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Mots clés  : recherche vaccinale

Bonsoir, Pour votre information voici une publication vue aujourd'hui sur le compte Facebook de Biosantech...A suivre avant de juger. http://vaccines-immunization.conferenceseries.com/renowned-… Bonjour à tous, Le Dr Erwann Loret a été invité en tant que conférencier au congrès de Berlin "Vaccines and Immunization" qui se tiendra le lundi 20 et mardi 21 février. Le titre de sa conférence est : un espoir raisonnable de guérir du Sida avec le vaccin Tat Oyi, dont le sujet rapporte l'évolution des résultats sur le suivi de la cohorte en double aveugle de la phase I/IIa de l'essai clinique. Résultats qui, après avoir été approuvés par les scientifiques de la communauté internationale de Berlin feront l'objet d'une conférence de presse le 28 février 2017.

Commentaires

Portrait de unepersonne

pour l'heure le vaccin biosantech est encore en phase de tests il y en a 3 , une partie de ceux ci ont été validé par la communauté scientifique ce qui signifie que les etudes les essais vont dans le bon sens, les autres phases de tests continuent sur 48 patients volontaires  et demandent encore validation par la communauté scientifique , si tout se passe comme prevu le vaccin devrait avoir son AAM d'ici 2018 d'apres mes sources or dans ce milieu rien n'est moins sur

Portrait de petitespoir726

L'absence de nouveautés sur cette polemique va dans le sens d'un enième truc qui fait pshit...

 biosantech aurait elle fait une annonce juste afin de recolter des fonds ou de faire monter sa cote boursiere?

Portrait de Exit

... ceux qui communiquent trop c'est pas trop bon, toute manière faut pas rêver, il y aura rien avant au moins 20 ans ! 

Portrait de Saamred

Putin non pas 20 ans quand même si ?

Moi j'éspèrais un traitement type mensuel ou vaccin comme ils sont en train de le faire en essai dans les hopitaux parisiens d'ici 2 ans max parce que 20 c'est trop ...

Portrait de petitespoir726

traitement mensuel ça peut arriver dans les années proches je pense, charlie sheen est sous pro 140 et a tourné un film cette année, c'est  que ça doit être bon.

pour le vaccin, on espere tous le voir demain, mais on aurait déjà des infos...

c'est pour ça que je pose la question sur biosantech...comme dit Exit, ceux qui communiquent pas, c'est pas bon, ne serait ce  que pour leur cote boursière...

Portrait de Exit

... les traitements mensuels ne sont pas concluants.

Il suffit de voir que rien que pour sortir le Genvoya qui est juste un dérivé de Stribild, il a fallut des années.

Donc je pense 10-20 ans avant un traitement mensuel, 30 ans et plus avant la guérison fonctionnelle, il faut être réaliste. 

Portrait de pascal13100

T'es super negatif quand même. Ces derniers années des progres enorme on etait fait, et la recherche est facilité grace au nouveau ordinateur. Je pense qu'on sera surpris. Il y a beaucoup de piste de traitement different

Portrait de Exit

Même si demain on nous annonçait qu'un traitement a été trouvé pour tuer définitivement le vih, il faut en moyenne 15 ans pour le tester et le mettre sur le marché.

Portrait de pascal13100

La mise sure le marché, test... prend plus ou moins 5 ans. Si l'on trouve un moyen de combattre definitivement ce virus je suis sur (Pays du Nord) que nous pourrions etre traité plus rapidement. Je comprend pas qu'apporte ta negativité au problème. Si l'on parle recement d'esperance de vie casi egal entre un patient traité en 2009 et un seronegatif, avec l'allegement, les nouveau medicament (trivicay)... Nous pourrions facile encore augmenter cette esperance de vie. Moi je parie sur un traitemnt curatif foncionel d'ici 10 ans. Si pas moins

Bonne journée

Portrait de Saamred

... que c'est entre les 5 et 10 prochaines années qui y'aura du gros changement du moins j'éspère.

