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Mots clés  : recherche vaccinale

Bonsoir, Pour votre information voici une publication vue aujourd'hui sur le compte Facebook de Biosantech...A suivre avant de juger. http://vaccines-immunization.conferenceseries.com/renowned-… Bonjour à tous, Le Dr Erwann Loret a été invité en tant que conférencier au congrès de Berlin "Vaccines and Immunization" qui se tiendra le lundi 20 et mardi 21 février. Le titre de sa conférence est : un espoir raisonnable de guérir du Sida avec le vaccin Tat Oyi, dont le sujet rapporte l'évolution des résultats sur le suivi de la cohorte en double aveugle de la phase I/IIa de l'essai clinique. Résultats qui, après avoir été approuvés par les scientifiques de la communauté internationale de Berlin feront l'objet d'une conférence de presse le 28 février 2017.

Commentaires

Portrait de jl06

 bien gentil ton commentaire ...juste que deja faut la trouver la publication ....

et alors la surprise ta  l,impression de deja lu ....2ans en arrieres 

Bon maintenant de souhaite me trompé !

Portrait de lucie06

Je partage une information sur une communication à venir...rien de plus. Je n'ai pas d' actions ou parts dans cette société...je suppose que les résultats annoncés auparavantavec deux ans de plus de recul permettront de valider ou pas cette voie de recherche...bonne soirée..

Portrait de lucie06

Le programme de la conférence de Berlin

conferenceseries.com
Scientific Program

February 20-21, 2017 Berlin, Germany

15th Annual Summit on Vaccines and Immunization

Day 1 | February 20, 2017 | Monday

Sessions:

Vaccine Delivery Systems and Adjuvants | Vaccine Production and Delivery Technologies | Hepatitis,
HIV and STD Vaccines | Vaccination for Emerging and Re-emerging Diseases | Cancer Vaccines
Session Chair: Giulio Tarro, Foundation de Beaumont Bonelli for Cancer Research, Italy
Session Co-chair: Yusuf Omosun, Morehouse School of Medicine, USA

Session Introduction

11:05-11:30

Title: VCG modulate innate and adaptive immunity to vaccine antigens
Yusuf Omosun, Morehouse School of Medicine, USA

11:30-11:55

Title: The emerging role of ASC in dendritic cell metabolism and function during chlamydia
infection
Qing He, Morehouse School of Medicine, USA

11:55-12:20

Title: The use of new adjuvants and VLPs for the development of vaccines for emerging and
infectious diseases
Gustavo Cabral de Miranda, University of Oxford, UK

12:20-12:45

Title: Pulmonary delivery of a mucosal nanocarrier vaccine for Pneumonia
Imran Saleem, Liverpool John Moores University, UK

Session Chair: Francis Eko, Morehouse School of Medicine, USA
Session Co-chair: Talin Barissani-Asenbauer, Medical University of Vienna, Austria
Session Introduction

13:45-14:15

Title: Next-generation millisecond manufacture of genetic vaccines and lipid/polymer-based vaccines
Nadia Tagnaouti, Precision NanoSystems Inc., Canada

14:15-14:40

Title: A reasonable hope to cure HIV with the Tat Oyi vaccine: Results and follow up of a
double blinded randomized phase I/IIa clinical trial in France
Erwann Loret, Aix Marseille University, France

Portrait de lucie06

Pour information article paru aujourd'hui dans la Provence

Lutte contre la sida : une nouvelle étape décisive

Mardi 28/02/2017 à 05H05 Marseille

·                  

 

Les résultats des vaccins testés sur l'homme à La Conception ouvrent des perspectives de traitement, voire de guérison

C'est une nouvelle étape sur le long et difficile chemin vers la découverte d'un vaccin contre le Sida. Aujourd'hui, à Sophia Antipolis, le biologiste marseillais (CNRS/Amu), Erwann Loret et le laboratoire Biosantech livreront un bilan des essais sur l'homme de leur candidat vaccin, ciblant la protéine Tat Oyi. Un protocole mené depuis 2013 auprès de 48 patients à l'hôpital de La Conception sous la conduite du Dr Isabelle Ravaux. Ces résultats, restitués la semaine dernière au sommet international annuel "Vaccines and immunization" de Berlin, confirment et précisent les données très prometteuses publiées en mars 2016 dans la revue scientifique Retroviroly, dont La Provence s'était fait l'écho.

Les tests sur l'homme ont consisté à injecter à ces patients volontaires, en arrêt momentané de trithérapie, trois injections du vaccin. Les 48 testeurs ont été répartis en quatre groupes de 12 à dosages différents : un groupe placebo, un groupe à 11 microgrammes (mcg), un groupe à 33 mcg et le dernier à 99 mcg.

"Le résultat le plus remarquable est que les cellules infectées par le VIH ne sont plus détectables chez une dizaine de patients. Et ce depuis deux ans, ce qui est tout à fait exceptionnel", explique le Dr Loret, qui précise : "Si des épisodes de ce type sont observés parfois chez des patients, cela ne s'était encore jamais produit sur une telle durée." L'arrêt de la trithérapie entraîne toujours un phénomène de "rebond virémique", ce qui n'a pas été le cas pour 50 % des patients traités à la dose de 33 mcg, mais aussi chez deux sujets traités à 11 mcg et deux autres à 99 mcg.

