ce mal qui ne se voit pas !

Publié par libellule33 le 06.04.2012
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Qu’est-ce que la fibromyalgie ?

ce mal qui ne se voit pas...

Cette affection commence à être de plus en plus en plus connue dans les pays occidentaux. Lors de son apparition, voilà trente ans environ, elle a été pour la grande majorité du corps médical une affection " poubelle " qu’on attribuait volontiers à un problème psychiatrique à prédominance féminine.
On ne les prend pas au sérieux
fibromyalgie
Comment en effet prendre au sérieux quelqu’un qui paraît en excellente santé, qui est souriant, bien portant et qui passe son temps à se plaindre d’un mal invisible qui le ronge ? Comment croire quelqu’un qui affirme deux mois durant ne plus pouvoir marcher à cause d’une douleur en vrille sous le pied droit, qui en guérit comme par enchantement, puis qui se plaint avec autant d’insistance de son genou gauche dans les mois suivants ? Comment croire quelqu’un qui ne souffre qu’en travaillant et qui n’est soulagé que par le repos ? Comment croire quelqu’un qui semblerait vouloir démontrer à son médecin que son arsenal diagnostic n’est pas en mesure de diagnostiquer son mal ? Comment croire un conjoint qui se dérobe à toutes ses tâches en prétextant être atteint d’un mal invisible ? Comment croire un mari qui ne veut plus travailler, une épouse qui ne veut rien faire dans son foyer ou qui prétend ne plus pouvoir sortir ou veiller ?
fibromyalgie
Parce qu’ils ne pouvaient pas se faire entendre, parce qu’ils ont compris qu’on ne pouvait pas les croire, ils se sont regroupés en associations de malades.
fibromyalgie
Ils ont commencé par s’écouter mutuellement, ils ont découvert qu’ils n’étaient pas seuls à souffrir de fibromyalgie et se sont rassurés sur leur état mental. Pendant longtemps ils ont pensé qu’ils étaient fous puisque rien ni personne ne pouvait percevoir leur mal. Et c’est ainsi qu’ils ont pu se faire entendre et qu’ils ont pu faire reconnaître leur maladie.

fibromyalgie... propos recueillis sur le site "energie-santé"

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La Maladie de la Fatigue Chronique a été reconnue officiellement le 16 juillet 98 par la Grande Bretagne, tandis que les États-Unis d’Amérique l’ont ajoutée à la liste des maladies infectieuses nouvelles récurrentes et résistantes aux médicaments.
fibromyalgie
L’OMS a reconnu la fibromyalgie en 1992 et la fait figurer dans la liste ICO-10 comme M790-rhumatisme non spécifié.

Depuis août 1992, la déclaration de Copenhague a reconnu l’authenticité de la fibromyalgie. Elle est considérée comme pathologie prise en charge dans les structures de " lutte contre la douleur chronique rebelle " (circulaire DGS/DH N°98-47 du 4 février 1998 - Direction générale de la Santé).
fibromyalgie
Il a fallu définir cliniquement cette maladie pour n’importe quel médecin puisse porter un tel diagnostic. C’est au Collège Américain de Rhumatologie (ACR) qu’on doit la première description clinique officielle de la maladie. Ce Collège a estimé en 1990 que tout fibromyalgique pouvait porter sur son corps jusqu’à 18 points douloureux à la palpation. Lorsque 11 de ces 18 points sont douloureux à la pression, le sujet a, selon l’ACR, 88% de chances d’être un fibromyalgique.

Depuis que l’existence de cette affection est mondialement reconnue, les médecins cherchent à en comprendre la cause et à trouver la molécule miracle ou le gène responsable. Mais à ce jour aucun traitement n’a pu assurer une guérison. Le plus souvent le fibromyalgique devient dépendant d’une ou plusieurs thérapies sans être véritablement soulagé.