Et Pascal c'est le tivicay pas le trivacay lol tu le dis tout le temps :)
Après question qualité et espérance de vie j'y crois pas trop parce que le virus nous fatigue quand même (activation et inflammation du corps,systeme immunitaire) sans parler de l'usure précoce de l'organisme,et tous les problèmes métaboliques : cardiovasculaires,glycémique,cholestérol,osseux,reinaux,et concernant le foie enfin bref traitement allégé ou pas on ne ne peut pas dire que ça n'a aucune répercussion et même le tivicay et les derniers traitements,c'est pire aussi les derniers traitements notamment la classe anti intégrase qui est très récente car on n'a pas le recul pour savoir dans quelques années ...

Portrait de petitespoir726

Moi j'ai envie de croire en Abivax, c'est pas au top pour l'instant mais ce sont les 1ers à avoir réussi à attaquer les reservoirs, je suis pas infectio mais si leur cote boursière a explosé c'est que ça devait être prometteur (j'ai par contre pas compris l'histoire de "la charge virale des patients a baissé de 40%" vu que c'est en parallele de la tri et que du coup elle est deja supposée être nulle...) après c'est vrai que les annonces de miracles tu retrouves les memes en 2015,2010,2005,2000....et ça n'a rien donné...

mais l'eternel problème oui c'est le recul, qui ne nous dit pas qu'a 70 ans une majorité ne seront plus en mesure d'avoir une vie normale car trop épuisé par la tri

Portrait de franckysud

pour l'espérance de vie, il ne s'agit pas de croire ou pas, ce sont des éléments statistiques.

par contre, effectivement, celà ne donne aucun éléments sur le  "en quel état".

un effet secondaire du fait d'être S+ (et pour une fois, dans le bon sens), c'est qu'on est suivis régulièrement au niveau médical avec plus d'attention que le reste de la population, et donc, de nombreux problèmes qui ne sont pas dû au VIH peuvent être déctecté à temps.

quand je me regarde je m'inquiète quand je me compare je me rassure.

Portrait de pascal13100

Oui mais rapellez vous que nous avons deja eu un guerri en 2009. C'est une personne unique mais ca prpuve qu il est possible de guerrir. En plus nous avons de plus en plus de piste sur la guerrison. Je suis sur que certain traitement pourront etre benefique comme le pro 140... Charly Sheen parle d'une revolution. Je sais que beaucoup se gens sont septique sur ces dires mais que gagne il a dire des mensonge. C'est un s+ tout comme nous. A voir en 2018. De plus nous attendons encore les resultat du shock and kill qui est en développement depuis au moins 3 ans par de tres grande université Anglaise qui recherche plus la renomé que lo profit

Portrait de unepersonne

guerir du sida ! je m'imagine bien seronegatif, retrouver la forme physique, l'appetit, le sommeil , le moral , ne plus avoir peur de la mort tous les jours, ne plus etre exclus, vivre une vie normale ,  or une fois gueri du sida, garderions nous ou pas les sequelles physiques de 30 années d'ARV pour certains ? 

les nouveaux contaminés des années 2010 connaitrons peut etre cette guerison  attendue/esperée/revée , j'ai moins d'espoir pour les anciens comme moi qui sont VIH depuis 30 ans dejà 

qu'ils se depechent dans leurs labos les scientifiques les virologues et compagnie de nous sortir de ce trou sans fond , qu'ils se depechent put.... ! 

 

Portrait de petitespoir726

Unepersonne, dans la page precedente tu dis que la dame de biosantech est ton infectio depuis les 90s et son vaccin arrive bientot alors je ne comprends pas ton message...

Portrait de lucie06

Alors la nouvelle ministre de la santé est Madame Agnes Buzym Levy...

Madame la Ministre de la santé est l'épouse d'Yves Levy...Yves Levy est le directeur de l'INSERM...Yves LEVY a développé et encadré des projets de vaccin contre le sida dans le cadre de ses fonctions .

A l'époque de la nomination d'Yves Levy (juin 2014) le professeur Delfraissy avait souligné l'aide apportée par Levy à  dans le cadre des projets de vaccins développés par l'ARNS dont il était diricteur (sans résultat à ce jour)

Yves Levy et Erwan Loret (chercheur en relation avec Biosantech) semblent donc être des concurrents

Il faudra être vigilant du coté des conflits d'interêt...mais pas de procés d'intention...juste de la vigilance

Bonne journée

Portrait de lucie06

Pour mieux connaître notre nouvelle ministre de la santé

Médiapart - CONFLITS D’INTÉRÊTS, Les petits arrangements de la nouvelle présidente de la Haute autorité de santé  article de mars 2016




Agnès Buzyn, qui prend ce lundi ses fonctions à la tête de la haute-autorité de santé HAS), acteur clé du système de santé français, considère que les liens d’intérêt entre experts et laboratoires pharmaceutiques sont un gage de compétence. Plusieurs militants de la transparence comme le docteur Irène Frachon, à l’origine du scandale du Mediator, s’inquiètent auprès de Mediapart.

