Comment as-tu pu douter un seul instant que je t'aimais alors que je n'ai jamais cessé de te le montrer, c'est cela qui est dommage, tu étais, je pense, pris dans une conception de la vie et sûrement que tu ne t'en rendais pas vraiment compte, d'autant qu'autour de toi, on ne te montrait pas le bon chemin et le bon exemple, donc tu n'es pas complètement fautif. C’est certain qu'à un moment donné...