La fibromyalgie pour qui ?
fibromyalgie
A force de chercher, on s’est finalement rendu compte que " tout le monde peut en être atteint hommes, femmes, adolescents, enfants, personnes âgées. La prévalence est identique en Pologne ou en Grande Bretagne " (Mac Cain 1996).
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On s’est aussi aperçu que les douleurs invalidantes n’ont rien de " rhumatismes ", parce qu’elles gardent l’aspect migratoire et unilatéral, caractéristique de la fibromyalgie.

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Les plus fréquents motifs de consultation sont des douleurs et un épuisement au moindre effort. En fait, le médecin s’aperçoit très vite que ces patients sont atteints d’une foule de symptômes apparemment sans lien.
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Ils ont mal partout, à la tête, au dos, aux membres. Ils n’arrivent plus à faire des gestes qu’ils avaient l’habitude de faire ; pour certains c’est la marche qui est devenue pénible, pour d’autres monter un escalier devient une véritable expédition. La ménagère dira qu’elle ne peut plus porter ses sacs, soulever une chaise ou lever les bras. Le sportif dira qu’il a été obligé d’arrêter ses activités ou qu’il ne peut les continuer qu’à la seule condition d’être sous antalgiques. D’autres diront qu’ils sont obligés de faire une heure de stretching par jour, tant ils sentent que leurs muscles sont tendus, spasmés. Le pianiste dira qu’il est épuisé au bout d’une heure de piano, alors qu’il avait pour habitude de jouer 6 heures par jour.
fibromyalgie
Ils dorment mal, ne récupèrent pas pendant le sommeil, se sentent fatigués dès le réveil.

Très souvent ces premiers signes masquent un cortège impressionnant de symptômes. Ils ont l’impression d’avoir toujours l’esprit dans le brouillard, d’avoir de la peine pour se concentrer ou pour trouver le mot juste. L’oreille leur semble bouchée, ils entendent moins bien, et sont envahis d’acouphènes, voient moins bien, ont des vertiges avec l’impression d’être un peu ivre lorsqu’ils marchent. Leur gorge pique, racle, leurs amygdales sont enflammées. Ils avalent souvent de travers et font quelques apnées du sommeil qui les amène à dormir avec plusieurs coussins sous leur tête.

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Le doute et l’incertitude, suite à des examens "normaux"

À force d’entendre que leurs examens sont normaux, qu’ils sont juste stressés, qu’ils en font trop et qu’il leur faut quelques anxiolytiques, ils finissent par se demander s’ils ne sont pas en train de devenir fous ou s’ils ne sont pas atteints d’un cancer tellement si grave que personne n’ose leur avouer. C’est ainsi qu’ils aggravent l’état anxio-dépressif, de plus en plus anxieux et déprimés caractéristique de leur affection. Troubles de l’idéation, humeur changeante, idées suicidaires, crises de spasmophilie et douleurs thoraciques précordiales nous incitent à tort à penser que leur maladie est dans la tête.
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Cette idée est confortée par la normalité de tous les examens qu’on peut leur faire subir. Rien n’est visible à la radio ou au scanner, rien ne se détecte aux examens de laboratoire actuels.


Médicalement, rien ne valide officiellement les doléances de ces patients dont les dires sont contradictoires et changeants : leurs fameuses douleurs sont migratrices, cervicales le lundi, lombaires le vendredi, brachiales le dimanche.
fibromyalgie

Continuant à souffrir, le fibromyalgique retourne souvent chez son médecin, puis fait le tour des spécialistes dans l’espoir d’être enfin soulagé. Rien n’est stable dans leur plainte, en janvier ils consultent l’ORL pour une oreille bouchée, en février ils consultent pour un syndrome de canal carpien. En mars ils consultent le dentiste pour des douleurs dentaires ou articulaires inexpliquées. En avril, ils se retrouvent allergiques à tout, au moindre allergène, au moindre stimulus. En juin, ils demandent des tranquillisants à leur médecin, en septembre ils ont besoin d’un arrêt de travail. En octobre, ils prennent rendez-vous chez l’ophtalmologiste pour une paupière qui saute ou pour une violente douleur rétro-orbitaire ou pour une baisse subite de la vue.
fibromyalgie
Les traitements ostéopathiques sont tous efficaces mais les résultats ne durent pas. Le corps se tord à nouveau sur le bassin, le rachis ou le crâne. Les récidives se font dans l’espace d’une semaine minimum à trois mois maximum.