Au moins, les choses sont claires. « L’industrie pharmaceutique joue son rôle, et je n’ai jamais crié avec les loups sur cette industrie.

Il faut expliquer que vouloir des experts sans aucun lien avec l’industrie pharmaceutique pose la question de la compétence des experts. » Tels furent les propos tenus par le professeur Agnès Buzyn, alors présidente de l’Institut national du cancer (INCA) et qui vient d’être nommée ce lundi à la tête de la Haute Autorité de santé (HAS), lors d’une réunion organisée par le Nile, un cabinet de lobbying, en février 2013 3. Entendue au Sénat le 20 janvier dernier, dans le cadre de travaux de la commission des affaires sociales, elle n’a pas changé de position.

Agnès Buzyn, la nouvelle présidente de la Haute Autorité de santé. © DR


Intitulée « Prévention des conflits d’intérêts en matière d’expertise sanitaire », cette table ronde, loin de chercher à limiter les conflits d’intérêts en santé publique, avait au contraire pour cible la loi Bertrand. Adoptée en décembre 2011, à la suite du scandale du Mediator, cette loi vise à prévenir les conflits d’intérêts et à renforcer l’indépendance de l’expertise sanitaire publique. Elle rend obligatoire pour les professionnels de santé et décideurs publics la déclaration publique de leurs liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique. De leur côté, les laboratoires doivent déclarer les avantages consentis aux professionnels de santé, aux associations et aux fondations.

Mais cette avancée dans la prévention des conflits d’intérêts ne fait pas l’unanimité. Une partie de ses détracteurs n’ont pas hésité à faire entendre leur voix devant les sénateurs. Parmi eux, Agnès Buzyn a longuement expliqué que l’obligation de déclarer tout lien d’intérêt est devenue trop « handicapante » pour certains chercheurs. « Ils ne le supportent plus et refusent de venir aux expertises de l’INCA. On passe notre vie à écrire des mails d’excuses aux experts pour leur expliquer pourquoi on n’a pas pu les retenir à l’analyse de leurs déclarations. » Agnès Buzyn regrette de ne pouvoir prendre des chercheurs qui ont, avec l’industrie pharmaceutique, des liens d’intérêt pourtant susceptibles d’influencer leurs expertises.

Selon la nouvelle présidente de la HAS, agence sanitaire en charge de l’évaluation et du remboursement des médicaments, le fait de ne pas travailler avec des laboratoires met en doute la qualité de l’expertise. « Quand on voit les débats que nous avons avec nos tutelles (…), l’indépendance des experts est mise en avant et personne ne semble se soucier de la qualité de l’expertise. (…)

On commence à avoir des experts institutionnels qui n’ont plus aucun lien avec l’industrie pharmaceutique et dont on peut se demander, à terme, quelle va être leur expertise, puisqu’ils ne sont plus à aucun “board” [conseil de direction – ndlr] », a déploré Agnès Buzyn.

En quoi consiste exactement la mission de l’expert dans un “board” ? Cette question, aucun sénateur n’a eu la curiosité de la poser… Participer au “board” d’un laboratoire pharmaceutique ne relève pas de la recherche scientifique, mais consiste à conseiller l’industrie sur sa stratégie de marketing de développement d’un médicament.

C’est, aussi, intervenir dans des colloques. Est-ce vraiment là un gage de compétence ? Si l’intérêt scientifique semble minime, en revanche, le gain financier n’est pas négligeable. Certains professeurs peuvent être rémunérés 2 000 euros la journée, pour une réunion.