"Le vaccin a donc incontestablement un effet sur le réservoir des cellules infectées qui, chez l'ensemble des patients traités, a diminué." Ce phénomène est d'autant plus encourageant que la disparition des cellules infectées a été la première étape constatée chez le fameux "patient de Berlin", l'Américain Timothy Brown, seul cas connu au monde de guérison du sida, à ce jour inexpliquée.

Mais les essais conduits à Marseille ont produit d'autres effets : "Chez deux patients, nous avons observé une rétroseroconversion depuis l'automne dernier, explique Erwann Loret. Il s'agit là d'un signal du système immunitaire qui ne voyant plus de cellules infectées, fait chuter son taux d'anticorps." Là encore, ce phénomène avait été observé en 2012 chez le patient de Berlin qui fut déclaré "guéri du Sida" trois ans plus tard.

Cela signifie-t-il que les deux patients marseillais en rétroconversion vont suivre ce même chemin ? Là est toute la question, qui va alimenter les travaux à venir du Dr Loret et de Biosantech. "Nous allons, avec l'Agence du médicament, proposer à ces deux patients qui ont repris la trithérapie d'arrêter leur traitement, sous suivi médical. Si, après trois mois, les cellules infectées sont toujours indétectables, on pourra alors parler de guérison fonctionnelle."

Un état que l'on estime encore réversible pendant deux ans. Deux années au terme desquelles, si les cellules infectées n'ont toujours pas proliféré, on pourra alors parler de guérison définitive.

Le Dr Loret s'attend en outre à ce que, parmi les 10 patients évoqués plus haut, d'autres prennent le chemin d'une rétroconversion. "Nous allons donc continuer à les suivre et leur proposer le cas échéant un arrêt de la trithérapie sous contrôle médical." À terme, un vaccin sous Autorisation temporaire d'utilisation (ATU) devrait être fourni à des centres de soins, pour permettre à des patients VIH d'en bénéficier, hors essais cliniques. "Tout va dépendre de la capacité de nos 10 patients à rester indétectables d'ici à un an", précise Erwann Loret qui se fixe déjà, avec le labo biosantech, "un objectif d'un premier lot de 10 000 doses à produire".

Sophie Manelli

Portrait de jl06

Je crois que l,ons demande tous et toutes à croire à cette nouvelle! 

merci voisine ? 

Portrait de goldo

" L'arrêt de la trithérapie entraîne toujours un phénomène de "rebond virémique", ce qui n'a pas été le cas pour 50 % des patients traités à la dose de 33 mcg, mais aussi chez deux sujets traités à 11 mcg et deux autres à 99 mcg."



- Cela fonctionnerait donc pour 10 patients sur 48... Pourquoi ?


- Cela fonctionnerait mieux avec la dose moyenne (pas de rebond virémique pour 6 personnes sur 12) qu'avec la plus forte dose (pas de rebond virémique pour 2 personnes sur 12)... Pourquoi ?


- Le résultat obtenu avec la plus forte dose (pas de rebond virémique pour 2 personnes sur 12)  n'est pas meilleur que celui obtenu avec la dose la plus faible... Pourquoi ?


- Quelles sont les résultats obtenus pour le groupe placebo ?

Portrait de jl06

http://www.20minutes.fr/nice/2022039-20170228-vaccin-contre-sida-sophia-...

Encore une affaire d influence ....sur notre dos !

sont trop occupé à faire leur bagages  sur Paris ;ou se recaser ....

Portrait de Saamred

Nan mais là c'est grave la ... c'est immonde 

Portrait de lucie06

goldo wrote:

" L'arrêt de la trithérapie entraîne toujours un phénomène de "rebond virémique", ce qui n'a pas été le cas pour 50 % des patients traités à la dose de 33 mcg, mais aussi chez deux sujets traités à 11 mcg et deux autres à 99 mcg."
- Cela fonctionnerait donc pour 10 patients sur 48... Pourquoi ?
- Cela fonctionnerait mieux avec la dose moyenne (
pas de rebond virémique pour 6 personnes sur 12) qu'avec la plus forte dose (pas de rebond virémique pour 2 personnes sur 12)... Pourquoi ?
- Le résultat obtenu avec la plus forte dose (pas de rebond virémique pour 2 personnes sur 12)  n'est pas meilleur que celui obtenu avec la dose la plus faible... Pourquoi ?
- Quelles sont les résultats obtenus pour le groupe placebo ?


Réponse 1 :

 

De ce que j'ai compris : 12 patients placebos 12 patients doses 11 mcg 12 patients doses 33mcg 12 patients doses 99 mcg

Pas de rebond pour  : 1 placebo, 2 11 mcg, 6 33 mcg, 2 99 mcg

Réponse 2 :

Apparament la dose de 99 mcg est trop forte donc l'organisme ne donne pas la bonne réponse immédiatement. Il y a cependant une adaptation dans le temps plus long.

Mais il n'est pas impossible qu'une dose entre 33 mcg et 99 mcg soit encore plus efficace

Réponse 3

Apparament c'est le problème inverse, dose trop faible donc le corps met plus de temps à réagir


Réponse 4


voir réponse 1

En terme trés basique...voilà ce que j'ai compris de la conférence de presse...

