C'est à la fois délicat, parce qu'il implique des sujets liés à la mort et à l'héritage, et confondant, car je ne sais plus si cela peut d'une façon ou d'une autre concerner Seronet.
Mon ex-girlfriend, qui demeurera toujours mon (?) (j'ai beau cherché en trois langues, je ne trouve rien ce soir), son père était un sculpteur américain assez fameux, à son décès, sa soeur et elle se partagent un héritage composé d'oeuvres (soit 6.000 environ); actuellement des galeries souhaitent l'exposer à Londres et à Genève notamment ; les deux soeurs héritières sont en conflit à propos de riens ; je conseille à Anne de prendre conseil ; les galeries exigent des preuves authentiques de leur consentement mutuel ; sa soeur vivait à Buenos Aires à la mort du père ; je cherche à faire valoir le droit moral de Anne, qui ne demande aucune prérogative particulière, mais la simple liberté d'exploiter et de valider l'oeuvre du père ; elles ont toutes deux trois passeports (suisse, américain, français) ; Anne m'appelle ce soir pour me demander de l'accompagner chez un conseil, auprès duquel j'aurai pris rendez-vous (celui de la succession Vasarély) ; je ne cesse de lui dire qu'il faut trancher, couper le cordon (symbolique); je m'aperçois que je l'aime encore... (I mean for ever !)
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Commentaires
les fausses confidences
le lendemain, c'est presque toujours pareil, j'éprouve une certaine gêne à relire ces morceaux de discours (je n'ai pas écrit Fragments...), qui n'intéressent personne, comme une erreur d'aiguillage que je n'assume qu'à moitié, qu'est-ce que vient faire ici, sur un site dédié à la promotion des hépatites et du vih, cette sordide histoire sorale ? je ne me le demande plus, j'accepte mes inepties comme le reste, sans complaisance mais avec embarras, j'ai choisi par exemple de ne plus commenter l'histoire Pierre Bergé, on pourra connaître mon opinion, certes entre chien et loup, parce que j'ai apprécié les commentaires de Nathan et de Maya, entre autres, les conflits m'effraient, surtout quand on ne sait plus très bien où se trouve la Raison ;
quant à cette affaire, il s'agissait d'évoquer le droit moral d'héritières en déroute, finalement, (mais c'est tellement mal écrit) je pensais pouvoir poser le problème de la transmission de l'immatériel ; échec total ;
j'écris vite mais je pense lentement.
(un bonjour souriant à toutes celles et ceux qui seraient venus s'aventurer jusqu'ici, par mégarde...)
Ni mal écrit,ni innintéressant....