L’industrie pharmaceutique propose, en général, ces contrats à des médecins hospitalo-universitaires qui ont déjà le statut de leader d’opinion et qui peuvent ainsi asseoir leur renommée, voire l’étendre au niveau international. Un bon plan de carrière en somme. En février 2009, l’Inspection générale des affaires sociales avait déjà pointé ce problème : seule une part marginale des contrats liant les laboratoires pharmaceutiques aux professionnels de santé concerne des travaux de recherche. Plus de 90 % des liens d’intérêt publiés relèvent de contrats de marketing (contrats d’orateurs ou de consultants).

Les propos d’Agnès Buzyn ne sont d’ailleurs pas sans rappeler ceux de Philippe Lamoureux, directeur général du Leem, syndicat des industries pharmaceutiques : « Un expert sans conflit d’intérêts est un expert sans intérêt. »

Sans intérêt pour les laboratoires, mais non pour la santé publique. Le scandale du Mediator a pu être révélé grâce au travail de médecins ou pharmaciens indépendants rédacteurs de la revue Prescrire, ou à celui de la pneumologue Irène Frachon.

Cette dernière, interrogée par Mediapart, regrette vivement les positions d’Agnès Buzyn : « La solution n’est pas, comme l’affirme Agnès Buzyn, de passer outre ces liens d’intérêt. L’affaire du Mediator le démontre de façon tragique : des experts indiscutablement “compétents” sont restés solidaires d’un industriel lourdement criminel, en minimisant notamment les dégâts de ce poison. Il faut donc se doter d’une expertise vraiment indépendante. Une des solutions, comme le proposent les membres de l’association Formindep, [Association pour une formation et une information médicales indépendantes – ndlr] est de créer des filières d’études de haut niveau d’expertise qui puissent assurer de belles carrières et des rémunérations suffisantes afin de prévenir la captation par l’industrie. »

Mais on ne pourra pas reprocher à Agnès Buzyn de ne pas mettre en pratique ses propos. De 2009 à 2011, alors même qu’elle venait d’être nommée membre du conseil d’administration puis vice-présidente de l’Institut national du cancer, elle n’a pas pour autant renoncé à participer aux boards de deux laboratoires, Novartis et Bristol-Meyers Squibb.

Doit-on parler de conflit d’intérêts ou de souci de parfaire ses compétences en tant que chercheuse ?

Interrogée par Mediapart, Agnès Buzyn a minimisé le rôle de vice-présidente de l’INCA : « C’est au cas où le président tombe malade. C’est purement honorifique. »

À l’entendre, on pourrait finalement se passer d’un vice-président à l’INCA. Pour Novartis et Bristol-Meyers Squibb, Agnès Buzyn a dispensé des formations à des médecins, participé à des réunions de marketing pour des traitements contre le cancer et est également intervenue dans des colloques.

Concernant le montant de ces contrats passés avec les laboratoires, elle n’en a pas gardé un souvenir précis.

Pourtant, ce travail a duré de 2007 à 2011. Une seule estimation nous a été donnée pour l’année 2009 : 10 000 euros.

Si elle affirme aujourd’hui qu’il ne s’agit pas d’une situation de conflit d’intérêts, elle a néanmoins jugé nécessaire, en mars 2011, de cesser tout travail pour les laboratoires pharmaceutiques.

À cette date, sa future nomination à la présidence de l’INCA devenait officielle et, en plein scandale du Mediator, une série de rapports sur les conflits d’intérêts était rendue publique.

Selon Anne Chailleu, présidente du Formindep, association présente à la table ronde organisée au Sénat, « la conception de l’expertise d’Agnès Buzyn va à l’encontre du sens de l’Histoire mais également de la rigueur scientifique. Alors que la loi de santé vient de renforcer la transparence des liens entre industrie et professionnels de santé, et que le Conseil constitutionnel a rappelé récemment qu’elle était un principe fondateur de la sécurité sanitaire, de tels propos sont anachroniques et démontrent que toutes les leçons du Mediator n’ont pas été tirées ».

Effectivement, lors de la présentation de sa candidature à la présidence de la Haute Autorité de santé (HAS), le 27 janvier dernier devant l’Assemblée nationale, Agnès Buzyn a totalement passé sous silence l’importance de garantir l’indépendance des experts de la Haute Autorité de santé.

Il avait fallu l’intervention de la députée Catherine Lemorton, présidente de la commission affaires sociales, pour rappeler que la HAS doit être une agence « indépendante » des laboratoires pharmaceutiques.

