Les archives communautaires

Bonjour,

 

Ce n'est pas facile de faire une communication utile, pertinente et intelligente sur le VIH avec une affiche ou un spot TV. On ne sait jamais comment le message peut être perçu! Banaliser le VIH c'est terriblement dangereux et générer un sentiment d'insécurité c'est dangereux de façon égale. Il y a beaucoup trop de gens qui ont tellement peur qu'ils préfèrent faire l'autruche et ne pas aller se faire dépister, et de plus en plus de gens aussi qui se disent que c'est une maladie chronique et qu'il suffit de prendre un cachet pour se soigner.

 

Les slogans percutants c'est bien pour attirer l'attention mais ensuite il faut que les gens fassent la démarche de s'informer par eux-même et les informations utiles ne sont pas toujours faciles à trouver.

À mon avis le plus urgent et le plus important c'est d'encourager tout le monde à se faire dépister et de donner accès aux traitements à ceux qui en ont besoin. Le dépistage ça ne sert pas seulement à savoir où on en est, ça permet aussi de recevoir une information plus complète sur le VIH, la prévention et les risques de transmission. Selon moi il est important et nécessaire d'avoir un dialogue avec un interlocuteur compétent pour pouvoir poser des questions et recevoir des réponses adaptées à chacun des cas.

 

Au delà du dépistage et de la prévention il y a aussi des informations très précieuses et très utiles sur la transmission du virus qui sont encore à peine ou très timidement communiquées par les organismes de santé et les médecins en France, et dans beaucoup d'autres pays. Je pense en particulier aux études et aux progrès récents : le rapport Hirschel, iPrEx, Partner, Ipergay, la PrEP et les recommandations de l'OMS.

 

Pourquoi ne pas dire clairement au grand public que les séropositifs dont la charge virale est contrôlée et rendue indétectable ne sont pas contaminants? C'est un message positif et rassurant qui pourrait permettre d'inciter à la fois au dépistage et aux soins, donc de faire reculer l'épidémie et aussi la stygmatisation des séropos. Ne pensez-vous pas?

 

Si tout le monde allait se faire dépister et si tous les séroposifs pouvaient recevoir un traitement, ce serait la fin de l'épidémie! Comment se fait-il que cette information toute simple ne soit pas diffusée plus largement?

 

Comment faire passer ces messages de prévention, d'espoir et de tolérance à ceux qui sont autour de nous, nos familles, nos collègues, nos voisins? Par quels moyens avez vous reçu ces informations et comment les percevez vous? Comment communiquez-vous sur ces questions? Quelles sont vos expériences, quel est votre ressenti?

 

Merci de bien vouloir partager votre opinion sur le sujet. :)

 

Bises,

Julien.

Commentaires

Portrait de Thomasson

Beaucoup de personnes refusent le dépistage par peur du diagnostic. Je connais une nana qui ne veut pas en faire car elle à peur du résultat.

Les gens ne veulent pas se faire de soucis et préférent l'évitement, mais sans que ce soit forcément de la lâcheté.

Peur du résultat, éviter le stress du test de dépistage, beaucoup ne pensent pas au Vih et prennent des risques, se sentent à l'abri jusqu'au jour ou ...

Le dépistage devrait être automatique, comme un réflexe : par exemple une fois ou deux fois par mois.

Le Vih est d'aprés ce que j'ai compris est devenue une maladie chronique, il est vrai que prendre des ARV c'est pas des pastilles à la menthe. C'est un traitement fort et qui à des effets secondaires. La prise quotidienne est une contrainte pour beaucoup. Il me semble que ça "fatigue" le corps d'ou les études pour voir si on peut s'abstenir de prendre des ARV tous les jours, afin de "reposer" l'organisme mais voir s'il n'y a pas des conséquences.

Le Vih est une maladie ressentie par certaines personnes comme une maladie honteuse, tabou etc...

Les gens peuvent dire facilement qu'ils ont un cancer : il n'y aura pas de rejet mais si la personne annonce sa séroposivité : là ça change la donne : la personne peut-être rejettée du fait de sa contamination au Vih.

C'est une maladie qui se transmet (je ne sais pas si contagieuse est le terme approprié) donc peur de le "choper" à son tour même si ça ne se transmet pas aussi facilement. Peur du regard des gens, des réactions des gens : famille, amis, collègues etc.

Je ne considére pas le Vih/Sida comme une maladie honteuse, mais si je devais un jour être séropo, j'éprouverais ce sentiment de honte même si je n'ai pas à avoir honte, vis-à-vis des autres. Là encore c'est paradoxal.

Il y a le Sidaction une fois par an et c'est tout, si il y avait la pub qui expliquait que la prise de traitement était simplifiée par rapport à avant.

Le Vih reste "tabou" même en 2014, les mentalités doivent changer. Mais c'est pas pour tout de suite. En 30 ans il y a eu des changements mais ça reste encore quelque chose à "cacher", toujours tabou.

Concernant l'étude Ipergay : Sans juger les volontaires, je trouve ça risqué pour les volontaires. Je sais que il y a eu contamination de volontaires lors de cette étude et j'aimerais savoir si les médecins peuvent se regarder dans la glace ? Même si je sais pertinement que le volontaire est par définition volontaire ...

Est-ce que le médecin, prendrait lui-même le risque afin de faire avancer la médecine ?

J'en doute fort !

Je suis pour les progrés mais avec des risques modérés pour les volontaires, si j'avais été médecin : je n'aurais pas travaillé pour cette étude. Sans vouloir t'offenser Julien.

Les volontaires sont trés Courageux, il faut se préparer psychologiquement se préparer à devenir positif en sachant qu'il y a toujours des "failles" dans les études médicales. Je pense que moralement il faut avoir un moral à toute épreuve, un moral d'acier.

Faire cette étude ou une autre n'est pas à la portée de tous, il faut être blindé moralement.

". Pourquoi ne pas dire clairement au grand public que les séropositifs dont la charge virale est contrôlée et rendue indétectable ne sont pas contaminants?"