Portrait de lucie06

Donc Erwann Loret n'a pas pu se rendre à cette conférence de presse suite à une interdiction du CNRS qui date d'hier..

C'est incompréhensible car ces mêmes résultats ont été présentés officiellement à la conférence de Berlin le 20 février par Erwann Loret avec autoristation du CNRS...

La PDG de Biosantech qui a discours de chef d'entreprise  peut légitimement se poser la question : pourquoi le CNRS veut ma peau !

La lettre ouverte à la Ministre de la Santé aura-t-elle une réponse ? Intéressant à suivre .

Je n'ose imaginer l'état d'esprit des patients qui participent à cet essai...certains viennent d'apprendre qu'ils font soit peut être partie de patients sans rebond s' ils arrêtent ponctuellement leur trithérapie  soit des 2 patients qui sont possiblement en phase de retro séroconversion mais que l'étude va s'arrêter sur une décision non motivée du CNRS...c'est IGNOBLE !!!!

Portrait de jl06

 Et il pas ^possible de foutre le bazard sur les réseaux socios ? ( je connait pas )

pour que les journalistes ce bouje le cul ? 

une époque ou tout  transparait ....

Portrait de Sophie-seronet

Hello,

Un article qui résume assez bien la situation.

Bonne journée. Sophie

Portrait de jl06

Faut allé chercher les infos sur une ille ...je vais pas me plaindre j,adorre !jy serait tout Juin ,

mais bon quand meme bizarre mad Treger , remarque un peut la famille ....

on attend comme dab ....

merci Sophie 

Portrait de Jim83

J'ai lu un article sur ce sujet dans la soirée.

En précisant que ça sera mieux car avec les arv les patients avaient une espérance de vie qui dépasse pas 20 ans... 

Sûrement un rédacteur qui ne sest pas très bien informé sur le sujet...

Portrait de jean-rene

Oui, tu peux signaler à ce rédacteur que, grâce aux ARV, j'ai, jusqu'à présent, survécu 34 ans depuis mon infection par le VIH.

Portrait de fil

Quelques précisions sur « l’espoir fou » du vaccin contre le sida mis au point à Marseille

https://jeanyvesnau.com/2017/03/01/quelques-precisions-sur-lespoir-fou-d...

Portrait de vat1023

Dernier baroud donneur pour MME TREGER qui n'a pas réussi à lancer sa phase IIb et n'a pas retrouvé de repreneur.

Alors elle préfère certainement dire que c'est la faute aux grands méchantes institutions...

Tous se sont désolidarisés après les résultats et la communication faite. Ce n'est surement pas un hasard.

Et puis si c'était si génial elle aurait des centaines de demandes de rachat pour son brevet !

Donc faut oublier Biosantech ....

et pour bien comprendre la mentalité et la façon de procéder de l'entourage de Biosantechdu voilà un article très bien investigué :

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/sida-trafic-de-faux-medicament-ent...

Portrait de rosamistika

L’espoir  fait  vivre;

J’espère de tout mon être qu'en fin  cette histoire de vaccin soit véritablement la réalité.

 Dieu nous bénissent tous.

Portrait de lucie06

vat1023 wrote:

Dernier baroud donneur pour MME TREGER qui n'a pas réussi à lancer sa phase IIb et n'a pas retrouvé de repreneur.

Alors elle préfère certainement dire que c'est la faute aux grands méchantes institutions...

Tous se sont désolidarisés après les résultats et la communication faite. Ce n'est surement pas un hasard.

Et puis si c'était si génial elle aurait des centaines de demandes de rachat pour son brevet !

Donc faut oublier Biosantech ....

et pour bien comprendre la mentalité et la façon de procéder de l'entourage de Biosantechdu voilà un article très bien investigué.

J'espère quand même que l'hôpital de Marseille et un hôpital au fond de la brousse africaine n 'ont pas les mêmes normes de travail...enfin les essais ont eu lieu sous le contrôle du docteur Ravaux qui n'a rien à voir avec toute cette histoire...

Aprés effectivement, être bien entouré est très important...et nous saurons probablement assez rapidement si cette piste de recherche est définitivement fermée...

Portrait de vat1023

Les hôpitaux ne sont pas visés. L'article vise bien M. CORREA et son pseudo institut IISDRSI.

Hors celui-ci était au coeur de la communication de Biosantech et à son conseil d'administration.... (il ne l'est plus depuis quelques mois) :

- La recherche de capitaux via HAPPY CAPITAL était présenté avec la caution scientifique de ce pseudo institut.

- La seule publicaiton scientifique de Biosantech s'est faite dans Retrovirology, toujours dans l'entourage de M. CORREA, via le docteur Wainberg (très bien expliqué dans l'article).

Effectivement la seule personne qui semblait amené un peu de crédit dans tout cela est le docteur RAVAUX mais depuis la publication on ne l'entend plus sur le sujet.

Donc tout cela ne donne pas trop de raison d'espérer quelquechose de BIOSANTECH.