Portrait de Exit

pascal13100 wrote:

La mise sure le marché, test... prend plus ou moins 5 ans. Si l'on trouve un moyen de combattre definitivement ce virus je suis sur (Pays du Nord) que nous pourrions etre traité plus rapidement. Je comprend pas qu'apporte ta negativité au problème. Si l'on parle recement d'esperance de vie casi egal entre un patient traité en 2009 et un seronegatif, avec l'allegement, les nouveau medicament (trivicay)... Nous pourrions facile encore augmenter cette esperance de vie. Moi je parie sur un traitemnt curatif foncionel d'ici 10 ans. Si pas moins

Bonne journée

5 ans c'est juste pour mettre un médicament sur le marché. De la conception du médicament ou vaccin  à la vente finale sur le marché c'est en moyenne 15 ans, car il y a 4 stages. 

Sachant que la plupart des essais du VIH ne dépasse jamais le stade 2, et ce n'est pas gagné au stade 3 loin s'en faut, de nombreux médicaments sont élimés par leur toxicité.

A l'heure actuelle, il n'y a rien de concret sur le vih, je mise sur les anticorps, des vacins à base d'anticorps sont actuellement testés sur des personnes séronégatives en guise de prep. Nous sommes qu'au début, il faut être réaliste, le vaccin miracle ce n'est pas pour demain, tous les derniers articles le disent, nous sommes qu'au tiers. Il faut souvent 90 ans pour trouver un vaccin, là nous n'en sommes qu'à 30 ans passés. Avec l'évolution, on peut espérer gagné 30 ans. 

Par contre je crois à la piqure mensuelle qui va remplacer les tris d'ici 5-10 ans. Mais ce sera sans moi, il suffit de voir ceux qui testent ce produits ont beaucoup d'effets secondaires, notamment psychologiques. De plus la piqure mensuelle c'est quoi au final, de la tri modifiée. C'est une manière de nous contraindre à bien prendre notre dose, au final les effets secondaires seront les mêmes qu'un 7/7. Le jour ou une piqure à base d'anticorps sera mise sur le marché, je dirai oui, pas avant. L'avenir pour l'instant c'est l'allègement, réduire la toxicité en passant du 7/7 au 1/15. 

Portrait de unepersonne

je suis dans l'incertitude de savoir si un vaccin biosantech ou autre verra le jour d'ici peu, meme si le dr ravaux impliquée dans la recherche du vaccin contre le sida est optimiste, je reste sceptique jusqu'au jour où je serais selectionné pour etre vacciné , vacciné pour une eradication du virus dans mon organisme,  non en remplacement de la tritherapie 

mon scepticissisme tendrait à me faire croire aux ecrits d'exit or mon espoir de guerir me fait croire au vaccin biosantech , seul le temps nous dira j'espere avant 90 ans 

Portrait de jl06

beaucoup de nous ne connaitront pas le vaccin ....mais bon on parle ,je comprend l,espoir de certains (es), 

la piqure mensuelle une affaire de qq année , et de gros sous ! pas le choix le jour ou elle sort faudra y passé tous est toutes , 

elle devrait bien moins chére que les tris actuelles ,

logiquement la sécu ne remboursera plus les cachetons ....encore que ? 

CARPE DIEM 

Portrait de Jim83

pascal13100 wrote:

Oui mais rapellez vous que nous avons deja eu un guerri en 2009. C'est une personne unique mais ca prpuve qu il est possible de guerrir. 

Article: VIDEO. Non, un homme de 44 ans n'est pas guéri du Sida

http://m.20minutes.fr/amp/a/2077275

Portrait de pascal13100

celui la a pris un traitement potentiel shock and kill. Il doit repasse des teste pour voir que le virus ne resorte pas. Non n'aurons pas les résultats definitif avant 2018. 20 minutes disent juste que certain titre de journaux ct emballe mais aucun article parlais de cure confirmé

Portrait de jl06

pas que ,Agnes Buzin ...et non ,  notre nouveau president de PACA ...et sa soeur ,corinne  treger , (biosantech)

bon on s'en tape un peut ....se beau monde fait du business.tranquille,

pendant ce temps on vas nous baisé la retraite...

