Les archives communautaires

Comment retrouver des membres ?

Nous n'avons pas encore de fonction-liste vous permettant de rechercher les membres en fonction de différents critères (sexe, âge, zone géographique), et même pas de liste tout court.

Pour trouver des seronautes qui correspondent à vos attentes, la seule solution est de fouiller dans les profils, ça fait un peu chercheur d'or mais n'est pas meetic qui veut ;). Il s'agit d'une première version du site ; il ne fait nul doute que plus tard, Seronet sera plus "complet".

Si vous désespérez, la solution la plus facile est de poster une petite annonce et les gens intéressés rentrent alors directement en contact avec vous.

Si comme ecceomo, vous recherchez un membre particulier qui n'a pas fait surface depuis longtemps, hop voici la solution : taper son pseudo dans la case "rechercher sur le site" puis cliquer sur l'onglet "utilisateur". Son profil est alors accessible.

Blogs ou forums : que choisir ?

A la tombée de la nuit, à demi-éveillé, je crois que c'était le 19, je tombe coup sur coup sur deux posts, un de Zauberberg et un autre de Cierva, demandant conseil aux seronautes..., deux "appels aux conseils" postés sur leur propre blog. Bonne idée, le problème, c'est qu'ils n'ont pas fait plus d'effet qu'un écho surgi en pleine nuit au milieu du Pacifique. Normal, d'autres seronautes ont posté d'autres choses après, reléguant ces interventions aux confins du site.

N'aurait-il pas été plus efficace de poster tout cela sur le forum où les sujets restent plus longtemps, et dont la forme se prête mieux aux questions/réponses ? That is the question ;).

C'est vrai qu'il est bien difficile de voir la différence entre les blogs et les forums sur seronet. Il y en a une néanmoins qui est plus visible : sur les premiers, on fait un effort d'écriture plus important, on part texto de notre vie, expérience personnelle ; on ne sollicite pas directement les opinions des seronautes ("c'est mon journal)" mais on se sait lu, suivi, adulé, voire détesté (ce qui est plus rare, heureusement !), et le fait d'être lu suffit à continuer à alimenter son blog. Normal, c'est une démarche perso qui n'existe pas "par les autres".

Sur les seconds en revanche, on recherche de l'aide, on s'attend à une réaction en lançant un sujet sinon c'est un flop. Le forum est un espace public où on se répond les uns, les autres..., où chacun amène sa pierre. Sur le forum, le premier post (une question ? un point de départ ?) n'apporte souvent pas grand chose ; sur le blog, il est en théorie à la base de tout ce qui suit...

Bref, peut-être que si Zauberberg et Cierva avait posté leurs questions sur le forum, ils auraient eu plus de succès... ? Je ne suis pas devin mais une réflexion autour des espaces du site peut être intéressante... Et vous, quelles différences voyez-vous entre les blogs et les forums ?

Mots clés  : méthadone

Insomnie sévère

Bonjour, je souffre d'insomnie sévère depuis que je suis sous traitement à la méthadone, idéalement je devrais baisser ma dose pour régler mon problème sauf que ce n'est pas possible car chaque fois que je l'ai fais je tombais "en manque" de drogue! Donc je dois trouver une solution et je me demandais si parmis vous il n'y aurait pas quelqu'un qui pourrait me suggérer un somnifère puissant? Malheureusement je suis tolérant à plusieurs hypnotiques dont le séroquel, le rivotril, amitriptyline et atarax. Des conseils?

Le VIH et la dépression

Les médecins ne prennent pas sérieusement les cas dépressives. Il pensent aussi que nous somme dépressives parce que nous vivons avec le VIH. C'est faux. Dans mon cas je recherche de l'aide et les médicaments ne sont plus une solution et ne fonctionnent pas pour moi.

