Ta vie s’étiole au fil des jours
Laissant ta jeunesse derrière toi
Tu as la "maladie d'amour"
Et elle t'emmène à petits pas
Il est des saints à gueules d'anges
Que l'on croirait enfants des dieux
Mais qui insidieusement s'arrangent
Pour, dans l' coeur te planter un pieu
Et ils sont là qui font les beaux
Et t'attirent dans leurs pièges mortels
Est assassin l'infâme salaud
Qui t'as tué dans un "je t'aime"
Puis la nouvelle, comme un séisme
Qui tombe à plat et qui résonne
Et moi, le roi de l'égoïsme
Reste là, planté et aphone
Et voilà que l'espoir s'envole
Et ouvre grand la porte de l'angoisse
J'me met à prier des idoles
Que je n'ose regarder en face
Je les supplie, leur vend mon âme
Pour qu'ils t'accordent un long sursis
Pour que par de magiques charmes
Ils te rendent ta si jeune vie
L'amour à beau nous rendre fort
Tellement de purs dangers le guettent
C'est comme flirter avec la mort
Même si on l'perd parfois d'la tête
***************************
Poème lu sur le net, auteur : inconnu
- Blog de manulyon
- Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour publier un commentaire
- 509 lectures
- Envoyer par mail