Les archives communautaires

(personnellement je suis une thérapie dont je suis trés contente).

 

je cite:

 

"14 janvier 1952. Observation déposée à la Société médico-psychologique.".

L a 22 ans, il entre à la m&ison de santé de Ville Evrad le 26 septembre 46, aprés un an de traitement psychanalytique. (...) à son entrée à l'hopital on se trouve en présence d'un jeune homme qui porte une chevelure longue à type féminin.

 

Il nous dit que depuis l'âge de 4 ans il était une femme et qu'il avait honte d'être habillé en garçon. (...)

 

L est soumis au traitement suivant: 20 comas insuliniques avec electrochocs associés. Aucun résultat.En janvier et fevrier 1947  2éme série de 31 comas avec électro-chocs associés, puis une 3éme série de 34 comas avec electro-chocs associés. Non seulement on obtient aucune améliroration mais l'état mental s'aggrava proggressivement.(...) le mutisme devint presque absolu. En mars 48 on tente sans succés un traitement de sufosine. Une leucotomie est ptratiquée le 10 mars 1949; des que les trous de trépan sont forés on constante une méningite séreuse légère avec des deuxc côtés une hypervascularisation corticale bilatérale.

Aucun incident dans la suite. En jullet 1949 on observe une améliéroration transitoire de l'état mental, qui n'a qu'une courte durée. Une cure de 40 comas est bien supportée par le malade.le mutisme est absolu;le sujet ne mène plus qu'une vie purement végétative. En Aout 1950, 7 séances d'électro-chocs prolongés sont sans aucun effet. En janvier 1951,devant l'échec de ces divers traitements, on entreprend un traitement par electro-narcose à raison de deux séances par semaine.Les neuf premières séances se passent sans accident. Le 14 février, au cours de la dixciéme séance, à la troisiéme minute, syncope bleue (cyanose de la face), apnée irréductrible et arrêt du coeur; tentative de réanimation pendant trois heures. Le malade meurt 23 mois aprés la lobotomie."

 

C'est à peu prés à cette époque que le cas Christine Jorgensen a été connu dans le monde  entier...Christine Jorgensen est morte aprés avoir passé une vie de femme un peu tapageuse mais heureuse.

Ce qui est incroyable c'est que ces psychiatres semblent ignorer complétement que dans d'autres cultures qu'une jeune homme se déclare femme n'est pas un délire, mais une chose naturelle...

 

Au moment du Pacs on a vu toutes sortes de psychiatres et psychanalistes venir nous expliquer combien c'était dangereux de toucher à l'ordre symbolique. Il serait bon de leur rappeller ce que leurs prédécesseurs ont fait au nom de l'ordre symbolique...

Commentaires

Portrait de skyline

Il est inadmissible que les psychiatres ou psychanalystes aient le dernier mot pour autoriser un changement de sexe. Car bien évidemment, les idéologies essentialistes naturalisantes qui font de l'ordre symbolique un ordre universel, sain et équilibré au lieu de le penser dans comme structuré par un contexte culturel arbitraire et historicisé, et bien encore beaucoup de nos praticiens et soi-disant intellectuel (à gauche comme à droite) en sont les prisonniers ubuesques. Oui Léa tu as raison, l'ethnologie nous à montrer que les notions (et les rapports entre ces notions) de sexe - biologique - et de genre - social - était bien plus complexes et diversifiées que ne le conçoivent les représentations des grandes religions structurantes. Chez les Guayaki du Paraguay par exemple, c'est le travail qui est lié au genre : se sentir d'un genre différent de son sexe n'implique que de faire le travail assigné à ce genre... pour l'orientation sexuelle c'est autre chose, chacun faisant ce qu'il veut tant que mariage et reproduction sont assurés. C'est un des combat important pour les années à venir en terme d'égalité des droits juridiques et sociaux pour les Trans (qui font partie des LGBT on l'oublie souvent).