J'ai vu ici une personne qui était d'accord mais qui en même temps disait : la charge virale est "mesurée", la personne est indétectable donc elle peut avoir des rapports non protégés et rdv par exemple 4 mois aprés pour "remesurer" la charge virale (ARN).

Exemple : Janvier : Indétectable : rapports non protégés car CV indétectable : prochain ARN au mois d'avril pour voir la charge virale. Mais si par exemple en Mars la charge virale redevient détectable et qu'il continue les rapports non protégés et que son partenaire est séronégatif alors le séronégatif peut devenir à son tour séropositif.

Je ne sais pas si j'ai bien expliqué.

C'est assez complexe, au sujet de CV indétectable, non-contaminant.

Voila mon avis Julien,

Je rappelle aux gens que je ne connais pas le sujet par coeur donc si je me trompe dans ce que j'écris, merci de bien vouloir rectifier mes propos. C'est normal.

Bonne nuit à tous.

Je ne porte pas de jugements, juste je donne mon avis.

Thomas.

Portrait de ballif

le teste a été fait à mon insus au travail en 1989

j'ai éllucidé ma vraie vie en 1998  grace aux soins non alophatique une technique de massage amériquaine et la méthode hammer j'ai eu une éruption d'exéma dans le dos et un abcès à la fesse GAUCHE(cela est revenu en surface par cette méthode ci dessous)

comme je les montrais à tout le monde à bordeaux un médecin m'annonce que j'ai des fistulles (je saignais du rectume depuis l'âge de 18 ans

puis j'ai eu la chance de rencontrer une femme qui utilisait la méthode doulière ce qui a tout mis à jour

ce n'est pas appris en fac j'ai douté puis chercher

j'ai pu comprendre mon comportement face à mes deux "oncles" devant la généalogie (c'est le directeur de l'hôpital qui a demandé mon acte de naissance donc comme bon catholique le père est le mari)

un petit garçon a 4 parents ces parents sont fières de leur progénture bonjour la case!!!!

ma contamination est venu en deux temps au mois de juin avec lavanya c'était revécu d'un accidant de voiture avec sortie de route (je n'ai pas perdu connaissance alors j'ai tout en mémoire) il m'a été dit par le conducteur tu as été contaminé en 1972 la seule opération cette année était l'apendicite une partie de mon corps représentant une verge comme a dit la thérateute

au mois de septeùbre avec martine elle redemande l'exercice appellé autremant

là je revis encore une foi cet accident mais le méssage est plus claire "en camps scout avec un prête catholique de ma ville natale je soupsonne qu'il m'est sauté dessus en 11 élève dans sont école

les autres personnes assistant à ce stage m'ont ababdonaient sur le bord de la route j'ai du faire du stop pour arriver à lorient

tout était bien planqué je ne l'ai pas cru tout de suite c'est si surprenemt mais la vérité est arrivé mes T4 ont doublé en 3 mois ils sont à 760 au lieu de 1/4 lors de l'éjection organisé par le médecin du travail

aujourd'hui j'ai d'éobéit j'ai été achété une vrai carte de crédits ce qui m'a permis de m'inscrire dans une agence matrimoniale pour personnes hiv+ j'ai eu quelques réponses près de chez moi

bonne nuit

laurent

Portrait de Julien_O6

(Pardon Laurent, je rédigeais ma réponse à Thomas pendant que tu postais la tienne. Il est tard, je suis fatigué et je n'ai pas compris grand chose à ce que tu as dit ni comment le mettre en rapport avec mes interrogations. Je suis perplexe mais il me semble que tu as associé le VIH aux traumatismes de l'accident, de l'abandon et du viol et que tu parles de ta maladie librement maintenant que tu as décrypté toutes ces choses là. Dis moi si je fais fausse route s'il te plait).

Merci pour ta réponse Thomas. :)

Sans rectifier je précise : charge virale indétectable depuis plus de six mois et bonne observance du traitement = pas de raisons qu'elle remonte. Il y a parfois des "blips" et un médecin ne te diras jamais qu'il ny a aucun risque parce que le virus est toujours présent, mais le plus souvent c'est surtout parcequ'il engage sa propre responsabilité.

Certains médecins spécialisés sont moins frileux que les autres, deux d'entre eux m'ont dit droit dans les yeux et sans craindre que je leur fasse un procès : "Votre ami n'est pas contaminant, vous pouvez continuez comme ça jusqu'au prochain bilan sanguin." Sans faire d'ironie j'ai répondu : "Merci Docteur, ça change du discours traditionnel, c'est rassurant et ça fait du bien à notre couple." :)

Ipergay : Bien sûr que c'est risqué et par plusieurs aspects. Tout ne me plait pas mais j'ai signé le protocole et j'ai décidé de rester dans l'essai. On est libre de quitter l'étude quand on veut sans donner de motif, moi je compte bien continuer jusqu'à ce qu'elle aboutisse, en 2017. Ca ne fait pas de moi quelqu'un de plus courageux qu'un autre, c'est juste de la détermination. Quand aux questions que se posent les médecin en me donnant mon flacon d'ARV ou de placebo, franchement je m'en fous.


Pour recentrer le débat il y a trois mots qui sonnent très forts dans ton message : peur ; honte ; tabou. Ce sont des mots qui font écho les uns aux autres et qui sortent du domaine du rationnel. C'est donc qu'il faut essayer de combattre la mésinformation avec des faits scientifiques indiscutables, et c'est aussi de là que vient mon engagement très fort dans l'étude Ipergay : la necessité de rationaliser les faits pour mieux les faire comprendre et admettre. Mais comment rationaliser ce qui n'est pas rationnel?

Une autre des questions intéressantes que tu soulève est de comprendre pourquoi on pourrait se sentir honteux de devenir séropositif. Quel est le jugement moral qui intervient là? Qu'est ce qui fait que le cancer est une maladie moins honteuse que le sida? Est-ce que c'est parce que c'est une maladie sexuellement transmissible ou pas seulement? Quelle est la nature de ce paradoxe que tu décris?

