Les archives communautaires

Mots clés  : Rencontre amoureuse

Rencontre échouée

voilà ce qu'il se passe lorsqu'on fait une rencontre " amoureuse " lorsqu'on a 50 piges sans taf pauvre et VIH  !

idem de prendre un mur en beton armé de face à 200 km/h , le trou noir, comprends pas les explications ultra legeres non convaincantes en guise de justificatif de depart, je peut qu'ecouter, accpeter, et pleurer sur ma vie

pleurer sur un bonheur atteignable par le commun des mortels sauf pour une minorité de gens dont je fait parti
si nous ne sommes pas venus sur terre pôur aimer et etre aimer voire fonder une famille pour qu'elle laisse les traces apres nous , nous y sommes venus pkoi faire ?
constater  que l'on ne compte pas pour  une personne, etre rien , invisible , etre une perte de temps meme si on s'est investi, on a tout donne  , on a aime a s'en oublier soi meme,  elle s'en fout, ressent rien, bonne chance,   constater ca est le pire apres la mort , etre rien aux yeux de quelqu'un
apres ca, faut continuer à vivre , trouver la force , un but, se projeter je ne sais ou ni quand  , zapper l'envie de se supprimer
sans amour, à quoi sert la vie ?

je me posais la question de savoir comment je vivais avant de rencontrer cette personne , je faisais quoi ?  aujourd'hui j'y arrive pas pourtant je suis arrive jusque la sans elle  , aujourd'hui ,  tout parait inutile,  sans importance , secondaire , pkoi  se lever le matin , pour qui pour faire quoi , loin d'elle je ne vaut rien , je ne me sens plus vivant 
rien d'autre à dire

Essai cannabidiol

Lors de ma dernière visite chez mon infectiologue, j'ai indiqué à mon médecin vouloir faire un essai avec le cannabidiol.

J'ai été surpris de son attention et de sa réaction plutôt encourageante face à un produit non vendu par les pharmacies, ni autorisé, ni interdit et finalement il ne s'y oppose pas. Effectivement je prends actuellement 3 à 4 g selon mes besoins de dolipranes par jour pour traiter les effets de deux maladies chroniques (vih et rectocolites hemorragiques) et de ses traitements.

Je suis tout le temps en effet fatigué, souvent avec des maux de têtes et de ventre et avec des douleurs neuropathiques sur les membres inférieurs et le dos. J'ai donc essayé 30 pilules non rembousées par la sécu aux environs de 30 euros et j'ai diminué voire stoppé le doliprane. Mon essai est donc plutôt concluant dosé à 10 mg de CBD.

Je voulais savoir si d'autres en avait fait l'expérience et leur dosage. Comment vous faites pour vos achats et le côut excessif. Si vous avez du augmenter les doses. 

Par ailleurs, ma neurologue a constaté les dégats des gaines des terminaisons nerveuses et m'a indiqué clairement que c'était l'effet d'années de trithérapies. Pour ma part que 8 ans...

J'ai eu des soucis rénaux et osseux en 2014 pas stabilisé pour ce dernier en 2018 et j'ai du arrété le Truvada. L'infectio m'a juste indiqué que le cannabis pouvait avoir un léger effet sur les médicaments en diminuant leur efficacité, mais je pense aussi de leur toxicité sur nos corps lol...

Comme il est réticent à toute bithérapie et essais hasardeux en diminant les prises de médicaments je pense donc continuer. Je dois aussi attendre les nouvelles combinaisons de médicaments c'est à dire souffrir et subir...

Je veux bien dire à tous et à toutes que je prends du cannabidiol, c'est juste un extrait de la plante du cannabis et non du cannabis avec le THC classé stupéfiant qui décrié par rapport à son usage récréatif et des addictions.

J'espère que vos témoignages et expériences m'éclaireront.