Portrait de lucie06

Voici un article de LA PROVENCE qui pose une bonne question : scandale ou scandale

Vaccin du sida à Marseille : un scandale... ou un scandale ? Mardi 07/03/2017 à 09H19 Marseille

Etrange et dérangeante affaire que cette polémique autour d'un vaccin contre le sida.

Depuis l'annonce, mardi dernier, dans La Provence, des résultats de ses essais sur l'homme, conduits à Marseille depuis 2013, et de sa volonté d'étendre ces recherches (phase IIb), le Dr Erwann Loret a reçu l'ordre de son employeur, le CNRS, de cesser toute communication à ce sujet et d'interrompre ses travaux.

Dans un communiqué commun laconique, le CNRS, Aix-Marseille Université (AMU) et l'Assistance publique-hôpitaux de Marseille (AP-HM) ont précisé qu'ils n'avaient, à ce jour, "connaissance d'aucun projet d'essai clinique de phase IIb ou ultérieure portant sur un vaccin thérapeutique contre le VIH". Ces institutions rappellent que "le développement et l'essai de possibles produits de santé s'inscrivent dans des cadres juridiques stricts, afin de protéger les patients et de garantir la confiance du public dans le système de soins". Elles soulignent enfin, "sur un sujet aussi grave", "la nécessité de s'exprimer avec mesure et objectivité, afin de ne pas éveiller d'espoirs qui se révéleraient infondés".

De deux choses l'une :

- Soit le Dr Erwann Loret est un manipulateur, qui espère récolter des fonds grâce à des effets d'annonce sur de pseudo-avancées de son vaccin . Dans ce cas, il serait scandaleux que les autorités de santé le laissent opérer depuis tant d'années (ses premiers travaux datent de 2001). Et surtout qu'elles l'aient autorisé à pratiquer des essais cliniques sur l'homme, dans un hôpital public (La Conception à Marseille), auprès de 48 patients séropositifs, chez qui la trithérapie a été arrêtée pendant deux mois...

- Soit les accusations portées depuis de nombreuses années par le Dr Loret et le laboratoire Biosantech sont justifiées. A savoir que ses recherches se heurteraient à un projet concurrent (soutenu par l'Agence nationale de recherche contre le Sida, ANRS) et au lobbying de l'industrie pharmaceutique qui s'inquiète de l'arrivée d'un nouveau traitement beaucoup moins rentable que les trithérapies. Une deuxième hypothèse également scandaleuse.

Alors scandale... ou scandale ?

Pour le moment, la question reste sans réponse. Contactés par La Provence, le CNRS comme l'AMU, n'ont pas voulu s'exprimer plus avant sur le sujet. Même mutisme à l'AP-HM. Quant au Dr Loret, il a été astreint au silence par le CNRS.

Ce qui est certain, c'est que ce chercheur titulaire au CNRS depuis 1992, se heurte depuis des années à l'incrédulité d'un certain establishment de la recherche en France. Depuis ses premières publications en 2004 sur la protéine TAT (à la base de ses recherches), ni les prix internationaux, comme le prestigieux GlaxoSmith Klein en 2001, ni les encouragements du Pr Robert Gallo, co-découvreur du VIH, ni le prix de l'innovation décerné en 2003 par l'INPI, ni les résultats indiscutables obtenus chez l'animal, n'ont convaincu les organismes publics de financer ses recherches.

En 2013, alors que Loret venait d'obtenir l'agrément pour conduire à Marseille ses tests sur l'homme, le CNRS lui avait signifié sa mutation... à Montpellier, avant de se rétracter. Les erreurs de communication du laboratoire privé Biosantech, qui a acheté ses brevets, ont-elles suffi à plomber ses recherches ?

Seule certitude à ce jour : les annonces du chercheur marseillais figurent bien dans le rapport qu'il a remis le 16 décembre dernier à l'Agence nationale du médicament (ANSM). 10 patients vaccinés qui sont devenus et restent ADN indétectable.

Le Dr Loret a été sommé de cesser ses travaux, pour se consacrer à la recherche sur... les anémones de mer.

Portrait de Saamred

Non mais franchement on vent en savoir plus ... On peut pas juste se dire on stop les recherches,on cesse les communications,on est en france,on est en 2017,le projet a été publié dans retrovirology.

Je suis sûr qu'il y'a le traitement et qu'ils veulent pas nous le donner vraiment ...

C'est une histoire d'argent et d'intêret c'est tout.

Portrait de detlevera

Ben, que font les associations ?

Pourquoi ne font elles pas davantage de "bruit" pour obtenir la vérité, quelle qu'elle soit ??? 

Portrait de goldo

Je pense que tout cela est de la foutaise.

Imaginez : vous êtes chercheur au CNRS, vous êtes sur le point de trouver « LE » vaccin qui vous fera entrer dans l’histoire et vous vaudra le prix Nobel…

Et le CNRS vous met des bâtons dans les roues.

Vous ne démissionneriez pas ? vous ne trouveriez personnes pour vous engager ? Vous ne trouveriez personnes pour vous financer à suffisance ?

Des milliardaires malades, il y en a. Pourquoi aucun mécène ne soutient à bout de bras ce projet qui, si on écoute les dire de Biosantech, devrait être révolutionnaire.