Aussi, quelle est cette peur qui t'inciterais à vouloir passer un test deux fois par mois alors que tu mets des capotes et que la fenêtre sérologique est de trois à six semaines? Surtout n'y voit rien de personnel, il n'y a rien à justifier. Ce sont des questions générales que je pose comme un matériaux pour nourrir notre reflexion, rien de plus.

Ce que je cherche à savoir c'est le moyen par lequel tu as reçu toutes ces infos sur le VIH (le dépistage, la maladie chronique, la non contamination...) et comment tu les a recues, les sentiments que ça a pu générer chez toi. Et aussi ce qui a changé pour toi depuis que tu as reçu ces informations. 

Je cherche aussi à savoir ce qui se passe quand tu transmet ces informations, la façon dont elles sont comprises et recues par ton entourage. Est-ce que ces informations là sont un sujet tabou, quelque chose dont on ne devrait pas parler, ou est-ce plutôt l'évocation de la maladie elle-même qui provoque la gène? Et comment s'y prendre pour mettre les pieds dans le plat, briser le tabou et parler de ce qui est nouveau et méconnu sans faire fuir les gens?

Bises,

Julien.

Portrait de Thomasson

Je vais essayer de faire au mieux pour te répondre. Mais si je me trompe, dis-moi ! ^^

Pour la charge virale indétectable et la prise de risques ou pas : Des médecins ne vont pas affirmer leurs position par peur d'un procès, de réprésailles éventuellement.

D'autres médecins vont dire les choses, genre pas de risques car CV indétectable, affirmer leurs positions car pour eux il n'y a pas de risques.

Mais si tu demandais qu'ils l'écrivent noir sur blanc ? Ils le feraient ?

Car les écrits restents, les paroles s'envolent ...

"Demain" si je suis séropo, je sais qu'il faudra le taire. Le Vih est percue comme le choléra, la peste etc et quand je vois des séronautes qui expliquent le rejet de certains médecins. Je me dit c'est considéré comme une maladie honteuse, et c'est pourquoi les gens ressentent de la honte. Je ne sais pas si tu comprends ce que je veux dire. Je ne dis pas que les personnes séropositives ont raison d'avoir honte, ce n'est pas le cas.

"Ce que je cherche à savoir c'est le moyen par lequel tu as reçu toutes ces infos sur le VIH (le dépistage, la maladie chronique, la non contamination...) et comment tu les a recues, les sentiments que ça a pu générer chez toi. Et aussi ce qui a changé pour toi depuis que tu as reçu ces informations."

En lisant, lisant et lisant ^^ ici ou sur des sites concernant le Vih. Aprés comme tu as dit il ne faut pas croire tout ce que dit Internet. ^^ Mais quand je vois la même "information" sur plusieurs sites, alors pour moi c'est fiable. Depuis que j'ai ces informations, je me sens plus "intelligent" : Je m'explique il est dommage que les gens ne s'intéressent au Vih que s'ils sont concerné, moi en premier. En clair j'ai eu un rapport à risques, je m'informe et ce n'est pas la marche à suivre. Normalement on devrait tous se renseigner sur le Vih même si nous ne sommes pas concernés. En clair : Ne pas attendre d'être concerné pas le sujet, pour se documenter.

"Je cherche aussi à savoir ce qui se passe quand tu transmet ces informations, la façon dont elles sont comprises et recues par ton entourage. Est-ce que ces informations là sont un sujet tabou, quelque chose dont on ne devrait pas parler, ou est-ce plutôt l'évocation de la maladie elle-même qui provoque la gène? Et comment s'y prendre pour mettre les pieds dans le plat, briser le tabou et parler de ce qui est nouveau et méconnu sans faire fuir les gens?"

Alors quand j'explique à une amie de la famille, que j'ai peur de la suite etc si jamais je suis séropo : Elle me dit : tu n'as rien, tu n'as rien et ça la stresse que je parle du sujet. A un moment elle m'a dit moi aussi j'ai eu peur il y a 25 ans, et depuis elle n'a jamais fait le test par peur du résultat. Je lui ai dit si tu avais eu le Vih à l'époque et bien en 2014 avoir pris de traitements elle ne serait plus là ...

Ma peur lui rappelle sa propre peur. Je sais qu'elle n'a rien. A ce jour, elle ne veut toujours pas faire de test Vih. Avec elle je peux parler de tout sans tabous, mais quand je parle du Vih, parfois comme elle est stréssée on peut se prendre la tête. Comme quoi aborder le sujet avec son entourage n'est pas évident. Ce n'est pas avec mes parents que je pourrai aborder le sujet du Vih. Je serais gêné d'en parler avec eux. Une amie de la famille c'est pas la même chose.

Concernant la prévention : il n'y en a pas assez c'est mon avis. Je ne porte pas de jugements. Je pense que certaines personnes pense qu'il suffit de prendre une douche aprés un rapport sans capotes pour se protéger. C'est un exemple. Que lui ou elle ne peut pas l'avoir. Ca touche tous les milieux, jeunes ou moins jeunes. Il y en a aussi qui se disent la personne n'a pas l'air malade donc c'est bon pas de soucis on peut le faire sans capotes.

Mais quand on à le Vih ce n'est pas écrit sur le visage. Ce sont des "fausses idées".

Le Vih je le redis n'est pas un rhume, c'est pas anodin mais il faut reconnaître qu'il y a eu beaucoup de progrés du coup certains se disent bon maintenant c'est moins grave qu'avant donc je fais sans capotes.

J'ai connu un gars, il a eu des rapports sans capotes avec une nana, mére d'un gosse de deux ans. Je lui ai dit fait gaffe. Mets une capote : Il me réponds : Elle à un gosse donc elle n'a rien ...

