Poème que j'ai écrit ADIEUX

Publié par SLEEPWALKER75018 le 06.07.2010
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ADIEUX

 Tu restes comme un fantôme sur le mur,

A fixer mes yeux vagabondant dans ces lieux peu sûr !

Mes larmes qui en découlent se confrontent,

A ces maux que tu m'as donnés pour m'infliger tes hontes !

Mais, pour ce que je suis, ce que je ressens, n'a plus d'importance,

Puisque tu t'en vas dans le couloir de la délivrance !

Et, c'est moi qui dois avoir honte, et c'est toi qui me laisses,

Toutes tes angoisses et tes emmerdent et que veux tu que j'en fasse ?

Tous tes mensonges, ces dettes qui me blessent,

Je ne vis que dans l'ombre et la merde qui m'encrasse !

Je ne verse aucune pitié aux sons de ta voix qui trace,

Ces chemins où tu t'en vas malgré ce lien qui me surpasse !Adieux !

Je ne suis plus sûr de ce que tu es,

Toi le désir de mon passé, pourquoi m'as-tu blessé ?

Tu t'es servis de moi, comme tu l'as fais avec les autres personnes que tu as fréquentée,

Seulement pourquoi tu m'as fait subir ta disparition vers l'autre côté ?

J'aurai pu te détruire moi-même,

Et, te jeter dans la gueule tous tes faux je t'aime !

Pauvre con, tu n'as pas saisie, la chance de t'abattre devant ma colère,

Tu as préférés de t'envoyer et de t'exploser la gueule en l'air !Adieux !

Seulement, je reste la en te cherchant,

C'est dur de me l'avouer mais, je t'aime encore !

Maintenant tu vas faire des parties de jambes en l'air avec les morts !

Pauvre demeuré sans sentiments !

Qui de nous deux en a plus souffert,

Hurle mon pauvre sens bien la chaleur de l'enfer,

Te scalper tout ton être humilié,

Par des années de cruautés,

Mocheté divine qu'est la dame de l'amour,

Pauvre garce qui ne fait que jouer des tours,

A des cœurs innocents qui ne demandent que du bonheur,

Et, qu'elle offrira que des années d'amour d'horreur !

Ne cherche plus à m'impressionner avec tes mots doux,

Avec tes maux qui en découlent à la fin,

Même, les plus durs à cuire et les fous,

Se méfient de toi, parce que ce qui arrivera et c'est certain,

Une rupture qui fait mal, et qui déchire le cœur,

Et, ces maux d'amour qui ne finissent pas d'accentuer mes douleurs,

Toute ma vie, j'en souffrirai,

Pauvre de cet être qui vit encré,

Dans un corps meurtri fié,

Qui ne demande de vivre en paix !

ADIEUX