Il y a quelque chose qui cloche dans cette histoire.Si tout cela était vrai, Loret aurait quitté le CNRS il y a belle lurette et aurait terminé son projet.

Portrait de jean-rene

Ce qui serait intéressant de savoir, c'est : qu'est-ce que le CNRS reproche à Loret pour être aussi méfiant à son égard ?

Il y a un rat dans le placard.

Portrait de vat1023

Pour suivre depuis quelques temps maintenant je pense que c'est "simplement" un problème de communication.

D'un côté certains média rentrent dans le jeu de Biosantech et son équipe qui consiste à faire une annonce mélangeant espoir du siècle et consipiration du type "on a le vaccin" mais "les grands méchants avident d'argent nous empêchent de le sortir".

Après tout cela marche toujours, et malheureusement encore plus sur un sujet aussi grave. 

De l'autre les confrères, institutions de recherche et média scientifique qui veulent relativiser tout effet d'annonce sans véracité scientifique.

Il y a une règle dans le domaine scientifique qui consiste à publier les résultats de ces recherches pour les faire valider.

La seule publication de Biosantech est dans Retrovirology :

- pas d'un super niveau

- collaboration douteuse avec le professeur Wainberg

- les scientifiques les plus neutres y ont répondu : "ce ne sont pas les réultats annoncés en conférence de presse mais ce n'est pas ininteressant"

Alors quand certain titre encore "sandale ou scandale"... cela serait plutôt "un essai qui semble donné des résultats pas ininteressant mais loin des annonces de Biosantech + y en a assez des ces annonces en conférence de presse !!".

Si on a 10 patients en voie de rémission baaahh y a qu'à faire un update de la publicaiton de Retrovirology avec données à l'appui !! Voir publier dans une revue scientifique à renommée plus reconnue !!!!

Pourquoi Biosantech passe toujours par la case victimisation, c'est ça la vrai question ?

Portrait de goldo

D’un autre côté, Wainberg n’est vraiment pas n’importe qui, c’est le père de la trithérapie.

Et à une certaine époque, le professeur Jean-Claude Chermann, le « prix nobel oublié » aurait affirmé que les recherches de Biosantech étaient intéressantes et méritaient d’être approfondies.

Par contre, quand on voit la page Facebook de Corine Treger (https://www.facebook.com/corinne.treger?fref=ts), avec des petits chats, des peties chiens, des je-vous-salue-marie, cela ne fait pas très sérieux.

Et l’histoire de la combinaison du « vaccin Tat OYI » avec « imunorex » un prétendu quasi-vaccin (on le présentait comme cela sur certaines pages internet) développé par un professeur africain dénommé Donation Mavoungou (https://fr.wikipedia.org/wiki/Donatien_Mavoungou) dont on ne parle plus…

La barque commence à être un peu trop chargée. Il y a, à tout le moins, un manque de sérieux.

Portrait de Jim83

J'étais à mon rdv avec les pr lafeuillade ce matin. J'avais entame le sujet sur les nouveaux traitement pour parler à un moment donné de biosantech. 

Il m'a affirmé que c'était un canular et que ce n'était pas de vrais scientifiques 

Portrait de lucie06

Jim83...faut être sérieux les essais ont été autorisés et se sont passés à l'APHM de Marseille sous la dierction du docteur Ravaux....ce ne sont pas des essais dans une arrière boutique ...

L'explication du canular est vraiment trop drôle...enfin non ça fait pleurer, vu qui vous l'a dit...

Portrait de lucie06

Intéressant...Polémique sur le vaccin anti-VIH : Biosantech répond au CNRS

Projet sérieux ou pas ? Le bras-de-fer avec la direction du CNRS engagé à l'occasion de la présentation des résultats de la première phase de test de son vaccin thérapeutique anti-VIH a jeté un froid. Présidente de la société sophipolitaine, Corinne Treger a tenu de répondre aux questions qui se posent : Biosantech a bien engagé les démarches pour la seconde phase de test et propose aux autorités publiques (CNRS/APHM) de se soumettre à toutes les vérifications demandées.

Espoir sérieux d'un vaccin contre le virus du sida? Ou faux espoir à vite enterrer ? Le bras de fer engagé entre la société Biosantech de Sophia Antipolis et la direction nationale du CNRS à l'occasion de la publication fin février des résultats de la première phase de test de son vaccin thérapeutique anti-VIH avait de quoi laisser perplexe sur les effets de la protéine Tat Oyi. Cette protéine est censée s'attaquer à la toxine TAT qui protège le virus du sida de l’action du système immunitaire. Par ce biais, elle ouvre des perspectives sur un vaccin thérapeutique anti-VIH et la première phase de test que devait présenter au Golden Tulip de Sophia son "découvreur", le Dr Erwann Loret, chercheur au CNRS, s'annonçait prometteuse.

Le CNRS "n'a connaissance d'aucun projet de poursuite d'essai clinique"

Sauf que, la veille de cette présentation, la direction nationale du CNRS a formellement défendu à son chercheur de venir et même de s'exprimer sur cette question. Les raisons de ce refus n'ont pas été très explicites, le CNRS n'ayant pas motivé sa décision. Juste se rappelle-t-on qu'en juin 2016 déjà, la direction du CNRS avait ordonné à son chercheur de cesser toute recherche sur le vaccin Tat Oyi et d'arrêter à travailler avec Biosantech. Ce dernier avait cependant pu continuer ses travaux en intégrant une unité de recherche à Marseille.