Tu vois Julien, les gens sont ignorants, la nana multipliait les rencontres, son gosse avait 2 ans, donc le mec se dit elle à un enfant elle n'a rien.

Sauf qu'en deux ans il peut s'en passer des choses, le gosse peut naitre et par exemple 1 an aprés elle peut être contaminé lors d'un rapport.

Enfin voila, pas assez de prévention et trop de fausses idées.

Bonne journée

Thomas

Portrait de ce0413

Maladie honteuse est à mon sens un jugement sur la personne malade.En plus du poids physique un surpoids psychologique.

G pas honte d'être malade.JM ma citation d'André Malraux: << L'individu s'oppose à la collectivité mais il s'en nourrit.>>

Si dans le collectif tu nies mon individualisme que je ne revendique pas mais que je souhaite que tu respectes, je détruits ton collectif.Le collectif est un ensemble d'individualismes qui ont appris à vivre ensemble.Je parle du collectif idéal.Nous sommes dans une société qui se voudrait normalisatrice; utopie.

Mon regard dans le mirroir est honnête, Je n'ai nul besoin du tien.G besoin du Tien cil va dans la paix , pas l'affrontement.

L'information sur le SIDA est identique: bien suivi Tu es non-contaminant, mal suivi???Je te laisses l'apprèciation.

Si l'information est associé à une injonction, ce n'est plus une information, 7 une directive.

"Maladie honteuse", jugement mais aussi injonction de changer de sexualité.SIDA associé au départ à l'homosexualité.Très subtils les maux!!!

Mes fautes d'orthographe sont intensionnelles.Elles posent une question dans la question.

Désolé Julien , les informations sont a portée de clic; l'ignorant cultive son ignorance.Je suis Lucifer , le porteur de lumière.Quel chemin prendre ?la décision t'appartiens.Provocation choisie.

Bien à Nous.

Portrait de Julien_O6

Voilà des maux plein de sens et de sagesse de votre part à tous les deux. Même si ils sont durs à entendre l'important c'est de bien se comprendre (comprendre c'est prendre avec soie). Poursuivons notre réflection ensemble (la réflexion des mirroirs), j'ai hâte de découvrir d'autres réactions. :)


Bises,

Julien. 

Portrait de Thomasson

Mots pour Maux ! ^^

Esperons que les avis soient nombreux mais j'ai l'impression que les gens sont "timides" : ils consultent les sujets sans forcément participer. Il serait intéressant d'avoir des points de vues, pleins d'avis et qu'on ne soient pas d'accord pour qu'on puissent de "friter" ! Je plaisante.

Plus sérieusement : Participez et donnez vos avis !

Bonne soirée à tous

Thomas

Portrait de detlevera

Pour ma part - j'ai déjà posté en ce sens - je pense que la prévention passe nécessairement par l'éducation.

Il ne suffit pas d'informer, comme ça en passant, pour ensuite dire, l'esprit dégagé de tout sentiment de culpabilité : "je t'avais prévenu".

Une affichette dans une salle d'attente est certainement utile, mais elle est insuffisante !

L'information pour qu'elle soit reçue doit soit être véhiculée de manière percutante pour marquer l'esprit, soit être répétée encore et encore : il s'agit là de l'apprentissage...

L'éducation se fait en famille d'une part, et également à l'école.

Les mentalités étant ce qu'elles sont (poids de l'éducation), je suis d'avis qu'il faudrait miser en 1er lieu sur l'école pour engager un processus d'(in)formation par l'apprentissage (répéter et répéter en incluant de nouvelles données au fur et à mesure que les personnes avancent en maturité).

Et puisque les dernières générations sont souvent plus précoces en terme de sexualité, je suis persuadé qu'il faut commencer l'éducation tôt : doucement en 6ème et en allant crescendo jusqu'à la 3ème --> ainsi tous les jeunes, sauf erreur de ma part, auront eu cet apprentissage, même s'ils s'orientent ensuite sur un cycle scolaire court (CAP...), ou s'ils s'éloignent de toute scolarité.

Il faut profiter de ce poids là de l'éducation.

Ce devrait être une sorte d'éveil au corps humain : on y aborderait aussi bien les notions de secourisme, que la nutrition, la santé, la sexualité et les maladies sexuelles... dont le VIH.

Je suis sûrement trop naïf ?

Portrait de Thomasson

Les jeunes débutent leur vie sexuelle tôt, dès 11-12 ans mais je vois mal des instituteurs/trices faire de la prévention en fin primaire, même en 6ème ou 5ème : les parents criraient au scandale ... il faudrait que les adultes acceptent que les jeunes filles et garçons pensent à la chose et pratique justement la chose mais les parents ne veulent pas voir leurs gosses grandir trop vite et n'ont pas le comportement adapté du genre bon mon fils maintenant t'as 12 ans, si tu as une relation mets une capote.

Je pense aussi que les parents n'abordent pas trop le sujet du sexe, des conduites à risque avec les enfants, donc des profs faire de la prévention etc je crois que ce n'est pas pour demain malheuresement.

Les mentalités doivent là aussi changer.

Bonne nuit à tous

Thomas

Portrait de Yomi

Ya du progres, Actup en danger de fermeture, et le 190 aussi lui fermera ses porte dans 3 mois.

La particularitéé de ces 2 assos? Elles sont gérées par Sida info service !

Sida info n'a apparement plus les moyen de payer ses salariés **propos modéré**, ils sont donc obligé de demanteler leur assos.

Ca leur apprendra à terroriser les gens comme si le VIH etait la Peste Noire du moyen age et à cacher que la tritherapie rend les seropos non contaminant.

Tandis que Aides qui etait avant cachait l'info risquait le meme sort qu'actuellement avec la fermeture imminente du 190.

Apparement, ce serai le fait que Aides ai choisis de mettre son discours à la page avec le TasP et en parlant enfin des etudes Hirschel en 2012 (les 4 ans de l'avis Suisse sur Seronet, puis fin 2012 avec l'etude Rakai de 1999 directement en Une sur Aides.org) que l'association Aides a pu etre sauvée.