Cependant, la chirurgie pour le changement de sexe est un acte médical extrêmement lourd qui a des conséquences psychologique et physiologique qu'on doit évaluer (je ne sais pas si cela a déjà été fait en France ou ailleurs... Léa éclaire nous ?). Il est très fréquent, parmi les personnes psychotiques, de trouver des délires liés au genre : dans ce cas, un changement physiologique pourrait s'avérer catastrophique pour la santé mentale déjà considérablement altérée du psychotique. C'est pourquoi les Trans doivent en France avoir l'aval d'un psychiatre : pour pouvoir différencier ceux dont le désir de changement de sexe est sous-tendu par une psychose non décompensée et que justement le changement de sexe pourrait faire surgir (ceci dit d'autres événements pourront s'en charger : perte d'emploi, consommation de drogue, rupture sentimentale, etc.)... et ceux dont le changement de sexe est une nécessité pour leur bien-être, leur identité et l'image d'eux-mêmes.

Entre les 2, la France est encore coincée dans sa frilosité, la domination des "experts", et l'infantilisation des personnes. Donc des progrès à exiger, mais cela est assez général et concerne l'ensemble de nos minorités.

Portrait de seanaque

je ne comprends pas la pharse " les psy ont le dernier mot

quelqu'un peut m'expliquer ? 

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

Pour l'aile le plus radicale des trans la personne devrait choisir elle-même, comme une femme choisit d'avorter. On ne demande pas à une femme qui avorte de voir un psys pour vérifier si sa démarche est psychotique ou non.  Pour l'aile radicale du mouvement trans, la personne trans peut se faire assister d'un psy à sa demande ou non.

 

En France en fait la selection c'est par le fric. Si tu as l'argent pour aller te faire opérer à l'étranger, tout va bien, là-bas on te demande rien et c'est mieux fait. Quand tu retourne la législation française est obligée (par la cour européenne) de changer légalement ton sexe légal. Les pauvres doivent subir les mauvais traitements de la filière française.

 

Autrement la filière française est pleine de spécialistes auto-proclamés dont le plaisir est de faire attendre au maximum les gens, pour leur refuser l'opération (les mêmes personnes vont se faire opérer à l'étranger et quand elles reviennent optiennent leur papier sans problême). Un des grand ponte en ce domaine Cordier  refuse de croire qu'il y a des femmes trans qui aiment les femmes...alors que c'est le Ba Ba que l'identité de genre est différente des pulsions sexuelles.

 

Le psychiâtre trans  Tom Reucher qui a un site trés complet sur la question préconise "l'auto-diagnostic assisté" ou la personne discute avec un psy (de son choix de préférence) mais finit par décider elle-même.

 

En tout cas en Espagne depuis qu'on donne des papiers aux trans pas opérés les demandes d'opérations auraient baissées de 30%.

 

A part ça je trouve ça énervant d'avoir à réduire l'histoire des trans à deux fantasmes: 1) l'opération 2) la prostitution.

Portrait de Sophie-seronet

Quand une femme choisit d'avorter en France, elle a l'obligation d'une consultation avec un psy et ensuite un délai d'une semaine doit être observé avant que l'avortement se fasse.

 

Sophie-seronet

 

Rectificatif : La consultation avec le psy n'est pas obligatoire, elle peut avoir lieu avec une assistante sociale.

 

Sophie-seronet

Portrait de skyline

Merci pour la précision Léa : on a donc clairement une stratification du bien-être et du droit à l'autodétermination identitaire par la classe sociale dans le transexualisme. C'est assez affligeant et révoltant.

