Information pour les Russes .....

Publié par jl06 le 07.03.2022
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Ukraine, la famille en fuite tuée au mortier : « Dévastation totale »

 (poignée)

Les corps mutilés du père, de la mère, des enfants et du chien : ils ont fui Irpin, à la périphérie de Kiev, battus par les chars de Poutine. Qui ne sont plus qu'à 5 kilomètres de la capitale ! ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;  Quand lui je le verrais bien pendu par les couilles ;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;; GUERRE EN UKRAINE : FLORIAN PHILIPPOT QUALIFIE LES UKRAINIENS DE «NAZIS»Par CNEWS -Mis à jour le 07/03/2022 à 14:28Publié le 07/03/2022 à 14:23   Florian Philippot utilise le même vocabulaire que Vladimir Poutine. [STEPHANE DE SAKUTIN / AFP]

Comme le fait Vladimir Poutine pour justifier la guerre en Ukraine, Florian Philippot, ancien député européen a qualifié les Ukrainiens de «nazis».

 

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«Le mensonge éhonté» de la Russie dénoncé devant les juges de La HayeL’Ukraine conteste l’argument du génocide fabriqué de toutes pièces par Moscou pour justifier son intervention militaire et demande ce lundi des mesures urgentes à la Cour internationale de justice. La Russie a boudé l’audience Le siège de la Cour internationale de justice, à La Haye. — © imago images/PPE «Poutine ment et nos compatriotes meurent.» Les représentants de l’Ukraine ont donné de la voix trois heures durant ce lundi devant la Cour internationale de justice (CIJ). Saisi d’un différend au sujet de la Convention sur le génocide, cet organe des Nations unies, qui siège au Palais de la Paix à La Haye, a tenu une audience publique urgente et prioritaire afin d’examiner les mesures conservatoires réclamées par Kiev pour faire cesser ces opérations militaires justifiées par «des arguments délirants». La Fédération de Russie a opté pour la politique de la chaise vide sans même prendre la peine de justifier son absence aux débats du jour consacrés aux plaidoiries pour l’Ukraine. 

Dans sa requête, déposée le 26 février, l’Ukraine soutient notamment que la Fédération de Russie a faussement affirmé que des actes de génocide avaient été commis dans les oblasts ukrainiens de Louhansk et de Donetsk, pour mettre en œuvre une «opération militaire spéciale» et envahir le pays. L’Ukraine nie catégoriquement qu’un tel génocide ait eu lieu, affirme que cette allégation est «grotesque», et déclare avoir introduit sa requête «afin d’établir que l’intervention […] visant à prévenir et réprimer un soi-disant génocide est dépourvue de tout fondement juridique».

«Une insulte à la Convention»

Premier à prendre la parole devant la cour, le diplomate Anton Korynevich évoque «un mensonge éhonté» de la Russie. Le professeur Jean-Marc Thouvenin poursuit au nom de l’Ukraine en parlant «d’une insulte à la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948, dont Moscou se sert comme d’une arme alors que ce texte est sacré». Ce dernier appelle la CIJ à ordonner des mesures conservatoires afin de prévenir un préjudice irréparable causé aux droits de l’Ukraine et de sa population avant une décision sur le fond. Ces mesures, intimant à Moscou de cesser cette guerre contre un prétendu génocide et de ne pas aggraver ou étendre ce différend, devraient aussi être monitorées et leur application attestée régulièrement à l’intention de la cour.

«Il y a extrême urgence, soutient le professeur Thouvenin, car ce différend n’est pas seulement l’objet d’un échange de mots. Celui-ci est fait de feu, de sang, de crimes et de larmes. Des gens résistent, souffrent et meurent. Ils ne sauraient dire leur différend avec plus de force.» Il achève son intervention en enjoignant à la cour, présidée par la juge Joan E. Donoghue, de montrer «que le droit international n’est pas qu’une vaine promesse».

Mépris du droit

Dans sa requête, l’Ukraine accuse également la Fédération de Russie de planifier des actes de génocide et affirme que la Russie tue de manière intentionnelle des personnes de nationalité ukrainienne. En utilisant abusivement cette convention pour mener une guerre sans limites sur la base d’une allégation «manifestement fallacieuse», «la Russie enfreint elle-même les principes du droit international», ajoutent les autres représentants de la délégation ukrainienne.