Sida Info Service avait publié discretement en 2007 un article en denigrant completement cette etude en disant que certains parlent d'un seuil de contamination au dela de 1000/mL que c'est dangereux, que n'importe qui se remettrai a faire n'importe quoi, que l'epidemie exploserai et qu'il fallait ettouffer ces information afin que personne ne les trouve et ne propage la verité qui doit rester un secret.

Malheureusement pour Sida info service, avec internet et les medias qui relayent de plus en plus la verité depuis les resultats de l'etude Partner (Sciences et Avenir, Remaides, TF1, France Ô, RTS (le TF1 de la Suisse relayé sur TV5monde en France), etc...) ils ne vont plus pouvoir continuer à terroriser les gens longtemps.

Act Up et le 190 en cours de fermeture, reste plus qu'a fermer leur maison-mere, Sida info service.

Il reste aussi les CDAG, les medecins est infirmier(e)s continuent de dire qu'avec un seropo qui se soigne, le risque reste le meme, que quand je leur dit que je suis avec un seropositif qui se soigne, je doit mettre la capote avec lui car avec sa tritherapie d'apres eux ca ne change rien.

Prochaine fois je vais au CDAG en emmenant cette fois le Remaide de cet Eté avec sa double-pages sur l'etude Partner (et oui, une arme infaillible) et je leur montre afin qu'ils voyent que ca ne sert plus a rien de tenter de me cacher ces informations!

Meme chose pour le SNEG qui imposait la terreur du tout capote dans les saunas avec ses affiches dans chaque backroom, et que le gerant du sauna etait obligé de dire a ses client qu'il est interdit de baiser sans capote car si yavait contamination le sauna devait fermer alors qu'en realité le sauna ne risque rien, mais dit ca pour faire peur.

Avec les CDAG et leur désinformation obsolète on comprend pourquoi les gens ont peur d'aller au test et que les seropos non contaminant prefere dire qu'il sont Negatif (ils ont raisons apres tout ils sont non contaminant car ils se soignent).

Portrait de Kalimurti

Act up géré par sida info service ?

C'est sûr cette affirmation ???

Portrait de Yomi

Sida info service n'a pas le controle de certaines assocs.
Mais ce qu'on peut remarquer, c'est que les assocs anti-hirschel vont de plus en plus mal.

Act-Up -> bientot mort, tentative de redépart sous le nom de Réact-Up
SNEG -> ils ont due changer de nom, Enipse, mais pareil que Act-Up, la methode du TasP est banni.
Le 190 -> Géré par SIS, l'assoc où il est interdit de parler du TasP aux phobiques du vih/sida

Survivant:
Aides -> Aurait pu y passer en 2012, mais a l'air d'aller mieux depuis qu'ils ont mis à jour leur discours.

On constate alors que les associations qui tiennent à garder leur discours de terreur seraient voués à disparaitre car avec les medias et la verité sur le TasP qui circule, les associations obsolètes ne vont plus tenir longtemps à garder leur discours, de plus en plus de monde deviennent "aware" et ne les suivent donc plus.

Portrait de Kalimurti

Non, non... Les soucis d'Act-Up n'ont rien à voir avec le rapport hirschel mais tout simplement avec des soucis de subventions. Et le sneg n'est absolument pas une assoc mais un syndicat...

Pour info, une lecture sérieuse du rapport hirshel évite en tout points de faire l'amalgame entre l'abandon du préservatif dans un couple (et UNIQUEMENT dans le cadre du couple) et ce sous sticte observance médicale, et la baise à tout và et avec le premier venu dans les saunas et autres backrooms... Ensuite, le fameux guru-Hirschel propose t'il une solution miracle contre la recrudescence délirante des nouvelles contaminations de type tréponème qui plombe l'IDF autant que certains secteurs de province ces dernières années ? Quo vadis des souches de HPV qui redeviennent tristement à la mode et qui, soit dit en passant, ne donne pas grand chose de mal a part des cancers du col de l'utérus, de l'anus et de la gorge...

On passe rapidement sur toutes les mst et ist qui ne sont pas vraiment recommandées à des personnes déjà touchées par le vih ou vhc (ou les deux ) et on se pose le problème suivant qui est levé par nombres de médecins (qui en plus d'avoir fait un peu d'études ne sont pas tous idiots et/ou paranoïaques): 

Sachant qu'en moyenne (pour la plupart d'entre nous du moins) nous effectuons nos prises de sangs tous les 03 mois pour lecture avec le toubib des résultats. Sachant aussi qu'être indetectable ne veut pas dire qu'on le reste ad vitam aeternam et que pour X et Y raisons (mauvaise observance des traitements le plus souvent) notre cher virus peut se mettre à résister au traitement en cours et donc se répliquer à nouveau... Si mon cher bébé hiv fait son come-back 15 jours ou 03 semaines après mon rendez vous chez le toubib et que je redeviens donc contaminant, que va t'il arriver à mon partenaire séroneg dans les 02 mois qui suivent (avant la prochaine lecture des bilans sanguins) ?

Faire confiance aux médias dans la lutte contre le hiv et ses conséquences ? TF1 ??? On aurait donc oublié un pan entier de notre histoire pour en arriver là...