Interrogé par le quotidien "La Tribune", le CNRS a expliqué son refus ainsi : "l'essai clinique s'est terminé en fin de phase I/IIa depuis plus d'un an" et "le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) n'a connaissance d'aucun projet de poursuite d'essai clinique".  Corinne Treger, présidente de Biosantech, a voulu aussi répondre aux questions soulevées depuis la conférence de presse "bousculée" du 28 février. Sur le fait que le CNRS dit tout ignorer de la poursuite des travaux liés aux recherches du docteur Loret sur la Tat Oyi, depuis la fin de la phase Iia, elle rappelle que le CNRS a envoyé le 20 février 2017, avec ordre de mission officiel, le Dr Loret présenter dans une conférence scientifique à Berlin les derniers résultats du suivi des patients de l’essai depuis décembre 2014.

Une proposition de poursuivre les travaux avec les autorités publiques

D'autre part, selon Corinne Treger, de nombreux échanges d’emails prouvent les relations nourries entre Biosantech et la SATT -organisme chargé de promouvoir le transfert de technologie des brevets du CNRS- sur les résultats des travaux et les échanges de Biosantech avec l’ANSM pour établir le protocole de la phase IIb. Cette seconde phase vise à étudier les patients en état de retro séroconversion avec arrêt complet de leur trithérapie, pour observer une éventuelle étape de guérison fonctionnelle (à savoir l’indétectabilité des cellules et particules virales pendant trois mois après l’arrêt de la trithérapie). Une phase pour laquelle les démarches administratives ont été engagées.

La présidente de Biosantech ne croit pas cependant à un simple imbroglio administrati. Toujours dans "La Tribune", elle dit craindre que le CNRS ne soit en fait  poussé par l'Inserm avec qui Biosantech entrerait en quelque sorte en concurrence. "L'Inserm détient un brevet de vaccin contre le sida, développé par l'ANRS. C'est la seule voie de recherche indiquée sur leur site. Ils le développent depuis quinze ans, cela n'avance pas et coûte plusieurs millions d'euros par an à la France. En outre, l'ANRS a donné 20 millions d'euros à Roche pour développer un vaccin contre le sida. Cela n'avance pas non plus", explique Corinne Treger.

Et pour faire cesser toute polémique et attaque sur les résultats scientifiques, de proposer aux autorités publiques (CNRS/APHM) de se soumettre à toutes les vérifications demandées, en toute transparence et de poursuivre ensuite les travaux avec elles. "Cela permettrait de créer une dynamique positive pour une réponse à ce que Biosantech n’annonce pas comme "solution miracle ou cure miracle" mais comme "un espoir raisonnable de guérison" selon les critères scientifiques observés. Ce qui est bien différent et montre toute la volonté de ne pas donner de faux espoirs aux malades, ni de faire des effets d’annonces en conflit avec un quelconque calendrier caritatif, tout en ne minorant pas non plus l’exigence qu’il y a à poursuivre et finaliser cet essai."

Portrait de jl06

La lutte public /privé bas sont pleins .....ils se foute de nous comme de leur premiere chemise ....

Portrait de jean-rene

Je ne crois pas qu'il s'agisse d'une "lutte public/privé" puisque, contre BIOSANTECH, il semble qu'il y ait déjà 2 voies de recherche de vaccin déjà financées : la voie de l'INSERM (public) et la voie de ROCHE (privé).

Portrait de franckysud

moi ce qui m'interpelle , c'est le ridicule des sommes en jeux...on parle de 2 millions pour biosantech, d'une 10ène de millions en tout et pourtout pour roche...

quant tu connais les montants pharaoniques inverstis par les géants de la net economie dans la santé au us et dans des projets vraiments loufoque parfois, j'ai du mal à comprendre comment ils n'arrivent pas à trouver des investisseurs...

il y a un coté très surané à cette histoire, une dispute de fourmies dans un monde d'éléphants...

Portrait de lucie06

Je comprends et partage votre étonnement mais sans doute  le VIH = Homos et Afrique pour encore beaucoup de monde...Les mentalités ont du mal a évoluer.

Si on compare les dons par exemple entre le SIDACTION et le TELETHON...le gouffre est  immense et pourtant je suppose que le risque de contracter le VIH est sans doute bien plus grand que de contracter une maladié génétique incurable...mais beaucoup de personne ne se sentent pas concernées..

Portrait de lucie06

Bonjour,

Vu aujourd'hui un nouveau reportage sur Biosantech au journal de la santé sur France 5.

La communication de BIOSANTECH est une nouvelle fois dénoncée.

La validité de la voie de recherche de BIOSANTECH est confirmée par le professeur LELIEVRE de l'hôpital Mondor (spécialiste en imunologie)

La voie de recherche sur la protéine TAT est jugée "intéressante et crédible" par ce professeur.

Les résultats sont jugés trop préliminaires pour annoncer la mise au point d'un vaccin.