Positivement ;)

Mots clés  : Du virtuel au réel

Du virtuel au réel : une rencontre entre séronautes

Hello,

Seronet vous propose un week-end entre séronautes pour se rencontrer, se découvrir, échanger autour de la vie avec le VIH... Pour faciliter la venue de toutes et tous, l'événement se tiendra à Paris du vendredi 5 octobre 18h jusqu'au dimanche 7 octobre 15h. Le trajet ainsi que l'hébergement et la restauration seront entièrement pris en charge. Vous pouvez d'ores et déjà vous préinscrire à la suite de ce forum ou en m'envoyant un message privé. Il n'y aura pas de places pour tout le monde, alors soyez réactifs !

J'attends vos propositions et idées de thèmes à aborder durant le week-end afin qu'on co-construise ensemble le programme sachant que le 6 octobre est la journée de la Disance et que pour celles et ceux qui le souhaitent, un événement sera organisé au parc de la Villette dans l'après-midi.

C'est à vous ! Sophie

 

Sous le seuil de linéarité...

Il est vrai que sur mes résultats sanguins, il est inscrit cela....

etre « indetectable ».... c’est le premier but à atteindre ...

ici ou ou la j’ai lu des temoignages indiquant que pour beaucoup de personnes ce but a été atteint au bout de quelques semaines... il me semble que le rapport morlat évoque un traitement qui « fonctionne » si on constate une « indetectabilite » au bout de 6 mois maximum...

c’est Mon cas, malgré une prise en charge rapide (traitement truvada/tivicay débute environ 15 / 20 jours après une primo infection symptomatique  ) j’ai mis 6 mois à devenir indétectable ... 

traitement pas adapte ? Résistance de la catégorie de virus ? Je n’ai pas vraiment eu d explication... 

en 6 mois le virus a largement le temps de créer des réservoirs , je trouve etonnant ce délai de 6 mois , n’est ce pas trop long ? Quelles conséquences ?

 

Mots clés  : autotests VIH

VIH : Attention aux autotests peu fiables

« 43 % des découvertes de séropositivité en 2016 concernaient des personnes déclarant n’avoir jamais été testées auparavant pour le VIH », rappelle le laboratoire AAZ, qui fabrique l’Autotest VIH, dans un dossier de presse faisant le point sur le VIH en France et le dépistage. Depuis 2015, l’arrivée en l’officine des autotests de dépistage du VIH a permis d’élargir l’offre de dépistage et de cibler un public parfois inaccessible par les circuits de dépistage classiques. AAZ indique que près de 300 000 Autotest VIH ont été vendus en France depuis leur lancement il y a 3 ans. Et les chiffres de vente depuis le début de l’année sont en augmentation de 17 % par rapport à 2017. En outre, certaines complémentaires santé proposent ou devraient proposer d’ici le 1er décembre prochain la prise en charge de ces dispositifs.

Actuellement, le marché des autotests de dépistage du VIH en France compte trois dispositifs : Autotest VIH (AAZ, commercialisé par Mylan), Test INSTI (BioLytical) et le test Exacto(Biosynex) commercialisé depuis le 5 juillet 2018.

Opportunisme commercial, méfiance !

D’autres tests peu fiables et non sécurisés tentent de s’introduire en France, sous couvert d’un marquage CE. Ces tests disposent d’une simple bande de contrôle de migration qui apparaît même si la personne a mal réalisé son test et peuvent conduire à un résultat faussement positif. « Pour faire la distinction entre les deux types de test, il suffit de mettre de l’eau à la place d’une goutte de sang sur l’autotest. Si une bande de contrôle apparaît quand même, il s’agit alors d’un test non fiable. », précise le docteur Jean Tardy, virologue aux hospices civils de Lyon (Rhône), cité dans le dossier de presse de AAZ. En attendant que les autorités de santé se positionnent sur ces tests potentiellement dangereux, pharmaciens et utilisateurs sont donc appelés à la plus grande vigilance.

 

https://www.lemoniteurdespharmacies.fr/actu/actualites/actus-socio-profe...

Mots clés  : contrôleur VIH

On a percé le mystère des “contrôleurs du VIH“

Certaines personnes infectées par le virus du Sida ne développent jamais la maladie. Pourquoi ? Une équipe vient de résoudre le mystère. 

