Nouveau médecin

Publié par frabro le 07.02.2018
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Mon médecin généraliste part en retraite en mars.

 

Mon infectiologue ne consulte plus qu'une fois par semaine à l'hôpital, du coup ses consultations sont surbookées et il est devenu difficile à joindre.

 

J'ai donc pris un nouveau médecin traitant en ville, proche de chez moi, et qui a l'avantage d'être également infectiologue à l'hôpital en parrallèle. Du coup, c'est le même qui gèrera tout et ce sera bien plus pratique pour moi.

 

On refait un bilan complet avec divers examen pour repartir d'un check up à jour.

 

Par ailleurs, il a accepté que je continue Tivicay-Epivir en un jour sur deux.

 

Pour lui, je serait éligible pour passer au traitement par piqure mensuelle dès qu'il sera accessible, et ça aussi ça me convient très bien.

 

A suivre !

 

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Commentaires

Portrait de ballif

moi j'ai changé de ville pour avoir d'autre médecin   il ne voulait pas me donner les nouveaux traitements   alors ils sont commencés à fonctionner

les piqures sont de nouveau traitement  il est possible alors d'avoir un allégement de celui si fonctionne

bon courage

Portrait de frabro

J'ai changé de médecin spécialiste sept fois depuis la découverte de mon VIH en 1991, en fonction de mes changements professionnels entrainant des déplacements géographiques. J'ai aussi changé une fois pour avoir accès à un protocole alors que j'étais en échec thérapeutique (en 2000).

 

En prenant mes fonctions actuelles en 2007, j'ai volontairement dissocié mon statut professionnel de mon statut de séropositif en choisissant d'aller chercher un infectiologue dans un hôpital de la région parisienne plutôt que d'aller au plus proche avec le risque d'interférence entre mes fonctions et mon suivi.

 

Pour la même raison, j'ai choisi pour les deux ans qu'il me reste à faire en Picardie de choisir un médecin de ville spécialisé plutôt que d'aller consulter à l'hôpital. 

 

Lorsque je partirai en retraite dans la Drôme, je changerai à nouveau pour prendre des médecins proches de chez moi.

 

Précision utile : j'ai été membre bénévole de la COREVIH de Picardie (au titre de représentant des établissements médico sociaux et pas en tant que personne mais comme professionnel) seulement à partir de 2012, et ça n'avait donc aucune influence dans le choix de mon médecin en 2007, pas plus que ça n'en a aujourd'hui puisque j'ai justement choisi un médecin qui n'en fait pas partie. D'ailleurs, la COREVIH de Picardie a disparu en même temps que la région du même nom et nous attendons depuis plus d'un an la création de la nouvelle COREVIH Hauts de France à laquelle, si l'ARS veut bien me nommer, je continuerai à représenter le domaine médico-social.

 

J'ai testé plusieurs fois de nouveaux médicaments (en protocole) ou de nouveaux allégements en accord avec mes différents médecins. Je ne pense pas que ça fasse de moi un privilégié d'avoir pris quelquefois des risques pour faire avancer les choses et faire bénéficier les autres de mon expérience.

 

Solidairement,

 

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