Pourquoi dans ces conditions ne pas passer à la phase suivante ? Pourquoi arrêter à ce stade si c'est une voie de recherche qui est "intéressante et crédible " ? Pourquoi ça bloque entre le CNRS et BIOSANTECH ?   J'ai un peu de mal à comprendre...

Ce qui est étrange c'est que les 2 animateurs (quelles sont leurs compétences ?) sur le plateau à la fin du reportage déjugent le professeur Lelievre en laissant entendre que les recherches de BIOSANTECH...C'est du vent. Et oui selon eux les prochains dons pour le sidaction iront à la vraie recherche...

J'ai trouvé ce dernier commentaire avec un sourire narquois insultant pour les 48 patients qui ont participé à cet essai en les faisant implicitement passer pour les dindons de la farce...Ces patients espérent sans doute continuer un essai qualifié d'interéssant et crédible par un professeur exterieur à cette voie de recherche...

Portrait de jl06

Hier aux soir dans la soirée du Sidaction La maitre de cérémonie ( Line Renaud )à bien dit  qu,il ni aurait jamais de vaccin  ,

ou j,ai révé? 

 par contre on parle bien de nouveau traitemant , assez rapidement ,(prise mensuelle ) 

Portrait de jean-rene

Bien sûr, JLB, qu'il n'y aura jamais de vaccin au sens propre, c'est à dire empêchant toute contamination, car le VIH se présente sous des formes tellement multiples qu'on ne parvient pas à trouver l'élément commun contre lequel créer un vaccin.

Ce que BIOSANTECH et d'autres, appellent "vaccin", c'est un médoc permettant d'éradiquer le virus APRES contamination.

Portrait de Exit

Je ne suis pas d'accord puisque la Suisse est le pays européen qui est actuellement en train de tester un vaccin sur des personnes séronégatives à base d'anticorps. Si ils testent c'est parce qu'ils ont espoir que ceci fonctionne.

Line Renaud n'est pas chercheur, sa mission est juste de dire qu'il faut qu'on donne des sous à Sidaction. D'ailleurs, je ne suis pas certain qu'elle comprenne bien le sujet, puisque pour l'avoir écouté elle parle toujours de mettre fin au SIDA au lieu de dire mettre fin au VIH, car là est tout le problème, le SIDA on sait comment faire pour le soigner. 

Portrait de mec95

jean-rene wrote:

Bien sûr, JLB, qu'il n'y aura jamais de vaccin au sens propre, c'est à dire empêchant toute contamination, car le VIH se présente sous des formes tellement multiples qu'on ne parvient pas à trouver l'élément commun contre lequel créer un vaccin.

Ce que BIOSANTECH et d'autres, appellent "vaccin", c'est un médoc permettant d'éradiquer le virus APRES contamination.

Le vih est un virus à arn comme la grippe par exemple ,d'ailleurs le vaccin contre la grippe est efficace à 55 % en moyenne et doit être renouvellé tous les ans, c'est dire si les virus à arn arrivent à bien déjouer les "vaccins" ...

Quand à line renault la pauvre elle est vieille faut pas y faire attention lol elle pense bien faire..  mais oui confondre sida et vih ça craint..

Portrait de jl06

Un peut de respect svp, je suis pas un fan de Line ,mais à 88ans faire se quelle fait chapeau , ....

beaucoup en serait incapable meme plus jeunes ...........la  et critique facile l,art et difficile ....Cool

après je suis dac elle à un peut fait fausse route entre le VIH ...et le sida....

bon l,essentiel et que les choses bouges non? 

Et si vous voyez un(e) artiste vouloir prendre le relais faut pas hesité ....Wink

je pense à Pénélope ,Brigitte, Marine ....MDR

signé ....               Un daddy encore bien vert  !

Portrait de Exit

...mais malheureusement elle contribue à alimenter tout le morose du VIH. Soit VIH = SIDA. 

En continuant à exposer le SIDA comme elle le fait, elle continue à alimenter la sérophobie. C'est pour ceci qu'il est important non plus de parler SIDA mais VIH. 

Mais sans doute que c'est Sidaction qui lui dit d'employer le mot SIDA, rappelons que dans dans la campagne de l'an passée Sidaction avait également utilisé le terme SIDA à la place de VIH, car on meurt toujours du SIDA en Afrique donc forcément c'est beaucoup plus vendeur et accrocheur pour récupérer des fonds. 

Mais on est en France et non pas en Afrique donc il serait bien de faire de la communication pour le pays concerné.

Je trouve que ces campagnes sont dommages sur le fond, même si cette année ils ont quand même fait des progrès sur la communication, je pense que vue la campagne de l'an passé, ils ont dû recevoir plein de retours négatifs dont moi même qui ne me suis pas gêné pour leur écrire ! 

Portrait de jean-rene

Il faudrait que Line Renaud fasse un petit voyage en Suisse, alors !

Portrait de lucie06

Bonsoir,

  Vu au journal de la santé sur France 5 le 23 mars 2017 un reportage sur BIOSANTECH

Pour le Pr Jean-Daniel Lelièvre, immunologue à l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, cette stratégie vaccinale est intéressante, mais il faut être très prudent sur sa portée. C’est un essai clinique mené sur une cinquantaine de patients seulement et les résultats ne sont pas encore convaincants.

