Act Up : y a-t-il une guerre de générations à la tête de l'association ?

Publié par IMIM le 02.08.2018
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Act Up : y a-t-il une guerre de générations à la tête de l'association anti-sida? https://www.lejdd.fr/societe/act-up-y-a-t-il-une-guerre-de-generations-a... via @lejdd

Commentaires

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En tant que séropositive et usagère de ce site ai-je encore droit à la parole ???

Des ultras gauchistes sortant tt droit de sciences po !!! Prestigieuse école dont sont sortis tt nos hommes de POUVOIR POLITIQUE.....Macron, Chirac, Hollande TOUS
Ils ont bien appris leur leçon.......Des voyous en col blanc.....notre future élite......
Facile de requisitionner une association de malades De personnes vulnérables
S'ils culpabilisent de faire partie de la classe privilégière, qu'ils fassent des dons !

Que connaissent-ils du HIV ?
Que savent-ils de nos vies ?

Qu'ils rentrent dans leurs beaux quartiers

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La Croix le 02/04/2018 à 15h45

Une nouvelle équipe a été élue samedi 31 mars à la tête d’Act Up. Les dirigeants sortants dénoncent « l’entrisme politique » de militants ayant rejoint l’association depuis la sortie du film 120 battements par minute.

L’équipe du film 120 battements par minute, sorti en août sur les écrans aux Césars. Un film qui raconte avec force et justesse le combat d’Act-Up au début des années 1990. ZOOM L’équipe du film 120 battements par minute, sorti en août sur les écrans aux Césars. Un film qui raconte avec force et justesse le combat d’Act-Up au début des années 1990. / PHILIPPE LOPEZ/AFP Et d’un seul coup Act-Up est redevenu Act-Up. Une association à nulle autre pareille, à la fois groupusculaire mais indispensable à la lutte contre le sida. Et capable de déchirements internes d’une violence verbale parfois sidérante.

Mais la nouveauté est que cette fois-ci, Act-Up implose alors même que la singularité de son action, historiquement majeure dans l’histoire de la maladie en France, suscite un regain d’intérêt militant inégalé depuis la sortie du film 120 battements par minute de Robin Campillo. Samedi 31 mars, une assemblée générale a élu un nouveau conseil d’administration, entraînant la démission de l’équipe sortante, qui a publié un communiqué au vitriol.

Pour dénoncer « l’entrisme » d’une nouvelle génération « de jeunes militants déjà politisés et expérimentés dans d’autres luttes, notamment antiracistes ». Et qui « détournent et exploitent l’outil d’Act-Up, en se servant de son historique, pour mettre en avant d’autres luttes ». 

Pour "Act-Up", la lutte contre le sida a toujours été politique » Pour comprendre, il faut revenir à 120 battements par minute, sorti en août sur les écrans. Un film qui raconte avec force et justesse le combat d’Act-Up au début des années 1990. Lors de la sortie, l’association n’est pas au mieux. Exsangue financièrement, elle a vu partir dans les années précédentes plusieurs de ses acteurs historiques. « À l’époque, on était une grosse dizaine de personnes à faire tourner l’association.

Et grâce au film, on s’est retrouvé 50 ou 60 lors de notre réunion hebdomadaire », raconte Rémy Hamai, alors coprésident.

« Un mélange de zadistes, d’activistes et de petits jeunes de Sciences-Po » Des forces vives très diverses. « Il y avait des personnes animées par la lutte anti-sida mais aussi des gens désireux de promouvoir d’autres causes, en particulier l’aide aux migrants, en reléguant au second plan la question du VIH. Alors que pour nous, la question des migrants est cruciale mais dans le cadre du sida », explique Rémy Hamai. « Un mélange de zadistes, d’activistes et de petits jeunes de Sciences-Po, persuadés que militer à Act-Up serait un bon tremplin pour leur carrière », ajoute Adeline Yvain, 33 ans, arrivée en octobre et devenue co-responsable de la commission jeunesse, poste dont elle vient de démissionner.  De son côté, la nouvelle direction affirme que l’équipe sortante se livre à une « campagne de calomnie » et utilise les réseaux sociaux « pour propager des fausses nouvelles et sciemment tromper les malades et leurs proches ». « L’épidémie est une épidémie politique, toutes les lois favorisant la précarité favorisent les contaminations », affirme-t-elle, en citant notamment le projet de loi asile et immigration. À lire aussi Barbara, Act Up : l’acceptation radicale de l’« autre » Une crise sur laquelle Jérôme Martin, ancien membre, ne veut pas se prononcer. « Ce qui est sûr, c’est que ces tensions ont toujours existé dans l’association », explique cet enseignant, qui a quitté Act-Up en 2013 après y avoir milité pendant quinze ans et assumé la présidence de 2003 à 2005. « Ce qui me gêne, c’est cette volonté de dissocier l’anti-racisme de la lutte contre le sida. Car les migrants sont d’une extrême vulnérabilité face au virus et il est essentiel d’aider les personnes étrangères et vivant avec le VIH qui, pour certaines, continuent à être expulsées de France », souligne Jérôme Martin, tout en jugeant impossible de « dépolitiser » l’action d’Act-Up. « Depuis le début, la lutte contre le sida a toujours été éminemment politique », estime-il. Pierre Bienvaul

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de Libé à La croix en passant par l'Obs, le midi-ouest, le middle Est...mdr TOUS SAUF NOUS étaient informés

Il existe ce site , lieu idéal pour NOUS informer, communiquer, mais NOUS S+, les premiers concernés par ce qui se trame ds nos assos, sommes laissés (volontairement) dans l'IGNORANCE.....
Ne sommes nous pas assez INTELLECTUELS pour qu'ils parlent avec nous?
C sur on ne sort pas tous de l'Ena, ni de HEC ni Sciences Po

Qui va oser nous dire que l'on est "respecté" dans ces structures ?
Que notre avis de SEROPOSITIF est pris en compte ???

Entre les médecins qui nous NEGLIGENT, NOS assos qui se font dépouiller,  des Corevih, incapables de COORDONNER, doit-on fermer nos gueules ?
Pourrait-on nous communiquer les PRIORITES à l'ordre du jour de nos nouveaux dirigeants ???? Leur programme ?

Message privé au Zadistes
Pourquoi ne pas aller faire pousser du cannabis et nous le disribuer gratos ?  Vous nous serez bien + utiles !mdr

Les "activistes"
Pourquoi ne pas avoir été SQUATTER les immeubles vides des banques, assurances, état, pour loger les migrants plutôt que de piquer dans les budgets pour payer des chambres d'hotel ou de "caser"dans les UPS???

A tout ces SERONEGATIFS qui tt d'un coup ont eut une "révélation"
Etre s+ ou migrant ne sont pas des rôles de composition....! Quand vous vous serez lassés de ces causes, NOUS SERONS TOUJOURS S+ et les migrants, malheusement, seront encore expulsés
Va falloir être clair avec vous mm
Si vous êtes les "révolutionnaires" que vous pensez être, alors PAS DE CENSURE  mais du DIALOGUE
Et défoncez les bonnes portes !!!

Mais peut-être est-ce trop près de chez vos parents ?????????mdr