Ça aurait du bon sens d'aller chercher dans d'autres pays plus "libéraux" sur cette question, et qui laissent l'ultime choix aux personnes concernées, des évaluations ou études qui démontreraient que la position et la pratique en France est complètement déconnectée du réel. C'est une habitude bien triste en France que d'être déconnecté du réel car perclus dans l'idéologique, mais cependant, quand on amène des approches nouvelles venant d'expériences alternatives, y a toujours quelques personnes bien placées pour écouter, intégrer, et faire pression. Mais bon, le principal problème restant, c'est que comme pour les prostitué-e-s, les trans sont relativement ignorés des grandes associations "institutionnelles". On a de temps en temps un communiqué de soutien ou l'aide des associations les plus radicales, mais c'est tout. A quoi a aboutit l'étude du CRIPS sur les trans ? Est-ce que la DGS et l'INPES ont intégré ces problématiques dans leur réunion de prévention et autres groupes d'experts ? En plus la trans-invisibilité voire la transphobie est une triste réalité du mouvement LGBT. Quand Seronet va créer ses groupes thématiques, il serait bien d'avoir un groupe "trans". On pourra alors approfondir cette question. En tout cas moi ça m'intéresse.

Portrait de skyline

En France, le changement de sexe n'est pas un droit individuel et inaliénable : pour pouvoir obtenir le droit de changer de sexe par chirurgie, il faut l'accord d'un psychiatre ou d'un psychanalyste après "évaluation". Quels ont les critères objectifs qui permettent aux praticiens de donner leur aval, on se sait pas... cela reste à la discrétion du docteur et de ses penchants théoriques. C'est bien évidemment inadmissible. Inadmissible que le bien-être identitaire d'une personne soit entre les mains d'une autre, et ce dans l'unique prisme de la médicalisation psychiatrisante.

C'est parce que les séropos ont pris le pouvoir sur les médecins qu'on a pu avancer dans la défense de leur cause. Il faudrait faire de même pour les trans.

Je serais curieux de savoir ce que Foucault en aurait pensé... 

Portrait de maya

Tu ne peux pas comparer Lea l'avortement qui n'abime en rien la mécanique de reproduction de la femme  et une operation aussi définitive que le changement de sexe...

En même temps on imagine que quelq'un qui prend cette décision a deja bien réfléchi, accorde t-on trop de credit aux psychiatres ? Oui sans doute mais quelles autres instances pourraient valider ce genre de demandes si 'bousculantes' et irrévocables? On est encore à un stade ou le corps, l'enveloppe est défendue, ne peut être modifiée qu'avec d'infinies precautions, quelque part ça me semble justifié au vu des conséquences. Mais je ne suis pas concernée je n'imagine pas ce que peut ressentir une personne enfermée dans non seulement une enveloppe mais pire un genre qui n'est pas en adéquation avec son esprit, c'est difficilement compréhensible pour moi d'accéder à  chouia de cette perception  et mon avis est donc biaisé par ça.

Portrait de izeline

Sombre histoire que celle de L,

FamilyLife, Vol au dessus d'un nid de coucou... le cine, la littérrature rapportent souvent de ces histoires de personnes en marge de leur milieu et détruite par la bien pensance .... 

Heureusement la psychiatrie a évolué et je ne pense pas que cela ne se produirait maintenant.... heureusement !

  "la chirurgie pour le changement de sexe est un acte médical" dis tu.

Ben justement! travaillant en lien avec le milieu médical j'y ai appris que pour les chirurgiens tous les actes n'ont pas la même valeur et si ils opèrent volontiers pour réparer ou prevenir, ils sont toujours trés reticents pour les actes non vitaux mais qui visant à un certain confort....sont d'une manière ou d'une autre mutilants 

Ne prenez pas mal ce mot de confort, je sais que ce qui est confort pour certain et essentiel pour d'autres... quoiqu'il en soit les chirurgiens se font souvent accompagner dans leur prise de décision par d'autres compétences (dt psy).... cela ne concerne pas seulement les trans ....

Je n'y vois pas là le traitement particulier d'une minorité. 

Est ce que les psy sont bien placés pour évaluer ? ils ont leurs limites mais je pense que la peur et le rejet qu'ils inspirent et à la hauteur du pouvoir que nos fantasmes et nos craintes leur accordent ......

Je rejoins Maya à propos de l'avortement, ce n'est en rien comparable...