Portrait de unepersonne

il me semble que le sida fait toujours peur aux gens meme si on essait de changer son image, les gens "en bonne santé " ne veulent pas prendre le risque d'aller se faire depister par peur des resultats des bilans sanguins, peur d'etre positif au VIH ce qui changerait completement leur vie peut etre pas sur l'instant mais sur le long terme forcement

ils se rassurent en cherchant dans leur tete s'ils ont pris des risques avec un tel ou un tel mais tant qu'ils n'ont pas une bonne raison de se faire depister ils ne le font pas ce que je peut comprendre

pourtant une personne sero ignorante court le risque de declarer la maladie justement parce qu'elle ne sait pas qu'elle est contaminée et pendant ce temps le virus fait son bonhomme de chemin dans l'organisme jusqu'au point de non retour , car un sida declaré n'est plus traitable par multitherapies selon mes sources

apres on ne peut pas forcer les gens à aller au depistage meme si ce serait une bonne chose pour les sero ignorants qui pourraient apres avoir digerer le choc se faire traiter pour ralentir l'avancée du virus

seule un loi votée en haut pourrait obliger les gens à se faire depister mais il me semble que pas tout le monde apprecierait

Portrait de Candy_Raton

Bonjour à tous,

Je réponds à ce sujet lancé complexe mais avec une problématique somme toute assez simple et légitime :

Alors qu'on sait aujourd'hui que :

- les traitements assurent aux séropo à peu près la même espérance de vie que les séroneg

- les séropos traités sous ARV ne sont plus contaminants

- si tout le monde était dépisté et traité précocémment, l'épidémie finirait par disparaitre au fil des générations


Avec toutes ces infos, dont on ne peut pas dire qu'elles soient tenues sous silence par les autorités, comment expliquer que tout le monde ne se fasse pas dépister, régulièrement, dès lors qu'on a des partenaires multiples, après un rapport à risque ou lors de l'apparition de symptômes de primo-infection ? Pourquoi M. Tout-le-Monde ne court-il pas dans ces lieux d'apaisement couverts de pétales de roses que sont les CDAG ou les labos, dans la joie et l'allégresse, la fleur au fusil, pour vivre un moment de grâce façon NKM dans le métro ?


Soyons réalistes : faire un dépistage, c'est dur. Très dur. Il ne s'agit pas d'aller voir son généraliste pour se faire prescrire du Doliprane. Pour franchir le pas du dépistage, il faut déjà avoir intégré la probabilité, le risque de se voir remettre un test positif. Imaginer que sa vie puisse basculer, en quelques secondes. Faire une rétrospective de ses prises de risques passées, se renvoyer en miroir son inconscience, sa procrastination, ses propres échecs amoureux, son infidélité compulsive, son addiction au sexe. Ou peut-être pire encore, sa propre angoisse lorsqu'elle est injustifiée. Non, personne ne va au dépistage par gaieté de coeur.

 

Passer un dépistage, c'est accepter aussi d'aller passer une heure ou deux dans une salle d'attente avec plein de gens angoissés, lire la gêne ou l'effroi dans les regards, être appelé à l'abattoir par un numéro comme lorsqu'on attend une livraison d’armoire chez Ikea. Détailler à un médecin ses pratiques sexuelles les plus intîmes On peut aussi passer ses tests dans un laboratoire de ville, saisir ou croire saisir les regards inquisiteurs du personnel, affronter parfois des questions indiscrètes d’une infirmière peu aguerrie, attendre un ou plusieurs jours l’enveloppe fatidique…   Oui, passer un dépistage, mis à part pour une minorité de population avec un rapport totalement détaché au risque, c’est une horreur. Certains ont besoin d’y aller accompagnés, d’autres d’y aller seuls face à eux-mêmes, d’autres encore se bourrent la gueule avant pour se donner du courage. A la rigueur, peu importe comment on y va, l’essentiel est d’y aller.

 

Certains l'ont souligné ici, et moi-même aussi dans un autre sujet : le rapport de terreur qu'entretient le public vis-à-vis du VIH a été forgé par des années de propagande hystérisante de la prévention, avec corps décharnés à l'agonie, lettres de sang sur fond noir et musique façon dents de la mer. Aujourd'hui encore, en 2014, si les messages sont plus soft que par le passé, on ne peut que s'arracher les cheveux en entendant encore, dans les brochures associatives ou les spots TV, des absurdismes comme "les traitements permettent de retarder l'arrivée du stade SIDA" ou "les trithérapies permettent de vivre plus longtemps". 

Une philosophie qui, c'est le moins qu'on puisse dire, ne semble plus vraiment payante, que ce soit en termes de maitrise de l'épidémie ou de garantie de subventions pour ces associations.

Alors, on fait quoi ? Eh bien il serait temps de changer radicalement et durablement le discours de prévention. Le recul sur la maladie et les stratégies de soins ont fait émerger ces dernières années des certitudes scientifiques nouvelles, qui n'étaient peut-être pas évidentes en 1996 : être dépisté et traité dès la primo-infection, c'est maximiser ses chances d'avoir un traitement plus léger par la suite, donc une qualité de vie qui se rapproche de la population séronégative. Une minorité de patients traités dès leur primo-infection peuvent même arrêter le traitement et restent indétectable plusieurs années (tiens au fait, que sont devenus les Visconti ? )


En d'autres termes, la prévention devrait aujourd'hui se focaliser sur :

- la description des symptômes de la primo-infection

- les risques encourus à vivre des années avec le VIH sans le savoir

- le bénéfice potentiel d'un dépistage et un traitement ultra-précoce


Avec ce type de message, on risquerait peut-être de voir débarquer dans les CDAG des hordes d'hypocondriaques enrhumés ou souffrant d'angine... mais si on pouvait par ce biais au moins inverser la courbe de tendance des contaminations, ça serait déjà un grand pas.


Candy.

 

Portrait de unepersonne

rien qu'en france environ 30000 personnes seraient sero ignorantes ! ce chiffre fait froid dans le dos apres je me demande comment ils l'ont calculé !

en pensant que si chacune de ces personnes en contaminent ne serait ce qu'une seule on passe du nombre 30000 à 60000 personnes contaminées

 comme  il est rare qu'une personne n' ait qu'une relation sexuelle dans sa vie, le nombre 60000 est faux

si des mesures ne sont pas prises pour obliger la population à se faire depister obligatoirement des millions de personnes pourraient se retrouver contaminées dans quelques années

Portrait de gys

Il me semble que nous sommes dans 1 ère où les humains sont résignés, individualistes, ils se comportent comme des autruches, moins ils en savent mieux ils se portent........

