PVVIH : usage de substances et observance
Une étude parue dans "PLoS one" relève l’enjeu d’un repérage et d’une prise en charge précoces de la santé globale et des consommations à risque au moment de l’entrée dans un dispositif de traitement antirétroviral des personnes vivant avec le VIH, indique la lettre d’infos "Actualités des addictions" (1). L’étude a porté sur un échantillon de 136 personnes vivant avec le VIH en Afrique du Sud. Au moment de l’inclusion dans le traitement anti-VIH, d’après les indicateurs de santé mentale retenus, 33 % des personnes présentaient une dépression, 49 % des troubles de l’anxiété et 33 % des troubles du mésusage d’alcool. A six mois après l’inclusion dans l’étude, les personnes présentant des troubles du mésusage d’alcool et les personnes présentant une dépression étaient moins enclines à poursuivre le traitement anti-VIH que celles présentant une dépression ou des troubles de l’anxiété.
(1) : Actualités des addictions, lettre d’infos du 17 janvier 2018, Fédération Addiction et Respadd
Source : "PLoS one", "Depression and alcohol use disorder at antiretroviral therapy initiationled to desengagement from care in South Africa", Cichowitz C1, Maraba N2, Hamilton R3, Charalambous S2,4, Hoffmann CJ2,4,5., 27 décembre 2017.
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Commentaires
pas besoin de vivre en Afrique
j'ai constaté que beaucoup de personnes consomment du canabïs et cigarettes et parfois des drogues dures
moi c'était alcool et je ne sais l'expliquer depuis la dernière prise de sang je ne veux olus en boire même dans mes cadeaux
je pense que c'était pour être comme bébé il y a eu certainement de l'alcool dans mon biberon