De toute évidence, nous sommes dans le monde pour ne rien faire ; mais, au lieu de traîner nonchalamment notre pourriture, nous exhalons la sueur et nous nous essoufflons dans l’air fétide . L’histoire entière est en putréfaction, ses relents se déplacent vers le futur, nous y courons, ne serait-ce que par la fièvre inhérente à toute décomposition. (…)La respiration elle-même procède d’un...