Connus depuis une vingtaine d'années, les "contrôleurs du VIH" sont des patients infectés par le virus mais qui ne développent pas la maladie. Très rares (on les évalue à 2 pour 1000 parmi les séropositifs), ces patients sont suivis en France dans la cohorte ANRS CODEX. Les contrôleurs intéressent tout particulièrement la recherche parce qu'ils pourraient aider à comprendre comment le système immunitaire parvient à contrôler la multiplication du virus dans un organisme et donc à empêcher l'avancée vers le Sida. 

Une équipe de l'institut Pasteur et de l'Inserm, en collaboration avec l'université australienne de Monash vient de découvrir un secret de ces "contrôleurs". Leur réponse immunitaire ultra-efficace dépend de récepteurs spécifiques, les TCR, à la surface des cellules immunitaires CD4. Chez les patients “contrôleurs“, les TCR exprimés par les CD4 réagissent à des quantités minimes de virus, tandis que les TCR des autres patients y sont nettement moins sensibles. Il s'avère que lorsque les TCR des “contrôleurs“ reconnaissent des fragments du virus, des antigènes, ils déclenchent une réponse du système immunitaire qui consistera à tuer les cellules infectées par le virus. 

Objectif : rendre contrôleur un patient qui ne l’est pas au départ 

A cette occasion, les CD4 d'ordinaire confinées à leur seul rôle d'“aides“ deviennent actives et se transforment en cellules tueuses! "Ce qu'on souhaiterait tester maintenant, dit une auteure de l'étude Lisa Chakrabarti (Inserm, Pasteur), c'est la possibilité de rendre contrôleur un patient qui ne l'est pas au départ. Car si les multi thérapies sont efficaces, elles sont à vie avec parfois de sérieux effets secondaires. De plus, certains patients développent une inflamation chronique ce qui peut mener à la longue à une plus grande fragilité osseuse ou à un risque accru de maladies cardiovasculaires". L'objectif serait donc de parvenir à transférer à ces patients des cellules immunitaires génétiquement modifiées au niveau de leurs TCR et de voir si leurs organismes parviennent à contrôler le virus. Pour le moment, la suite de ce travail consistera à voir s'il est possible de rendre des souris "contrôleuses" avant de futurs essais chez l'être humain. 

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/s ... vih_125345

Mots clés  : vaccin

VIH : des essais cliniques humains pour un vaccin très prometteur d’ici 2019

Le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est un rétrovirus infectant l’humain et responsable du syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA). Ce dernier correspond à un très fort affaiblissement du système immunitaire par destruction des cellules immunitaires, rendant ainsi l’organisme vulnérable à diverses pathologies appelées « maladies opportunistes ». Dans la lutte contre le virus, une équipe de biologistes a indiqué qu’elle commencerait les essais cliniques humains d’un nouveau vaccin d’ici 2019.

 

https://trustmyscience.com/essais-cliniques-humain-vaccin-vih-2019/

Mots clés  : vieillirvieillissement

Vieillir LGBT : quels besoins ?

Bonjour,

D'ici quelques jours, GreyPride consacrera un colloque à "Vieillir sans tabou" organisé autour de 2 grandes thématiques : un état des lieux et quelles actions et perspectives pour demain ?

Comment vous imaginez-vous vieillir ? Quels besoins dans quel contexte ?

Un représentant de Aides sera présent à l'événement et portera les besoins évoqués ici

C'est à vous !

Bonne journée. Sophie

 

Mots clés  : transmission vih

Sida : la transmission du VIH filmée pour la première fois

Le VIH se transmet notamment via les muqueuses génitales, c’est bien connu. Mais pour la première fois, une équipe parisienne a pu reconstituer et filmer le processus en direct. 
Le VIH pris en « flagrant délit » pour la première fois. Des chercheurs français sont parvenus à reconstituer un vitro l’infection d’une muqueuse urétrale par le virus du VIH, connu pour détruire le système immunitaire. Et ils ont tout filmé. Les images, diffusées dans la revue scientifique Cell Reports le 8 mai dernier, sont saisissantes. 