Portrait de goldo

Lorsque l'on annoncera " on l'a ! ", on sera probablement dans un cas de figure bien avancé. Parce qu'on le taira le plus longtemps possible, justement pour ne pas créer de faux espoir.

En fait, dans l'histoire de la recherche contre le VIH, la recherche sur les vaccins thérapeutiques et curatifs ont quasiment été abandonnées jusqu'en 2000.

C'est le fait de transformer la maladie de maladie mortelle en maladie chronique grace aux tritérapies qui a permis de relancer la recherche sur les vaccins.

Et depuis lors en 17 ans, il y a eu d'énormes progrès et pour la tritérapie et pour la recherche vaccinale. 

Il y a même peu de maladies pour lesquelles on ait fait autant de progrès aussi rapidement.

@unepersonne : selon les pays l'espérance de vie d'une personne "lambda" est d'environ 78 ans pour un homme et de 85 ans pour une femme.

Comme il s'agit d'une moyenne, on ne peut pas dire par exemple qu'un décès à 68 ans (pour un homme) est anormal. Cela fait partie de la norme en restant dans un écart "tolérable"...

Une femme vivra en moyenne plus longtemps, un fumeur vivra en moyenne 10 ans de moins, un ouvrier vivra en moyenne moins longtemps qu'un cadre.  

Hé oui, la vie est une maladie mortelle. Même si la mort nous effraie et qu'elle semble toujours injuste, l'espérance de vie recouvre pourtant des réalités différentes.

Quand on s'appronche de la moyenne on a eu une vie d'une longueur normale. De là à dire si l'on aurait peu vivre plus longtemps sans telle ou telle maladie, sans telle ou telle circonstance, qui peut le dire ?

L'appartenance à un genre, l'alimentation, la pratique d'un sport, la consommation d'alcool, la cigarette, etc. influe tout autant sur la durée de la vie que VIH. Dès lors, pourquoi faire une fixation ?

Pour le reste, vous n'en savez pas plus sur la fin de votre vie que n'importe qui d'autre. Vivrez-vous jusque 65 ans ou davantage ? vous n'en savez rien. Serez-vous atteint d'un cancer à 55 ans ? vous n'en savez rien. Comme les autres, comme les séronégatifs, qui partagent la même espérance de vie que vous ou à peu près.

Portrait de unepersonne

vivre jusqu'à 68 ans et plus que ça pour un homme,  c'est dejà avoir vecu plus du tiers d'une vie , ce que je deplore meme si l'esperance de vie d'un VIH a augmenté, c'est la qualité de vie , prendre des medocs tous les jours toute une vie entraine sur le long terme des effets secondaires qui se transforment en maladie collateralles et il y en existe beaucoup ! 

sans compter cette fatigue permanente qu'un homme non VIH et sans tritherapie n'a pas ou moins qu'un homme VIH 

quant aux vaccins, y croire, ne pâs y croire ? je perds l'espoir au fil des années , etant quinqua, le meilleur de ma vie est derriere moi , ce n'est plus à mon age qu'une carriere pro ou fonder une famille est dans mes ambitions

  

Portrait de goldo

Le cancer, les insuffisances cardiaques, pulmonaires, les AVC, la perte de mobilité, etc. sont le commun des mortels après 50-60 ans...

On meurt rarement en bonne santé ;-)

Vous parlez comme si les seronegatif tombaient tous raides à 85 ans, mort d'une belle mort, dans un état de santé absolument parfait jusque là.

Et comme tout le contraire s'imposait d'office aux seropositifs.

Ce n'est pas le cas.

Portrait de jl06

 Depuis l,an passé j,accumule les emmerdes de santée ...tumeur de la Parotide , nodule sur la thyroide , la sous surveillence pour les reins examen en cour a l,hosto, ...pour l,instant rien est mis sur le compte du VIH

ben je vais vous dire je refuse de baissé les bras , ce matin je faisait mon jogging  dans l,Esterel (2h) , hier soir je me faisait pompé au bois , 

je continue à faire ma vie temps que je le peut a fond ...juste pour ne pas avoir de remords ! 

au fait 69 ans le vieux ....quelle année érotiqueCool

bien sur  un grand respect pour ce qui en souffre