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Leur budget santé est impressionnant au point que le nombre croissant de ces malades commence à déstabiliser l’équilibre financier des caisses maladies. Ils sont souvent accusés de nomadisme médical, et leurs médecins, pour peu qu’ils soient compréhensifs et attentifs à leur souffrance, sont accusés d’être complaisants. S’il n’est déjà pas facile pour un médecin de comprendre une affection invisible, cela l’est encore moins lorsqu’il faut faire admettre à un gestionnaire de caisse maladie ou devant un tribunal l’existence de quelque chose d’impalpable.

Dr André Mergui

pour ceux qui sont interessés voici l'ouvrage du docteur André Mergui.

Dr André Mergui

fibromyalgieLa fatigue chronique ou fibromyalgie
La reconnaître, la combattre, la traiter
fibromyalgie
2e édition
André Mergui
fibromyalgie
Paru le : 02/07/2007
Editeur : Guy Trédaniel
ISBN : 978-2-84445-818-6
Nb. de pages : 246 pages

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je souffre de douleurs que ni IRM ni scanners ni radio ne puissent identifier. j'ai remarqué que ces douleurs bien souvent se déclenchent lorsque j'ai une contrariété que je ne gère pas ou mal. Ensuite la douleur s'endort mais le point est toujours sensible (mais supportable). Je ne peux pas mettre çà sur le dos de la tri car ces douleurs ont commencées avant que je reprenne le traitement.

Parfois j'ai eu l'impression de passer pour une allumée aux yeux des medecins car aucunes preuves n'avaient été détecté et ce constat me rendait mal à l'aise... surtout quand on a pas l'habitude de se plaindre.

du coup je suis passée par des interrogations extremistes du genre : ai-je une maladie incurrable ? suis je folle ? hypocandriaque ? bref ! la machine alors s'affole et on s'isole dans un mal être qui nous invalide...

On a beau se dire que c'est notre imaginaire, que çà va passer!  la douleur est belle est bien présente et on n'arrive pas à y poser un diagnostic... je trouve que le docteur Mergui explique bien ce mal et cela me rassure ...

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ouvrage de de Michel Odoul.

Nos maladies ne sont pas le fait du hasard ni de la fatalité, mais un message de notre être intérieur, assure Michel Odoul dans “Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi”. Huit ans après sa première édition, ce guide qui nous invite à décoder nous-même le langage du corps caracole en tête des meilleures ventes.

Un parcours atypique pour ce grand spécialiste en shiatsu : diplômé de Sup. de Co, il est, depuis dix-huit ans, consultant en entreprises et formateur aux techniques énergétiques. Depuis 1996, il dirige l’Institut français du shiatsu, à Paris.

Paru en 1994, vendu à plus de cent soixante-cinq mille exemplaires à ce jour, réédité neuf fois : “Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi” est un best-seller. Son succès tient à ce qu’il nous parle de nous, de nos petites douleurs et de nos grandes souffrances, et propose d’en finir avec nos problèmes de santé. S’appuyant sur le lien intime qui existe entre notre système immunitaire et le psychisme, il nous aide à mettre des mots sur nos maux. Michel Odoul, son auteur, l’a écrit à la demande de ses patients. Fondateur de la psycho-énergétique, il a pris deux ans pour le rédiger en s’aidant des sept mille consultations qu’il a données. Son objectif ? Susciter, à travers son livre, les prises de conscience : « Lorsqu’il m’arrive quelque chose, maladie ou accident, que se passe-t-il à ce moment-là dans ma vie ? »

Psychologies : Comment expliquez-vous ce succès ?