Si tous les humains se définissaient comme ils sont, en tout, même leur appartenance du genre, homo, hétéro, séropo, ils y auraient moins de peur et de tabou.

Par exemple, je suis séropo, je rencontre 1 personne je lui dis, j'analyse sa réaction, je lui demande si elle a des questions, que pour moi rien n'est tabou, et le dialogue s'instaure.....

Si les humains s'affichaient ouvertement, exemple : tous les homos, lesbiennes, bi se donnaient la main dans la rue, quoi, c choquant ??? alors qu'ils y a en liberté des criminels, des fous, des pédophiles ???

Si les humains avaient le courage de ce qu'ils sont vraiment, on ne ferait plus attention, ça deviendrait la banalité, comme les maladies...

Non je ne vis pas dans 1 monde de Bisounours, je suis lucide et révoltée de constater que le monde est si lâche !

C comme le Traitement d'urgence le TPE, est ce que vous en entendez parler ???? Non la plupart des gens ne connaissent pas, comment est-ce possible ???

En tous cas dans les DFA c'est comme ça !

On préfère afficher des pubs pour les voitures plutôt que celle ci qui serait fort utile........

Quand au discours de certaines personnes qui disent : MOI si j'étais séropo....blablabla....NON il faut expérimenter pour parler d'1 sujet, le virtuel, l'abstrait n'a pas sa place ici, tous les séronautes peuvent s'exprimer au contraire, ça fait avancer le smilblik, mais de grâce, ne vous mettez pas à la place de ces personnes qui sont dans la maladie depuis des décennies, quand la maladie vous atteint, c'est terminé, vous ne tenez pas les mêmes propos, et pour cause vous le VIHVEZ.

Et croyez moi tout change dans votre vie !

J'espère ne choquer personne mais c'est mon ressenti !

Bonne jrnée !

Portrait de ce0413

On attend que ça de vous (ON: la société, vous en minuscule; immature.).

Maman " société " a ses chouxchoux et ses tons-mous noir.

Ni l'un ni l'autre Je suits; Fote de frappe: JE SUIS.

G fée l'expérience de la non-famille ou plus exactement de la famille-multiple.Respect à Eve qui pendant 9 mois a été ma locomotive et mon wagon-restaurant.

Pour des raisons mécaniques d'autres locomotives ( Anne-Marie , Marguerite , Yvette , DDASS et j'en passe... ) ont décidées de prendre en charge le wagon-Loïc , bien à Vous Mesdames.

Abandonner ce wagon , ultime affront à Marie-Louise , Elle qui assume les siens sans mot dire ni maudire.

Passé(e) , Maman , je t'aime au présent.

2 7 expérience que je ne vous permets pas de juger ne serait-ce qu'en pensant " le pauvre "avec une pincée d'affliction feinte , j'en ai retiré une richesse.

Chaque locomotive , mécanique complexe a son propre fonctionnement. Ce qui m'était interdit par l'une m'était permis chez l'autre.Pas de vérité ni règles absolues.

Je vous rassure, elles fonctionnent ces locomotives; JE SUIS.

G en moi toutes les propositions qui sont complémentaires.Aux premiers abords je les voyais  opposées.

Au " VOIR " G ajouté le " COMPRENDRE " , le "CHERCHER " , l' " ACCEPTER ".

L'acceptation n'est pas  synonyme de résignation chez moi.Elle est éclairée par la compréhension et l'ultime conviction que le noir n'est qu'une nuance de blanc.

Chaque locomotive a ses propres wagons.Croire que j'étais le seul, mon billet sans retour pour l'intolérance et la descrimination.Toutes ces gares où s'égarent les UNIQUE , voix de garage.

Si la Mère , mer originelle , dans sa bonté t'envoie une nouvelle vague , n'hésites pas.

Les wagons avec qui G U la chance de voyager sont handicapés, de couleurs, de statut social différent, S+ pas à l'époque.Le petit train de la diversité circule encore.G pas oublié  de mettre beaucoup de charbon d'amour dans son foyer.

Pas d'embouteillage sur notre voie. Alimenter la haine semble plus facile que l'amour.Question pour vous: Tu cultives quoi dans ton coeur?

Pas question de faire appel à autrui pour pisser dans le bocal quand pris en état d'ivresse sur la voie publique,Mére société te demande des comptes.Tu fumes aussi?!!

Mes méres ( mémère ) sont plus tolérantes; l'interdit ok , selon et avec modération.

Ma question est le bocal.Il est étalonné que pour l'amour, le reste on s'en fourre.

J noeud suis pas hors sujet ( HS).G pris le temps, insensé, de lire vos posts.Qui fait quoi pour changer la marche des choses.

Les assos menaçantes , stigmatisantes, obligeantes.VIHvez avec le VIH.Merci gys.7 trop fort ton mot.

Je ne suis pas choqué gys par tes propos.Se voir tel que l'on est et voir l'autre tel qu'il est, un petit pas de géant que moi fourmis je faits.

Petites fourmis faisont ce pas de géant.

La société " Fourre me "( excuses  mont langue âge mûles  TIP le .) est bien plus évoluée que l'humaine.

Sous nos microcospes sophistiqués, l'harmonie nous n'avons pas compris.

Imagines que toutes les fourmis veulent devenir " REINE " ; affamer mes enfants vous serez.

Toutes soldat.Quel cause défendons-nous?

Batisseuses, logements vides.

Récolteuses , l'obésité.

Sur mon fil de funambule , petite fourmis tu n'a rien à craindre , je te suit.

Le souci du petit humain est là.Péter plus haut que son  cul 7 s'assoir sur sa merde.Lacheté oblige, 7 merde 7 pas moi , je le jure.Pilate s'en lave les mains ; je suis Ponce , te torcher le cul 7 pas mon bouleau.

Assumer sa vie et si quelqu'un veut la nier, la défendre.G pas honte d'être S+, homo  idem.Mère "société" tes lois me permettent de m'affirmer , ta maternité je l'a conteste.Dec clônes, des clowns , des clous.