 

 

Je déprime depuis que je suis enfant. Je me rappelle encore vers mes 4 ans dans les bras de ma mère en train de chialer car je voyais au loin mon père partir, avec sensation d'abandon, et ma mère toujours triste déjà, je n'arrêtais pas de pleurer tout le temps. Il était hors de question de penser qu'un enfant pouvais déjà déprimer. Dans ma famille la dépression était sujet tabou. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Encore à 10 ans je me cognais la tête très fort les dimanches soir car je n'en pouvais plus, et mon frère qui me gueulait dessus car je faisais du bruit. A quinze ans je me souvenais que je rentrais de l'école en pleur et je voulais mourir et me jeter par la fenêtre. Trop honte d'en parler et je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Les choses ont commencé à aller mieux quand je suis rentré au lycée, quand les autres élèves étaient finalement sympa, mais toujours des horaires difficiles et qui accumulaient la fatigue. La dépression était toujours la et un an avant le bac, j'ai découvert le milieux des boites homo, alcool, sorties tardives, et insouciant ou j'ai rencontré ce gars qui m'a refiler le virus du sida. (J'etais ivre, et dépressive donc, je m'en foutais de mettre un préservatif. La premier fois que j'avais un rapport sexuel, et il le savait). Je passe donc mon bac et mon père , qui ne veut pas m'aider pour continuer mes études:  Je recherche du travail en vain, et je rencontre mon premier "mari" avec qui je fais mon premier test du VIh, qui s'avère donc positif (j'ai 20 ans). D'un coup tout bascule et ma dépression me gagne encore plus que jamais, encore plus fort. Depuis cette époque je ne vis plus du tout, mais je survis. Je ne peux plus rien faire, ni travailler. Je fais donc des petits boulot droite gauche, toujours les drogues l'alcool, et mon copain qui part.

 

Jusqu'en 1997 mon médecin de l'époque ne voulait rien savoir sur la dépression et me disait toujours qu'il fallait que j'écoute de la musique et soit plus actif: rien de concrets a été fait pour m'aider. Toujours des idées noirs de suicide. Juin 1997 je rentre d'urgence a l'hôpital avec la Tuberculose. Mon diagnostic est fatal. Je m'en échappe et je rencontre Eric un américain qui me demande de partir avec lui vivre en Floride. Il est HIV-. Il sentait bien que j'avais des problèmes psychologiques. Il est la première personne a avoir agi, à demander de me donner un traitement et voir un psy pour parler. Je me suis senti bien, une vie saine, un boulot correcte, une voiture, trois chiens que j'aimais beaucoup, la plage tous les week end, un jardin à entretenir, beaucoup de sport. Mais je me sentais trop bien et invincible et les antidépresseurs mélangés à la triterapie, m'ont fait péter les plombs. Je quitte mon copain en avril 2007 ou tout pour moi bascule en même temps. J'ai tout perdu: boulot, maison, voiture, jardin, et comme je n'avais plus de papiers en règles pour rester, je suis rentré en France. Mon erreur fatale!.

 

Je reviens vivre avec ma mère qui a vieilli en Bretagne avec mon beau père qui ne veut pas de moi. Le déménagement et le changement m'ont stressé et fait perdre du poids. 80kg aux USA en Août 2007, 66 en octobre 2007> impossible de trouver un emploi en Bretagne. Je passe d'hôpitaux en hôpitaux et finalement je me retrouve à Paris. Depuis les usa j'etais toujours sous anti dépresseurs, mais à Paris on me change pour Cymbalta qui  m'a permis de trouver un boulot. J'arrête le cymbalta avec trop d'effets secondaires et raz le cul des cachetons!. et aujourd'hui je me retrouve seul dans un studio minable a Sceaux.

 

J'ai toujours besoin d'aide pour enfin dans ma vie m'en sortir psychologiquement. J'aimerais être hospitalisé, mais ça été refusé. et suivre une psychanalyse. Je change de docteurs tous les mois.  Aujourd'hui je demande de l'aide car je ne pense pas pouvoir m'en sortir seul si ce n'est que par le suicide. J'ai tout ce qui faut chez moi pour enfin en finir: http://en.wikipedia.org/wiki/Suicide_methods. En un an, j'ai changé physiquement, des poches sous les yeux, le visage creux, très blanc de peaux, maigri, fatigué...envi de rien. C'est très dur de pouvoir aller bosser tous les jours, alors que je travaille dans une très grande société, avec du 9 heures par jour plus 2 heures de transports.

