J'écris ces quelques lignes pour un bonheur qui file
pour toi, que je n'ai pas compris, et en qui pourtant j'ai trouvé un ami.
Tu n'as fait que passer dans ma vie démolie,
tu es déja parti, faut il que je t'oublies ?
Aujourd'hui mon coeur se vide,
ton absence me fait mal
et la distance qui nous sépare efface de ma vie
ses couleurs déja pales.
Tu étais encore cette nuit
prés de moi dans ce lit,
voilà la nuit qui commence
et seul devant ce lit immense
je cherche en vain ton odeur qui me hante.
Je cherche un mot une trace de toi,
tu ne m'a rien laissé
es tu seulement passé ?
Et ton sourire quand tu dormais
obsède encore mes pensées.
Je cherche la tendresse de ton bras
qui dans la nuit s'est posé sur moi,
ton souffle régulier
qui sur ma peau se baladait,
ton visage qui s'était posé au creux de mon épaule.
Tu es parti, faut il que je t'oublies ?
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Commentaires
très joli
ton poème joris
ça me le fait aussi!Bises a toi merci
Mais pourquoi ?
Pourquoi cette hâte à ne pas accepter le bonheur de découvrir l'autre par l'expérience renouvelée d'une nuit de tendresse ?
Bien sûr on peut imaginer que, ça nous est tous arrivé, l'autre a senti que ça n'allait pas coller ! L'intuition d'une félure qu'on essaye même pas de colmater.
Et comme le disait Léa sur quelque forum parcouru récemment il y a ceux avec qui on dort et ceux avec qui on baise, et puis oh miracle ! il y a ceux avec qui on dort après avoir fait l'amour.
Je ne sais si c'est dû à l'accélération de la vitesse dans nos vies de tous les jours, mais j'ai l'impression que de moins de personnes tentent l'expérience de la 3 ème des possibilités.
Pourtant les films n'arrêtent de nous en montrer ! C'est que ça doit exister dans la réalité, alors Joris il te faut en être persuadé, ton tour viendra et tu le rencontreras celui qui ne voudras plus dormir sans toi après t'avoir aimer !