Je me sentais mourir, je me suis accrochée.
Je ne me trouvais plus, au loin j’étais cachée.
Je n’avais dans ma tête qu’un puissant souvenir
De celle que j’étais, avant de tant souffrir.
Je savais bien pourtant que je n’étais pas morte,
Mais ou étais-je aller me cacher de la sorte.
De celle que j’étais souvent je languissais,
Je pensais bien à elle sans pouvoir l’approcher.
Et j’avais le regret de ne pouvoir l’entendre
Elle qui savait aider sans jamais rien attendre.
J’étais devenue autre et je ne m’aimais point.
J’étais aigrie, amère, je ne servais à rien.
Lorsque j’ai pris conscience de ma nouvelle image
J’ai décidé soudain d’éliminer ma rage
Je ne pourrais jamais changer les faits passés
Mais en ouvrant les yeux je pouvais mieux aimer.
Ce fut comme un miracle ou un bel arc-en-ciel
Je me suis retrouvée, c’est un nouvel éveil.
Offrir autour de moi mon aide et ma bonté.
J’étais imperméable aux mille et une choses
Les mauvaises et les bonnes, je me sentais morose.
Je me suis approchée de vous tout doucement
D’abord pour vous entendre conter tous vos tourments
Je vous ai donc fait part de ma compréhension
Partageant mes poèmes avec grande affection.
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Commentaires
oui, vivre...
et je vote pour le partage
bizbye,
LE PARTAGE
libellule33
diviser la joie en deux
un petit sourire pour toi
un petit sourire pour moi
et voilà qu'on est heureux
diviser la peine en deux
une petite larme dans tes yeux
une petite larme dans mes yeux
et voilà complice du feu
diviser les mots en deux
un petit mot de couleur
une petit mot de bonheur
et voilà un rayon lumineux
diviser les jours en deux
un petit matin de pluie
un sourire d'ennui
et voilà l'hiver frileux
diviser un refrain en deux
un petit chant ivre
un petit air du livre
et voilà l'océan bleu
diviser la vie en deux
donnons nous la main
chantons le même refrain
et voilà le coeur amoureux
très touchant!
petite puce
petite puce
merci petite puce
libellule33