 

Il faut donc arrêter de penser que nous déprimons parceque nous somme VIH + (mais que le VIH n'a pas arranger notre état dépressive) et qu'il faut traiter le problème a la source et prendre le cas de la dépression très au sérieux pour les personnes atteints du VIH. Si vous aussi vous avez de la dépression n'hesitez pas à poster votre texte. Essayons de trouver une solution ensemble

Recherche personnes contaminées par virus d'emblée multirésistant aux traitements

Je suis donc les conseils judicieux de Tofo-seronet et je puble sur ce forum plutôt que sur mon blog cette annonce un peu particulière.

 

Comme je l'ai déjà indiqué, j'ai été contaminé par un virus d'emblée multirésistant. Et pour l'instant, il n'y a pas de traitement vraiment possible si ce n'est à vouloir jouer les cobayes.

 

Aussi je recherche d'autres personnes dans ma situation afin que nous comparions les stratégies mises en oeuvre par nos médecins.

 

Bien sûr l'avis des personnes devenues résistantes m'intéresse. Mais je cible davantage ceux qui sont dans ma situation et qui actuellement ne sont pas traitées.

rencontre à Paris entre séropos (resto ou café)

Bonjour,

Cette discussion s'adresse à toutes celles et à tous ceux qui habitent la région parisienne et département limitrophes (27, 28, 45, 60, 14, 76, etc.)

Suite à discussion ce soir sur le chat (avec Pamelos et Lionnel), proposition a été faite de se retrouver dans un resto ou un café à Paris. A prévoir dans la 2° quinzaine de septembre ?

Si vous avez des idées, n'hésitez pas...

Gros bisous à tous

Eric

La compliance au traitement

Pour ceux qui doute que ce soit néfaste de sauter une dose une fois de temps en temps ou de ne jamais prendre sa médication à la même heure chaque jour et bien laisser moi vous dire ceci: ça fait 18 ans que je suis VIH+ et je prend des antirétroviraux depuis le début de mon infection. Dans ce temps là c'était l'AZT 2 co. à prendre jour et NUIT! Pas facile ça! Et bien pendant des années je n'ai pas fais attention à la façon dont je prenais mes médicaments, parfois je cessais de les prendre complètement pendant 2 semaines pour aller en voyage, souvent je sautais une dose et tout le temps je ne prenais jamais mes médicaments à la même heure. Je devais les prendre aux 12 hrs par exemple à 10h am et 22h pm et moi je prenais ma première dose à midi et celle du soir à 18h00. Je croyais pas que ça avait de l'importance... Ah mais que oui ça en a!!! À cause que je n'ai pas été compliant je suis maintenant résistant à toute les classes d'ARV. C'est-à-dire que le traitement que je prend en ce moment est ma dernière chance! Si je ne fais pas attention cette fois je risque fort d'en mourrir! Depuis que je suis compliant à mon traitement mes cd4 n'ont jamais été aussi élevé deouis 18 ans et ma santé est bonne alors je me dis que si j'avais été compliant depuis le tout début j'aurais allongé ma vie de plusieurs années! Ne faites pas la même gaffe que moi, oui c'est très difficile de prendre des médicaments mais vous les "nouveaux" séropositifs êtes très chanceux parce que vous avez des traitements avec seulement 1 à 3 co./jour tandis que moi à cause de mes résistances je dois prendre 27 comprimés/jour!! Réfléchissez bien avant de sauter une dose. Bonne chance!

tous fichés

un decret publié dans le journal officiel le 1 juillet 2008 institue un nouveau fichier denomé edvige , organisant le fichage generalisé etsysthematique de personne agées de plus de 13 ans" ayant solicité , exercé ou exerçant un mandat syncal , economique ,religieux , signicatif , gay , seropo ect ......

une petition est en ligne

http:/nonaedvige.ras.eu.org/

l'année passée la franchise medicale de 50€ personnes na rien dit ou presque !!!!

trouvé vous cela normal ?

cette année le fichage