LE CHEVAL : un térapeuthe

Publié par libellule33 le 05.03.2012
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pour les amoureux du cheval et tous ceux qui les aime voici quelques renseignements sur cet animal majestueux.

Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui ne soit pas impressionné par le cheval. Tout au long de l’histoire, le cheval a représenté les archétypes d’honneur, d’intégrité, beauté, force, loyauté, fierté, durabilité et persévérance.

Depuis quelque temps on voit le cheval aussi comme guérisseur.

Les chevaux ont la capacité de pardonner et de repartir à zéro. Leur beauté et force reflètent ces qualités dans nos propres corps et dans nos rêves de dignité.
Ils sont apprivoisés et sauvages à la fois et reflètent notre désir d’individualité tout en faisant partie d’une communauté.

Les chevaux nous offrent l’opportunité de comprendre et d’apprendre une façon plus profonde à "être" dans ce monde.

La survie d’un cheval dépend de son habilité à sentir toute incongruité dans son environnement et d’y répondre de manière approprié.
Dans le troupeau, les chevaux font confiance à leur instinct et ils sont en harmonie avec l’humeur et le langage corporel des autres chevaux.
Leur structure sociale est primordiale, sans quoi leur survie serait menacée.

Nous croyons que la façon dont le cheval réagit à vous, revèle les forces et les faiblesses de vos pensées, énergie et émotions. Les chevaux nous aident à explorer l’importance du respect, de la confiance, de l’assertion des communications du " coeur "

Qu’est-ce qu’un cheval peut faire pour nous ?

Les chevaux offrent une opportunité de comprendre et d'apprendre d'une façon plus profonde à "être" dans ce monde.
Pendant les ateliers, vous allez vous connecter aux chevaux, développer de nouveaux types de relations, devenir membre du troupeau et apprendre votre manière d’être au monde.

Les chevaux reflètent, sans jugement, vos talents, vos valeurs, quand et comment vous êtes prêts à grandir. Ils nous apprennent à devenir plus conscients émotionnellement, physiquement et mentalement. Ils sentent quand une personne dit quelque chose à l’extérieur, comme prétendre d’être confiant, alors qu’il ne l’est pas.

Ils peuvent littéralement regarder à l’intérieur d’une personne. Leurs perceptions intuitives sont tellement fines qu’ils peuvent sentir des conflits internes, une manque de confiance, des doutes et auto-jugements et ils reflètent tout ça dans un déploiement de chair et de muscle.

Le cheval attend patiemment que nous arrivions au coeur de nos aspirations et que nous soyons authentiques. Quand nous sommes authentiques, le cheval se détend et travaille en équipe. Le cheval, une fois notre demande authentique, nous fait parfois des cadeaux extraordinaires dans la relation.
Vous allez " interagir " avec les chevaux, développer une relation, devenir partie du troupeau et pendant tout ce temps vous allez surtout apprendre sur vous-même. Les chevaux nous apprennent à être lus conscient émotionellement, physiquement et mentalement.
En contact avec les chevaux, vous pourriez expérimenter des réalisations profondes, une gain de confiance et de renforcement de soi et enfin une connection avec une communauté de gens similaires.

Commentaires

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Déroulement d'une session



 

  • Après une introduction par le facilitateur,

    A qui s'adressent ses formations



    Cet atelier est pour vous si vous voulez :

  • rencontrer votre soi authentique


  • comprendre vos émotions et comment les utiliser


  • apprendre comment poser vos limites


  • accéder à votre voix intérieure ou intuition


  • découvrir ce que vous voulez faire de votre vie
  •  vous êtes invités à rencontrer le troupeau afin de choisir le cheval avec lequel vous voulez travailler.
  • Sans oublier : découvrir l’être exceptionnel qu’est le cheval.

    shamanisme et chevaux




     

  • Ensuite vous allez dans le round pen pour une session libre, facilitée par Chris, avec le cheval choisi,

  • Suivi par un échange sur ce qui s’est passé.


  •  

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    Les méfaits du ferrage

    Quelles sont les conséquences négatives du ferrage ?

