Tu souffres tellement,
que tu te crois dément
Tu es un de mes repères
Sans toi, je soupire
Revis, mon ami,
je le désire tant.
Badiane
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Tu souffres tellement,
que tu te crois dément
Tu es un de mes repères
Sans toi, je soupire
Revis, mon ami,
je le désire tant.
Badiane
Commentaires
j'aime ce poeme je ressent une
j'aime ce poeme
je ressent une sinceritée
qui me touche
et me fait regretter des propos blessants
la douleur deforme ma perception
et me rend souvent desagreable
merci pour ta sinceritée
xtophe
xtophe