Les mots m'en vole, m'envole

Pas de modération?Mon dix court( long quand je regarde les  lignes ) n'a rien de désobligeant.

Avec les inter-lignes, y'a du boulot.

@ 1 personne.

Ta supposée peur est bonne.Touts et toutes S+.

La terre entière est contaminée.Par le VIH?

Le MOI jeu,Je,jeu 2 Dieu, Je 2 dieux.

Fascinant l'écriture.Une majuscule , une " , " et tout bascule.

" Si " encore un mot irresponsable.Scie,cil, silh,sie,cî, si(la note).

Le futur est avenir.Seul le passé forge le présent, le présent le futur, le futur hypothèse.

Restreindre la vie à des statistiques, échafauds âges précaires.

Bien à vous, Nous.

Portrait de itzigani

Dans la réalité, les stats et les essais cliniques sonnent autrement. Il faut distinguer la médecine, la recherche et nos expériences, nos vies.

Il ne faut pas oublier que la France comporte les Dom-Tom où l'épidémie progresse rapidement, dûe à différents facteurs. Et n'oublions pas que les "groupes" les plus touchés sont les trans*, les travailleurs.ses du sexe et les migrants d'Afrique subsaharienne. Et se sont des groupes sous-représentés, sans accès facile et rapide aux lieux de préventions, de soins, du suivi social, du problème lié à la langue, la situation de couple, la culture, etc...

Les études s'est "joli", ça fait beau sur du papier, dans des conférences, ça rassure pour certain.e.s, ça rempli des blogs et des articles... mais les plus concernés n'en ont pas accès.

Et les mecs blancs et pédés qui remplissent les forums, et les commentaires sur FB, de leurs angoisses, de leur peur des médicaments, de leur paranoia sociales, de leurs petites libidos, etc... Cela n'a pas de sens. Nous sommes responsables, ici et maintenant, de faire des choix, de prendre les choses en main, de nous aider. Les problèmes, les solutions, nos vies sont dans la rue, pas sur le web. A distance, tout est facile. Les chiffres ne remplaceront pas nos consciences et nos actions. Et le temps passe. Et les plus démunis seront toujours les premiers à subir notre lâcheté.

Portrait de IMIM

très réaliste. Suis d'accord. L'exclusion sociale n'a jamais avantagé les + vulnérables d'entres eux

Mais ça continue à papoter "prévention"....

Il existe qq assos. qui s'investissent. Pas assez. Comme pour tt. Pas de moyens, pas de locaux, Des subventions supprimées.

Que de faux calcul à + ou - long terme !?!?

Portrait de bernardescudier

Après l'appel de l'OMS en Juillet qui appelle les homosexuels à prendre la Prep ( Truvada ), le Pr Pialoux ( coinvestigateur de l'essai ANRS- Ipergay) a expliqué au Nouvels Observateur ses propres opinions sur le Vih et la Prep. Il est relativement modéré par rapport à cet appel de l'Oms ( lire l'extrait de l'entretien avec la journaliste du Nouvel Obs - ci-dessous ).

Il insiste sur l'importance du préservatif par rapport à la Prep et sur le constat surprenant de la banalisation du VIh chez les nouveaux contaminés homosexuels qu'il reçoit à l'hôpital.


Source : article du Nouvel Observateur du 24 Juillet 2014 - N° 2594, intitulé : Sida. “ Les antirétroviraux ne sont qu’un aspect de la prévention ”.

http://www.seronet.info/billet_blog/truvada-les-antiretroviraux-ne-sont-quun-aspect-de-la-prevention



Extraits :


Le Nouvel Observateur "  Que pensez-vous de la préconisation de l’OMS, qui

recommande la prise d’antirétroviraux pour prévenir l’infection par le VIH ?

Gilles Pialoux : L'OMS est dans son role en donnant une recommandation, qui

n’est en rien une injonction. Mais je ne comprends pas bien son timing.

Aucune donnée nouvelle ne semble justifier une telle annonce. 

....  Pourquoi les contaminations continuent-elles chez les hommes homosexuels ? Parce qu’ils ont un plus grand nombre de partenaires et des pratiques à risque. Le barebacking ( rapports sexuels non protégés ) existe toujours. Sur les sites de rencontresgays, certains assument totalement de ne pas mettre de préservatif.

A cela s’ajoutent de nouveaux comportements dangereux apparus il y a peu avec la consommation de drogues de synthèse. Et puis, dans la communauté gay, beaucoup banalisent la maladie. On le voit à l’hôpital : lorsqu’on annonce à certains homosexuels qu’ils sont contaminés, cette nouvelle ne les ébranle pas forcément ..."


(1) ANRS-Ipergay.

 

NB = Les comprimés de Truvada. Aux Etats-Unis, ils sont autorisés chez les sujets sains depuis deux ans. damien meyer:afp - kerr y sheri dan /afp

Si vous voulez des informations supplémentaires sur le Truvada et la

Prep consultez le site de la radio en ligne du comité des familles qui est

partenaire de Aides.

 Un débat a été organisé sur ce theme avec des interventions différentes :

d'un infectiologue, de membres d'association partenaires du projet Ipergay et

des auditeurs sous la houlette d'une journaliste Sandra Jean-Pierre.

Vous pouvez Podcastez l'émission du 10 juin 2014 en suivant ce lien :

http://comitedesfamilles.net/nos-emissions-de-radio/emission-de-radio-du-mardi-10-juin/article/bernard-escudier-derriere-l-essai

Portrait de IMIM

Bernard pour t infos tjrs fort utiles et

J'ai pris le temps de lire les derniers posts (j'avoue avoir survoler la dernière fois!)

BIG UP  à vous Gys Loïc et Itzigani. Chacun à notre manière et selon nos moyens cherchons à enrayer la sérophobie,  la xénophobie, le racisme, l'homophobie et toutes formes d' "intolérance"qui je crois est le pire des virus....., 

Bien à vous