Michel Odoul : La vision mécaniste que l’Occident et sa médecine traditionnelle se font de l’être humain ne suffit plus à nombre d’entre nous. Aujourd’hui, chacun veut comprendre ce qui lui arrive et pourquoi, et entendre parler "autrement".

Comment utiliser votre ouvrage ?

Ce livre n’a d’autre prétention que de donner à réfléchir à ceux qui se posent des questions. Mais tous les bobos ne sont pas forcément interprétables : une constipation passagère qui s’améliore avec un régime alimentaire plus équilibré ne prête pas à une interprétation particulière. Même si, dans une certaine mesure, sa prise en charge a modifié votre mode de vie. En revanche, un symptôme attire l’attention, quand il est récurrent, intense ou inhabituel : maux de tête, sciatiques, tendinites, allergies, spasmophilie, boulimie, kystes, etc.

Vous ne faites pas de différence entre un problème physique, un problème psychosomatique et même un accident… Vous n’allez pas trop loin ?

Pour moi, il n’y a aucune différence ! Je pense que nous sommes en interdépendance avec tout ce qui nous entoure. Qu’on les appelle "traumatismes", "maladies" ou "accidents", nos pathologies ont toujours du sens, même si l’on ne parvient pas à le décoder. Prenons le cas d’un accident. Si ma voiture dérape sous la pluie, c’est que j’ai commis une erreur de conduite. Et c’est peut-être en réfléchissant à ce qui m’a absorbé à ce moment-là que je peux trouver une amorce d’explication à mon accident.

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Admettons que j’aie mal au genou. J’ouvre votre livre et je découvre que « les douleurs au genou signifient que nous avons du mal à intégrer une émotion ». Cela ne peut-il pas simplement s’expliquer par le fait que je porte des talons trop hauts ?

Bien sûr ! Mais la raison mécanique n’est pas suffisante. La question que vous devriez vous poser, c’est pourquoi vous portez des talons aussi hauts, ce que cela représente pour vous. Peut-être que les hauts talons, signes de féminité chez les Occidentaux, sont à rapprocher du rituel des pieds bandés des Chinoises : dans les deux cas, on contraint les femmes à une difficulté de mouvement.

Et si je ne me reconnais pas dans cette explication ?

C’est très possible ! Cela signifie sûrement que la véritable raison n’est pas encore acceptable pour vous à ce moment-là : elle est occultée par votre inconscient, parce que vous n’êtes pas prête à lui faire face. Et c’est très respectable

Qu’est-ce que la psycho-énergétique ?

J’ai fondé cette méthode à la fin des années 80. Elle se sert à la fois de la psychologie occidentale – celle de Jung en particulier – et de techniques orientales – tao, médecine chinoise, yin et yang – pour donner un sens à nos souffrances. Par exemple, à travers la symbolique que les Chinois attribuent aux méridiens d’acupuncture, on peut donner un sens à chaque organe. Ainsi, la vessie représente la phase finale de transformation des énergies et permet d’évacuer les "vieilles mémoires" que nous portons en nous.

Sur le plan psychologique, son méridien est associé à la fécondité, à la rigueur et au sens de l’écoute. On travaille aussi sur la latéralité du corps : le yin représente le côté droit, les valeurs féminines, familiales, l’entreprise, la mère. Le yang recouvre le côté gauche et incarne les valeurs masculines, l’autorité, le père. Pour en revenir à votre genou, il est important de savoir lequel vous fait souffrir : si c’est le droit, vous vous interrogerez sur votre rapport à la féminité, à la mère, à la famille, aux émotions. Si c’est le gauche, essayez de trouver la source de votre problème dans vos liens avec le masculin et le père.

