Une enquête sur la santé des séropositifs

21 Juillet 2017
3 016 lectures
Notez l'article : 
0
 

L’EATG (European aids treatment group), organisation militant pour le droit à la santé des personnes séropositives, lance une enquête dans huit pays d'Europe sur la "santé à long terme". Comment les personnes vivant avec le VIH perçoivent-elles leur santé sur le long terme ? Comment se projettent-elles dans leur santé physique, mentale et sexuelle ? Le questionnaire viendra interroger les participants sur leur vision du futur, en lien avec leur situation actuelle. L'enquête se remplit en ligne de manière totalement anonyme et en moins de vingt minutes. Il manque encore quelques répondant-e-s pour que les résultats soient plus significatifs. Si vous êtes concerné-e-s, n’hésitez pas répondre à cette enquête. A partir de septembre, il sera possible de recevoir la synthèse des résultats, soit par e-mail en indiquant votre adresse à la fin du questionnaire, soit en vous rendant sur le site internet de l'association.

Commentaires

Portrait de ballif

depuis 12 ans je suis embêtté par des psychiatres qui ne connaissent RIEN sur les conquences de l'épidémie du VIH  les effets secondaires inniorés   la sexualité jamais abordée  la contamination à l'âge de 12 ans impossible et avec un prête encore moins

mais après ces découvertes enfin le traitement réagissent  trouvez la faute

dans ma tête la tempête c'est calmait  le sommeil est revenu  j'arrive à l'écrire maintement

la solitude affective je la vie depuis mon enfance  je n'ai pas connu l'amour de ma mère et celui de son mari c'était la pénétration anale tout les dimanches lors du bain dominical  avec la même technique que l'éducation nationale pour me faire perde connaissance d'où l'abonnement chez l' ORL

en spetembre 1998 lors de cette découverte la personne responsable du stage m'a interdit de parler à la fin de l'exercice  les autres stagières du groupe m'ont laissé sur le bord de la route

aujourd'hui je ne peux plus conduirir  les enferments en psychiatrie à repétition et le faite d'être droguer ne plait absolument pas aux psychiatres  encore lors de la dernière consultation avec un infirmier qui mettait de l'huile sur le feu

ils sont venus me voir où j'habite et m'ont demandé pourquoi je n'étais pas venu à la consultation  je leur ai répondu  que me déplacer pour être insulté et recevoir des menasses d'enferment  je me le suporte plus

a quand l'univercité française va ouvrir les étudiants à la réalité de la vie réelle des séropo ?