« Nous avions une idée globale de la façon dont le VIH infecte une muqueuse, mais c’est la première fois que nous pouvons suivre la scène en direct, et voir exactement dans quel ordre les choses se produisent », nous décrypte la chercheuse Morgane Bomsel, biologiste moléculaire à l’Institut Cochin (INSERM, CNRS, Université Paris-Descartes), co-auteure de l’étude.

https://www.youtube.com/watch?time_continue=58&v=OS8R1tx9e5Q

Pour réaliser cette expérience, Morgane Bomsel et ses confrères ont utilisé d’un côté une cellule infectée par le virus du VIH et marquée au vert fluorescent pour les besoins de la vidéo. Une cellule commune qu’on trouve typiquement dans « le sperme, les sécrétions vaginales ou encore le lait maternel », explique la scientifique. Cette cellule a ensuite été mise en contact avec un morceau de tissu organique reconstitué, mais pas n’importe lequel : celui de la muqueuse de l’urètre masculin, très souvent impliquée dans la transmission du virus chez l’homme. 

Voilà pour les forces en présence. Ce qui se déroule ensuite sous nos yeux est saisissant. Première étape : selon un processus déjà connu mais peu observé, lorsque la cellule infectée (en vert donc) entre en contact avec une cellule de surface (dite épithéliale) du tissu, elle s’y accroche en générant une sorte de poche commune qui englobe les deux cellules, appelée synapse virologique. 

« Un tir de blaster dans un vieux film de science-fiction » 

Deuxième étape, ce réarrangement de la membrane stimule immédiatement dans la cellule infectée la production de virus VIH, visible dans la vidéo par les points fluorescents très intenses. 

Troisième étape, que l’on ne saurait décrire mieux que les auteurs de l’étude eux-mêmes : le virus se propage à travers la synapse « comme le rayon vert fluo d’un pistolet blaster dans un vieux film de science-fiction ». 

Quatrième étape : ce « shoot » de virus VIH n’infecte pas la cellule épithéliale : il la traverse seulement (un processus appelé transcytose) avant d’être capté juste derrière par des cellules immunitaires – chargées de phagocyter les agents pathogènes - arrivées à la rescousse. C’est là toute la dangerosité du VIH : il attire les cellules qui patrouillent à la recherche d’agents infectieux avant de les contaminer, affaiblissant peu à peu le système immunitaire jusqu’au stade dit de l’immunodéficience, le Sida. 

Le rôle précis de ces cellules immunitaires, les macrophages, est l’une des grandes découvertes de cette expérience. « On ne connaissait pas la séquence des événements. On aurait pu imaginer que les macrophages détruisent eux-mêmes les cellules de surface pour capter le virus. Mais non, ils se contentent le plus souvent d’attendre tranquillement derrière les cellules de surface que le virus ne s’échappe de ces dernières pour le capter », nous décrit la scientifique. 

La stratégie du « shock and kill » 

Après une heure ou deux, le contact est rompu, et la première cellule infectée se déplace. « La contamination des macrophages est extrêmement rapide », note la biologiste. Et extrêmement vicieuse. Pendant une vingtaine de jours, ils excrètent eux-mêmes le virus, et le propagent, avant de se mettre en veille. C’est là que se trouve pour la chercheuse tout le nœud du problème : « on se retrouve alors avec de véritables réservoirs de VIH, qu’on ne peut pas détruire car ils sont éteints et donc invisibles pour le système immunitaire, mais qui peuvent se rallumer à la moindre inflammation locale ». 

Sachant qu’« on ne peut éradiquer le virus que quand il y a une dynamique de réactivation », il faut trouver le moyen de le réveiller avant de le détruire instantanément. C’est la fameuse stratégie « shock & kill » sur laquelle travaillent des chercheurs du monde entier. Et qui connaissent mieux désormais, grâce à ces images, la stratégie de leur ennemi… 

http://www.leparisien.fr/societe/sida-l ... 711062.php