Quelle est l’originalité de votre méthode par rapport à certains dictionnaires américains qui compilent les maux du corps et leurs interprétations ?

D’abord, elle est antérieure. Ensuite, elle est sérieuse : les professionnels qui l’exercent sont tous des enseignants en shiatsu, des médecins ou des ostéopathes, qui connaissent précisément le corps humain. Enfin, le rapport du praticien avec son patient est particulier. Au cours de sa formation, on lui apprend à ne jamais nommer son problème à un patient : le praticien doit l’aider à le trouver par lui-même, parce que la prise de conscience personnelle est primordiale. En général, tout se règle en trois ou en quatre séances.

Ce faisant, ne vous opposez-vous pas à la médecine traditionnelle ?

De plus en plus de médecins ont conscience que, derrière toute maladie, une tension psychologique souvent inconsciente prépare le terrain à la pathologie. Mais attention, ce livre ne prétend pas guérir ! Il invite les gens à écouter leurs maux pour décoder leurs vrais problèmes. D’ailleurs, cette approche n’est pas incompatible avec la médecine traditionnelle, au contraire. Il nous arrive d’aiguiller des patients vers des médecins. Seulement, le « malade » ne doit pas s’en remettre à l’omnipotence du médecin, et se laisser soigner passivement : il est l’acteur de son problème et non la victime. Des médecins, des psychologues, différents thérapeutes peuvent nous soigner, mais nous sommes les seuls à pouvoir nous guérir.

EXTRAITS :

“Dis-moi où tu as mal, je te dirai pourquoi”. que je conseille vraiment de lire tant on se reconnait dans tel ou tel mal !

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Les genoux : difficulté à accepter

« Le genou est la deuxième articulation de la jambe, celle qui sert à plier, à se plier, à se mettre à genoux. C’est l’articulation de l’humilité, de la souplesse intérieure, de la force profonde. […] Il est le signe manifesté de l’allégeance, de l’acceptation, voire de la reddition et de la soumission. Le genou représente la “porte de l’acceptation”. C’est une articulation qui ne peut en effet plier que vers l’arrière. Il signifie donc la capacité à lâcher, à céder, voir à reculer. […] Il est facile de déduire que, lorsque nous avons mal à un genou, cela signifie que nous avons de la difficulté à plier, à accepter un vécu particulier. »

Les épaules : difficulté à agir

« Les tensions que nous ressentons dans les épaules signifient que nous rencontrons ou ressentons des freins à nos désirs d’action, notamment en termes de moyens. C’est-à-dire que nous nous sentons empêchés non pas par manque de capacité, mais par manque d’assistance ou par opposition extérieures. Les énergies ne peuvent donc pas passer dans les bras et se bloquent dans nos épaules. Ce ne sont pas les “cérébraux”, qui pensent beaucoup et agissent peu, qui me contrediront car ils ont pour la plupart les trapèzes très douloureux. »

La gorge : difficulté à exprimer

« Les maux de la gorge sont ceux de l’expression “qu’est-ce que j’ai en travers de la gorge” ou de l’acceptation “qu’est-ce que je n’arrive pas à avaler”. Extinction de voix, angine, avaler de travers, aérophagie sont les signes de notre difficulté à exprimer ce que nous pensons ou ressentons, souvent par peur des conséquences de cette expression. Nous préférons alors arrêter les choses “à la douane”. »

Les chevilles : difficulté à bouger

« Les entorses, douleurs et traumatismes aux chevilles vont nous parler de nos difficultés de relations, dans le sens où nous manquons de stabilité ou de souplesse par rapport à elles. Elles signifient que nous traversons une phase dans laquelle nos positions, nos critères de vie, la façon avec laquelle nous nous “plaçons” officiellement par rapport à l’autre ne nous satisfont plus et que nous avons de la difficulté à en changer, à “bouger”. Nous nous obligeons alors à l’arrêt, car nous ne pouvons plus avancer dans cette direction. »

Du site psychologies.com