Perso je trouve cela plutôt rassurant de savoir qu'un homme aussi chirurgien soit  il n'est pas tout puissant et ne peut décider seul de quelque chose d'aussi grave pour la personne. Mais aussi : medicaliser  veut dire prise en charge finacière  et ca c'est appréciable non ?

On peut toujours chercher ce qui se fait ailleurs, on sait aussi les excés dans certains pays, trafic d'organes, de bebe .... le faire du fric éxiste partout (les cliniques à IVG ont fait fortune à une époque....!)  mais n'est pas à mon sens une rèponse à un problème aussi sérieux... 

A part ça je trouve ça énervant d'avoir à réduire l'histoire des trans à deux fantasmes: 1) l'opération 2) la prostitution.

Alors là tout à fait d'accord..... 

Au risque de vous faire hurler !

Pas facile de dire exactement ce que l'on pense sur un post mais je me pose beaucoup de question sur ... la recherche d'une normalisation qui moi me semble avant tout d'ordre bourgeois que ce soit le mariage pour les homos, vos histoires de papiers ..... ou est le plus important ? est ce que c'est dans ce que l'on vit ou bien dans le bazard administratif  ?....là je fais un peu courte vue .... sourire

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

J'ai posé le texte terrifiant des années 50 pour soulever un débat plus large: peut-on faire confiance à la psychanalyse, aux psys en général.

Personnellement sans la psychiatrie contemporaine je passerai quelques mois de l'année en HP car je suis maniaco-depressive. Le lithium, qui m'a été prescrit par un psy me permet d'équilibrer mes humeurs.

Suite à mon VIH je suis une thérapie qui me fait beaucoup de bien.

Mais quand je lis les abérations de psychanalistes reconnus -particulièrement sur les histoires de trans par ce que je les connais bien) je m'interroge: quel est le pourcentage de "bons" psys?

Didier Eribon préconise que les homos aillent se faire psychanalyser par des psys homos...J'aurai du trouver une psy trans et séropo? parce que quand les  (pardon quand certains) psys homos parlent des trans ça peut être terrifiant...

Portrait de izeline

il y a des bons et des mauvais dans tout !!

Hors expertise on a peut choisir son psy et s'est essentiel question de contact de transfert .... à chacun son choix ... l'identité sexuelle n'a heureusement rien à voir là dedans .....

et 20 ans d'analyse didactique ne gomme pas l'impregnation culturelle voir ideologique... mais je crois que quand dans l'ensemble les psy progressent dans le soin au détriment du "politiquement correct" ...

Portrait de skyline

J'ai vu le documentaire français "L'ordre des mots" sur les trans' et les intersexués. J'imagine que tu l'as vu Léa, il y a tes copines et copains du GAT (Groupe d'Activisme Trans' pour les néophytes, dissous aujourd'hui). C'était remarquable ! Remarquable déconstruction de l'approche médicalisante et pathologisante française du transexualisme et des idéntités de genre qui aboutit à se poser des questions pour sa propre identité (qu'est-ce que c'est normatif le gay...) et à condamner sans appel la psychiatrisation de la transition sexuelle.

Bref à voir s'il on veut mieux comprendre...

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

Non, je n'ai pas vu ce documentaire. J'ai pu apprécier un moment les méthodes du GAT, je ne connais pas leur discour dans ce documentaire (qui faisait l'impasse sur le SIDA, les Queers n'aiment pas parler du Sida.

Je suis trans et un peu fiere (trans séropo et fiére aussi) mais je ne suis pas spécialisée non plus dans l'identité trans.

Je me méfie un peu de la quête de la non-normativité. L'important c'est d'être soi même et pas de transgresser à tout prix. Je ne crois pas qu'il y ait des sexcualités et des identités plus transgressives que d'autres. Il en est de plus discriminées...