    1. Un resserrement et une déformation progressive du pied. Cela provoque de la douleur, une modification des allures, des problèmes musculaires, articulaires, des ossifications. La troisième phalange et les cartilages ungulaires latéraux se déforment. Le chorion (qui forme la corne) est endommagé, ce qui favorise la rotation de la troisième phalange et la fourbure, ainsi que la pourriture de la fourchette, la podotrochléite due aux contusions des structures internes du pied et la détérioration de la ligne blanche.
    2. La paroi est abîmée par les clous. Elle se dessèche et perd de son élasticité. L’isolation du sabot n’est plus étanche. Le métabolisme interne du pied diminue à cause d’une baisse de la température, surtout lorsqu’il fait froid, ce qui porte atteinte à la production de la corne et au soutien de la troisième phalange.
    3. La circulation sanguine se fait moins bien dans le pied avec toutes les conséquences négatives susnommées, outre un surmenage du cœur puisque les pieds ne peuvent plus assurer leur fonction de pompe, on voit apparaître les ‘poteaux’ qui vont avec.
    4. Des troubles du métabolisme par déséquilibre des protéines et par voie de conséquence des troubles cutanés, hépatiques et rénaux.
    5. Les vibrations causées par les fers abîment le podophylle, et provoquent des lésions comparables au syndrome de Raynaud chez les personnes qui travaillent avec des marteaux piqueurs.
    6. Le fer change la façon dont le poids est porté et modifie la bascule du pied, entraînant ainsi des problèmes musculaires et tendineux.
    7. Il provoque des surcharges anormales dans le sabot, entraînant des fissures, des seimes, et un décollement de la paroi.
    8. Les chocs sont moins bien amortis.
    9. La sensibilité du pied est diminuée, le cheval trébuchera plus facilement, ce qui augmente les risques pour monture et cavalier.
    10. Le poids du fer accroît la force centrifuge pendant le mouvement, ce qui surcharge les ligaments. Il représente également un risque de blessure plus élevé pour les personnes et les animaux.
    11. La traction est modifiée ; le cheval ne peut plus se déplacer en toute sécurité. La résistance dans un mouvement tournant est plus grande donc plus lourde pour les articulations et les tendons.
    12. Chez les jeunes chevaux le fer gêne la croissance de la troisième phalange.
    13. Il provoque une modification de la conformation car le cheval essaie de soulager les zones douloureuses du pied. Le sabot pousse de travers, les aplombs changent.
    14. Il abîme le sol.
    15. Il entraîne des frais d’entretien plus élevés, de nombreuses maladies et frais vétérinaires. Le cheval doit être remplacé plus rapidement.
    16. Il rend impossible le dépistage précoce du dépassement des limites biologiques d’un cheval.
    17. La perte accidentelle d'un fer rend le cheval inutilisable jusqu'à son remplacement (du fer). C'est alors la 'course au maréchal-ferrant'.
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    Générale

    La bouche du cheval est très sensible, et une pression sur la mandibule nue, derrière les canines et devant les molaires, est douloureux. De nos jours, on cherche de plus en plus à collaborer avec nos chevaux plutôt que de les subordonner totalement. On cherche même à les comprendre et à les chuchoter pour avoir leur avis sur le traitement qu’ils subissent. On recherche des selles sans arçon pour ne pas avoir des points de pression sur leur dos et on commence à comprendre les effets néfastes des fers à cheval. Il est alors extraordinaire qu’on utilise toujours l’instrument de torture qui est le mors dans la bouche du cheval. Sur ce point, nous continuons de communiquer avec le cheval par une méthode qui lui inflige beaucoup de douleur. Il est évident que le mors n’est pas du tout nécessaire pour communiquer avec le cheval, il n’est qu’un vestige hérité de coutumes anciennes, et ceci a été démontré par de nombreux entraîneurs de chevaux de pointe.


    La conduite

    Le cheval est un animal de fuite et il va courir pour échapper à la douleur, même l’anticipation de la douleur. Si la douleur persiste, ou même augmente quand le cavalier tire encore plus sur le mors, la douleur devient une panique qui à son tour fait que le cheval s’emballe. Le cheval est maintenant aveuglé de peur et n’a que la fuite en tête. En tant que cavalier on est dans une situation de danger grave.

    Effets sur la bouche

    Le mors repose sur la mandibule. Cette mandibule est recouverte de, et dépend pour son alimentation de son périoste, une couche tissulaire très fine qui accommode des vaisseaux sanguins et des nerfs. Il est ensuite couvert de la muqueuse buccale, un tissu très sensitif de 2 mm d’épaisseur. La pression exercée par le mors varie avec le type de mors et la force appliquée par le cavalier ou le meneur. Le mors comprime alors la muqueuse buccale et le périoste, ce qui oblitère les vaisseaux sanguins et donne des inflammations. Ces périostites entraînent à son tour des ossifications sur le bord supérieur de la mandibule. Le nerf mandibulaire sort de l’os à cet endroit. Il conduit les sensations de la mandibule, de la lèvre inférieure et de la joue.

    Effets sur la tenue et la fonction locomotrice

    On peut dire que le cheval avec mors est un « boiteux de bouche ». Il essaie d’éviter la douleur et adapte une position non physiologique de la tête, ainsi que des mouvements divers pour échapper aux douleurs. Il y a un rétrécissement par réflexe des voies respiratoires supérieures, ce qui diminue le transport d’oxygène dans les poumons, et par conséquence diminue l’oxygénation du sang. Le cheval se fatigue plus vite, et des accidents sont plus fréquents. Une performance maximale du corps n’est pas possible à cause d’un métabolisme réduit.

