tu vois, je ne dors pas, je devrais roupiller après toute cette fatigue accumulée, toutes ces années à m'inquiéter du lendemain, pour rien, je devrais peut-être te regarder dormir, tu es si beau quand tu dors, quand tu te tais, en fait je ne t'ai jamais aimé que dans ton sommeil, sauf quand tu ronfles, ou lorsque tu me donnes des grands coups de coude en gigotant, qu'est-ce que j'ai pu t'aimer,...