"Leur étude peut être crédible en soi, c’est-à-dire être une première étape pour un vaccin. Ça pourquoi pas…

Mais de là à dire qu’on a trouvé un vaccin, c’est complètement différent ! Pour ça, il faudrait qu’ils nous montrent qu’il n’y a plus de virus nulle part dans l’organisme, que les patients arrêtent le traitement et que le virus ne réponde pas, que ce soit répété dans un autre essai… C’est beaucoup plus complexe".

La suite du reportage dénonce la communication de BIOSANTECH.

Les 2 animateurs sur le plateau..annoncent à la fin du reportage le prochain début du sidaction dont les dons sont selon eux réservés à la vraie recherche...sous entendu par pour les clowns de BIOSANTECH. Ils plaisantent alors entre eux avec un sourire entendu...

Quelle est la légitimité de ces deux animateurs pour juger des travaux alors que le professeur qu'ils
ont fait intervenir valide la voie de recherche ....quand à la suite du commentaire de ce professeur...

"Pour ça, il faudrait qu’ils nous montrent qu’il n’y a plus de virus nulle part dans l’organisme, que les patients arrêtent le traitement et que le virus ne réponde pas, que ce soit répété dans un autre essai… C’est beaucoup plus complexe."

N'est-ce pas exactement ce que cette société demande à pouvoir faire dans sa phase 2B ?

A ce propos j'ai vu qu'ils avaient lancé sur Facebook une petition pour que leur partenariat avec le CNRS continu  afin d'arriver à cet objectif...leur financement est essentillement privé et de toute façon c'est tout le mal que l'on peut leur souhaiter non ? Personnellement j'ai signé...toutes les voies de recherche serieues  sont les bienvenues !

Les commentaires des 2 journalistes sur le plateau à la fin de la diffusion du reportage sont  sans considération pour les malades qui ont participé à la première phase des tests autorisés et sous le contrôle d' organismes d'état en leur faisant croire qu'ils ont servi de cobayes à des usurpateurs...

C'est vraiment désolant que dans ce dossier personne ne fasse preuve de mesure et de tact...journalistes compris

Bonne soirée

Portrait de lucie06

Pour information voici une question posée par un élu à Madame la Ministre de la santé...le premier ou la première qui a connaissance de la réponse peut la diffuser...Merci d'avance

Bonne journée

Question publiée au Journa Officiel  le : 14/03/2017 page : 2153Texte de la question

M. Jean-Jacques Candelier interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'étrange rétropédalage du CNRS qui s'est retiré d'un projet de vaccin pour lutter contre le VIH développé par le laboratoire azuréen Biosantech. Cette société a annoncé le mardi 28 février 2017 que le docteur Loret, chercheur au CNRS, s'était vu « interdire » la communication des résultats de la poursuite de l'essai clinique par sa direction. Il doit également « cesser tout contact avec Biosantech » avec laquelle il développait le traitement jusqu'ici. Cette décision met donc un coup d'arrêt au développement du vaccin-candidat dont les résultats étaient pourtant « le seul espoir tangible de vaccin curatif du sida, à un stade aussi avancé » selon certaines sources. Le docteur Loret, en charge des recherches sur ce vaccin chez Biosantech, avait lui-même expliqué à La Provence que « les cellules infectées par le VIH ne sont plus détectables chez une dizaine de patients depuis deux ans, ce qui est tout à fait exceptionnel ». Poursuivant que « si des épisodes de ce type sont parfois observés, cela ne s'était encore jamais produit sur une telle durée ». Ce vaccin appelé TAT-OYI, s'attaque à la protéine TAT, présente sur le virus du VIH et qui le protège des attaques du système immunitaire. Il permet donc d'attaquer directement le virus qui ne disparaît pas du corps mais reste durablement inactif. L'objectif de ce vaccin n'est pas de prémunir contre le SIDA mais d'éviter la trithérapie. Cette décision de la direction du CNRS empêche donc le laboratoire de passer en phase II/b de son essai clinique qui aurait permis l'étude des patients en état de rétro séroconversion avec l'arrêt complet de la trithérapie. Selon la présidente du laboratoire, il y aurait pu avoir des pressions de la part de gros laboratoires pour qui la trithérapie est un très juteux marché avec un chiffre d'affaires annuel en constante augmentation, de 19 milliards d'euros. Il lui demande de faire la lumière sur cette question et si l'intérêt des malades est bien le seul à être défendu.

Portrait de jl06

Elle et peut etre un peut vielle la Line ..........comme certain le pense , mais voila le resultat du sidaction 2017

                                                                      4 268 199 ..............bravo Line 

Portrait de Saamred

Alors on a des nouvelles ?

La ministre n'a rien dit du coup par rapport à la lettre écrite par Biosantech ?

Portrait de unepersonne

l'infectio isabelle ravaux en charge du protocole du vaccin biosantech est en autre mon infectio depuis les années 90, le vaccin biosantech devait etre prevu pour le debut 2018 si mes souvenirs sont exact

Portrait de Saamred

Donc il aura bel et bien lieu c'est confirmé ? Tu es suivi ou ?