.
Je soufre doublement :
L'hôpital qui me suit, infirmières, médecins chercheurs ne veulent pas interrompre l'essai.
"Pourquoi voulez vous prendre un traitement alors que vous n'êtes pas malade?".
Mon bilan est remarquable, comme ils disent, avec T4>1600 CV<130 copies
et, ce, depuis vingt deux ans, l'infection est maîtrisée.
Mais moi je veux une charge virale indétectable inférieure à 1copie!
Mais non. Je n'aurais pas de traitement suppressif de ma virologie !
Les labos (que je ne citerai pas car n'étant pas payé pour lol), ont besoin de mon sang pour comprendre pourquoi leur traitement arv et molécules tenofovir fumirate cocubistacés rakaïmono eil,
n'arrivent pas à supprimer définitivement le virus.
Alors on accuse les niches virales (et fiscales, comme le souligne Gaylux ici "être un cobbaye, être un pigeon" avec les rouages geo-politico-économiques...
C'est à cause des migrants ! les souches font de la résistance !
Donc, vous aurez compris ma démarche ; les chercheurs, payés par les labos, ne cherchent pas
de suite un vaccin, un CURE.
Ils veulent juste rentabiliser leurs investissements en améliorant leur compréhension de l'échec des traitements arv mono, bi, tri, quadri, penta? (gone) à éradiquer le virus
et celle des mécanismes de défense naturelle des cellules tueuses du vih, présentes chez de rares personnes.
C'est cette dernière question qui intéresse particulièrement la recherche génétique avec le gène hybride hérité des hommes préhistoriques et présent chez seulement 1 à 2% de la population mondiale. Mais là, je m'égare, j'en dis trop et je ne suis pas médecin, na !
Pour les sceptiques, les cobbayes en France, sont bien mieux lotis aujourd'hui que les pauvres boucs émissaires qu'on a tués et contaminés en Afrique, Asie, Inde et ailleurs dans le monde....avant de mettre le kiva la et touvala sur les marchés pour faire baisser la charge virale intra communautaire...
Qu'ai je encore dit? la charge virale communautaire? et Leibo, on en met moins ou plus? bisouilles à tutti
Commentaires
Essai réussi
Bonjour,
On peut participer à un essai clinique en toute connaissance de cause pour faire avancer la science et les traitements.
On peut aussi interdire tous les essais cliniques sur les hommes et les animaux et se faire soigner par des sorciers.
Je prefere la première solution avec un encadrement trés precis; j ai participé à un essai therapeutique et j 'ai eu un délai de 30 jours de reflexion avant que l'essai ne débute; j'ai été suivi minutieusement durant les 18 mois de cet essai. Jamais je n'ai eu la sensation de mettre ma vie en danger ou de soumettre mon organisme à rude épreuve.
Ce qui serait anormal c'est de faire participer les patients à leur insu ou contre rémunération à des essais; je sais que est pratiqué ou que cela se pratique dans certains pays.
Et n oublions pas que les entreprises et les marques nous scrutent et nous testent à travail nos visites sur le web et l utilisation de nos portables; là j'ai le sentiment d'être un pigeon.
Max
Je dirais encore +
On est pris pour des c**
..merci ..
.. à tous les "cobayes/pigeons" !..
..grâce à eux je suis encore en vie après 34 ans de coinfection VIH/VHC, et ils nous ont permis d'avoir aujourd'hui des traitements efficaces, dont peut-être tu profites !!!!
Ni cobaye ni pigeon
Mais seulement responsable de mes actes pour moi et pour les autres.
J'ai participé à des essais, notemment à l'arrivée du Kaletra, et ça m'a probablement sauvé la vie à l'époque tout en profitant à des milliers de sréopos ensuite.
Je participe de nouveau à un essai de monothérapie Tivicay librement consenti entre le médecin et moi.
Je partage pleinement les avis de koala et cyril.
preter ou vendre son corp a la médecine
Le concept en lui même est très bizarre se faire administré des médicaments sans savoir les effet secondaire possible c'est jouer a la roulette russe ou être un pigeon, (aider les labo a faire des profit en se mettant en danger) dans l'ancien temp seul les esclave ,prisonnier été soumis a ces test macabre ...
C'est un avis personnel ... Et ces mon blog :)
en seconde intention
Moi aussi, je participe à un Essai.
Et celà dure depuis dix ans.
Je ne vois rien venir, ni chute de T4, ni explosion de ma charge virale.
C'est frustrant.
Je culpabilise.
Pourquoi Moi?
Contrairement à la majorité sur ce site,
je ne prends pas de médicament ni d'injections ou lavage de sperme ou sang.
Je fais partie de la cohorte anrs codex pour les natural killers ; j'ai le sida
mais je ne développe pas la maladie.
- un cancer de la gorge (suis fumeuse et consommatrice de produits psychoactifs),
- du sein (j'ai un nodule aux contours réguliers contrôlés depuis six ans),
- un début de diabète et des migraines qui me font pressentir un commencement d'avc.
Face à ces angoisses, je suis naturellement suivie par un psy, je suis dans la phase phorique (clin d'oeil à imim).
Certes ! Je ne suis pas médecin.
Cependant, je suis parfaitement d'accord avec Lavie-en-rose dans le débat qui l'opposait à Frabro et Seliah sur les compétences des acteurs de santé ; médecins, biologistes, pharmaciens, chercheurs versus le cercle vertueux des usagers des systèmes de soin, les associations de patients, les personnes séropositives aux revendications militantistes, etc.
Je soufre doublement :
L'hôpital qui me suit, infirmières, médecins chercheurs ne veulent pas interrompre l'essai.
"Pourquoi voulez vous prendre un traitement alors que vous n'êtes pas malade?".
Mon bilan est remarquable, comme ils disent, avec T4>1600 CV<130 copies
et, ce, depuis vingt deux ans, l'infection est maîtrisée.
Mais moi je veux une charge virale indétectable inférieure à 1copie!
Mais non. Je n'aurais pas de traitement suppressif de ma virologie !
Les labos (que je ne citerai pas car n'étant pas payé pour lol), ont besoin de mon sang pour comprendre pourquoi leur traitement arv et molécules tenofovir fumirate cocubistacés rakaïmono
eil,
n'arrivent pas à supprimer définitivement le virus.
Alors on accuse les niches virales (et fiscales, comme le souligne Gaylux ici "être un cobbaye, être un pigeon" avec les rouages geo-politico-économiques...
C'est à cause des migrants ! les souches font de la résistance !
Donc, vous aurez compris ma démarche ; les chercheurs, payés par les labos, ne cherchent pas
de suite un vaccin, un CURE.
Ils veulent juste rentabiliser leurs investissements en améliorant leur compréhension de l'échec des traitements arv mono, bi, tri, quadri, penta? (gone) à éradiquer le virus
et celle des mécanismes de défense naturelle des cellules tueuses du vih, présentes chez de rares personnes.
C'est cette dernière question qui intéresse particulièrement la recherche génétique avec le gène hybride hérité des hommes préhistoriques et présent chez seulement 1 à 2% de la population mondiale. Mais là, je m'égare, j'en dis trop et je ne suis pas médecin, na !
Pour les sceptiques, les cobbayes en France, sont bien mieux lotis aujourd'hui que les pauvres boucs émissaires qu'on a tués et contaminés en Afrique, Asie, Inde et ailleurs dans le monde....avant de mettre le kiva la et touvala sur les marchés pour faire baisser la charge virale intra communautaire...
Qu'ai je encore dit? la charge virale communautaire? et Leibo, on en met moins ou plus? bisouilles à tutti