    Effets sur la fonction respiratoire

    Le cheval avec mors essaie de se débarrasser de ce corps étranger et il produit de la salive par réflexe. Sa respiration est handicapée à cause du conflit des réflexes « avaler » et « respirer », puisque le larynx est à moitié fermé. L’air utilisé est retenu dans les poumons, et la rétention de CO2 donne une acidification du sang avec des conséquences métaboliques correspondantes. Le pharynx représente le passage entre la cavité buccale et l’œsophage mais l’endroit est aussi à considérer comme la division en voie respiratoire et voie digestive. A ce niveau il y a des réflexes qui ferment la voie digestive ou la voie respiratoire dépendant de la fonction demandée. S’il y a de la nourriture (ou autre chose comme un mors) dans la bouche, le réflexe d’avaler se prépare et la respiration est interrompue dans les voies respiratoires profondes. Si par contre l’animal est en mouvement et a besoin de beaucoup d’oxygène, la salivation et le réflexe d’avaler sont arrêtées et les voies respiratoires sont libres et élargies. La nature n’a pas prévu de manger en simultané avec des mouvements rapides. Si l’animal a quelque chose dans la bouche, sa physiologie le veut au calme sans aucune raison de courir, avec une respiration petite et calme, et avec la production de salive pour une digestion optimale. C’est de tromper les nerfs et les réflexes d’un animal que de lui mettre quelque chose dans la bouche et de lui demander de faire en même temps des mouvements.

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    Effets sur la fonction respiratoire

    Le cheval avec mors essaie de se débarrasser de ce corps étranger et il produit de la salive par réflexe. Sa respiration est handicapée à cause du conflit des réflexes « avaler » et « respirer », puisque le larynx est à moitié fermé. L’air utilisé est retenu dans les poumons, et la rétention de CO2 donne une acidification du sang avec des conséquences métaboliques correspondantes. Le pharynx représente le passage entre la cavité buccale et l’œsophage mais l’endroit est aussi à considérer comme la division en voie respiratoire et voie digestive. A ce niveau il y a des réflexes qui ferment la voie digestive ou la voie respiratoire dépendant de la fonction demandée. S’il y a de la nourriture (ou autre chose comme un mors) dans la bouche, le réflexe d’avaler se prépare et la respiration est interrompue dans les voies respiratoires profondes. Si par contre l’animal est en mouvement et a besoin de beaucoup d’oxygène, la salivation et le réflexe d’avaler sont arrêtées et les voies respiratoires sont libres et élargies. La nature n’a pas prévu de manger en simultané avec des mouvements rapides. Si l’animal a quelque chose dans la bouche, sa physiologie le veut au calme sans aucune raison de courir, avec une respiration petite et calme, et avec la production de salive pour une digestion optimale. C’est de tromper les nerfs et les réflexes d’un animal que de lui mettre quelque chose dans la bouche et de lui demander de faire en même temps des mouvements.

    Effets sur les dents et le système digestif

    Le cheval essaie d’éviter la douleur causée par le mors. Il utilise ses muscles pour tirer la mâchoire inférieure vers l’arrière. Les dernières molaires inférieures sont alors moins usées et ils endommagent la muqueuse de la mâchoire supérieure. C’est à la fois la conséquence d’une mastication tête haute et un retirement de la mâchoire inférieure vers l’arrière pour éviter la pression douloureuse du mors. Les dents doivent alors être revues et limées fréquemment, mais comme elles ont une croissance limitée, il se peut que le cheval n’ait plus de molaires et qu’il ne peut plus se nourrir avec sa nourriture de base, à savoir l’herbe et le foin. Si les animaux ne paîtront pas ils n’usent pas leurs incisives, elles deviendront trop longues donnant moins de friction et moins de résistance pour les molaires, qui elles poussent plus vite. La mâchoire est pressée vers le dehors, l’articulation des mâchoires commence à faire mal et le processus de mastication normal n’est guère plus possible. On peut facilement prévenir les problèmes dentaires des chevaux en les donnant à manger au ras du sol, en les faisant paître et les monter sans mors. Les animaux vivant libres dans la nature n’ont pas de tels problèmes, c’est-à-dire que c’est les humains qui leurs causent ces supplices non nécessaires.



     

    Alors, est-ce plus sûr de monter à cheval avec mors que sans mors ?

    Non, au contraire ! Toute restriction de sa liberté d’action et toute douleur augmente sa tendance à la fuite. En plus, le mors est une fausse sécurité, car tout effet de control qu’on croit avoir sur l’animal peut être annulé en un instant par le cheval qui prend le mors entre ses dents. En conséquence, de monter avec mors est plus dangereux que de monter sans mors.

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    PAS DE MORS
    MOINS DE DOULEURS
    MOINS DE PROBLEMES

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    VOTRE CHEVAL VOUS SERA RECONNAISSANT.