Par contre pendant mes jours de convalescence j'ai relu le désir homosexuel de Guy Hocquenghem les homosexuels ont complétement oublié à quel point un moment eux aussi ont été en proie à une psychiatrisation pour le moins abusive...La différence avec les trans c'est que la pluspart des trans ont besoin de la medecine (hormones, opérations etc...). Je pense qu'on a beaucoup de choses à ce dire, à condition de ne pas choiosir l'insulte et la discrimination comme façon de dialoguer: les personnes discriminées adorent discriminer les autres.

Portrait de skyline

Une députée PS interpelle la ministre de la Justice :

http://yagg.typepad.com/yagg/2009/01/transexuelles-la-d%C3%A9put%C3%A9e-...

Va-t-on avancer un jour sur cette question au pays de la psychiatrisation tous azimuts?

Portrait de lea-mûre-trans-seroplus

L'interpellation de cette députée PS est gentille mais ne concerne que les personnes opérées qui devraient avoir des changements de sexe légal quasi automatique mais sont soumis en fait à des lenteurs administratives insupportables sans parler des expertises

faites par des vieux médecins vicelards.

A part ça cette députée est en retard par rapport aux propositions du PS qui comptait faire obtenir un changement de sexe légal aux personnes vivant une vie sociale dans un nouveau genre sans être passées par l'operation définitive.

comme c'est enteriné en Nouvelle Zélande, en espagne, en Hollande..;et même au Mexique dans certaines villes.

Ca c'est une chose

La deuxiéme c'est que la France et l'OMS, aprés avoir déclassifié l'homosexualité comme maladie mentale y a fait rentrer la transsexualité. ce qui entérine toutes sortes de maltraitance à commencer par celle qui dit que c'est le psy qui décide si l'usagerE peut commencer l'hormonothérapie, et plus tard, a droit ou nom à une opération de ré-assignement sexuel.

La petite clique de spécialistes auto-proclamés s'accroche à ce pouvoir de décider pour la vie des autres.

Cette même clique a été silencieuse au plus fort de la crise du Sida et n'a rien publié

sur le taux ahurissant de femmes trans infectées.

Personnellement je n'ai pas d'hostilité contre les psys. Quand dans un chat une usagére de seronet me dit qu'elle a laissé tombé ses traitements je lui conseille d'aller consulter un psy car je trouve qu'elle se mets en danger . Le tout est de trouver le bon.

mais quand un psy s'octroie un tel droit sur la vie des autres, je trouve ça malsain...Et il serait bon qu'on publie des études sur les mauvais traitements faits aux trans et aux homos jusque dans les années 7O. J'ai une amie agée qui m'a raconté qu'à 14 ans, dans sa petite ville du Sud ouest  des psys lui ont fait des électrochocs car elle avait une personnalitétrop non conformiste.

Portrait de panam75019

Comme beaucoup je suis egalement une thérapie avec une psychologue comportementaliste dont la petite particularité est d'être une specialiste du vih et  des questions d'observances, je peux dire que j'ai trouvé la praticienne qui me convenait, parce que nous avons établi une relation de respect, et ce n'est je l'imagine sans doute pas toujours le cas quand on aborde les themes si méconnus de la transexualité, admettre que la nature commet des erreurs, se sentir étranger dans son corps, dans la communauté gay et lesbienne, les transgenre sont encore beaucoup trop fustigés pourquoi ? avons nous peur, n'osons nous pas nous rapprocher de ces être humains que ne demande qu'un peu d'empathie et sans doute moins de compassion, pourquoi si peu de voix se lévent pour obtenir la possibilité de se faire opérer gratuitement en france, pourquoi les gouvernants de gauche ou de droite n'aborde pas le sujet du changement d'identité autrement que d'un changement identitaire ???

Bref je ne pense pas qu'il y est de bons ou de mauvais psys, il y a des relations humaines avec toute leur complexité mais ça ce n'est que mon avis.

Portrait de skyline

Une nouvelle recherche qui devrait apporter des précisions sociologiques :

http://www.actupparis.org/article3614.html