«Une illégalité flagrante contre laquelle il faut agir immédiatement», souligne encore le spécialiste américain Harold Koh. «Le monde entier attend de la Cour guidance et leadership», conclut ce dernier. «Cette affaire est devenue beaucoup plus vaste. Il s’agit de savoir si c’est la Russie ou l’ordre juridique international qui doit prévaloir.»

La Cour internationale de Justice, instituée en juin 1945 par la Charte des Nations unies, est composée de 15 juges. Elle a une double mission. Régler les différends d’ordre juridique qui lui sont soumis par les Etats (ses arrêts ont force obligatoire et sont sans appel pour les parties concernées) et donner des avis consultatifs sur les questions juridiques qui peuvent lui être soumises par les organes de l’ONU et les institutions autorisées à le faire.

L’Ukraine a terminé son exposé en appelant la cour à rendre son ordonnance dans les plus brefs délais. «Ce sera fait dès que possible», a précisé la présidente, non sans avoir préalablement déploré la non-comparution de la Fédération de Russie lors de cette procédure orale.

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Guerre en Ukraine : Corbière se défend d'avoir trahi le «secret défense» en évoquant des livraisons de missiles antichars
 

Alexis Corbière, député de La France Insoumise AFP

Le député LFI assure au Figaro avoir lu dans «la presse» le détail du matériel militaire livré par les Français, pourtant censé rester secret. Il explique par ailleurs n'avoir «accès à aucune information confidentielle».

Alexis Corbière a-t-il malencontreusement révélé un «secret-défense»? Invité mercredi matin sur France Info, le député de La France Insoumise a affirmé que «très peu» d'armes françaises sont actuellement envoyées à la résistance ukrainienne pour contenir l'invasion russe. «Ce sont des gilets pare-balles et quelques missiles antichars», a cru bon détailler l'élu, par ailleurs membre de la commission «de la défense nationale et des forces armées» à l'Assemblée. Seulement voilà, ces informations n'avaient pas vocation à être rendues publiques, notamment pour ne pas renseigner la Russie. 
«Secret défense trahi» par Alexis Corbière: «Ça n'est pas responsable», dénonce Gabriel Attal «Je fais des déductions»

Relancé sur ce point par le journaliste, Alexis Corbière s'est repris : «Je ne sais pas le détail. Cela ressemble manifestement à cela», a-t-il convenu. Avant finalement de balayer : «Ne cherchez pas à me troubler, ce n'est pas le sujet, c'est au gouvernement de vous dire les choses». Interrogé par Le Figaro un peu plus tard dans la matinée, l'Insoumis se défend d'avoir trahi un secret : «Je lis la presse comme tout le monde... C'est l'Élysée qui parle et révèle dans le détail, pas moi», explique-t-il. Le député évoque notamment un article d'Europe 1, publié mardi, où il est indiqué que «les spécialistes militaires évoquent des missiles antichars, des munitions, voire des mitrailleuses». Mais où il est aussi précisé que «rien de tout cela n'est officiel» car couvert «par le secret de la défense nationale». Officiellement, la France a en effet simplement accepté «la livraison additionnelle d'équipements de défense» à l'Ukraine et «un soutien en carburant».

«Je connais un peu ces questions et les stocks de matériel d'armes françaises. Je fais des déductions. Aucun scoop donc», assure Alexis Corbière. Ce dernier précise d'ailleurs n'avoir «accès à aucune information confidentielle», et tient à rappeler qu'«aucun parlementaire français n'est habilité 'secret-défense'».

Sur le fond, le député LFI se veut défavorable à un renfort militaire, comme son candidat Jean-Luc Mélenchon. «Le problème des armes, c'est qu'aujourd'hui, c'est tel type de matériel. Demain, on va s'apercevoir que ce n'est pas efficace, on va monter en gamme. Et puis, finalement, on va dire qu'il faut envoyer l'aviation française et puis l'armée française ... Vous voyez à quoi ça nous amène?», a-t-il voulu mettre en garde sur France Info. Alexis Corbière soutient en revanche l'idée de sanctions économiques. Il propose aussi de «cesser toute avancée de l'Otan aux frontières de la Russie», vecteur de tensions selon lui.

 

Quand on ne sait pas  ,on se la ferme ......des femmes ,des enfants, des hommes, meurent en ce moment Mr alexis ! pendant que vous êtes planqué à Paris  ,