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« Car venait de surgir, du fond de sa mémoire
Du fond de sa mémoire, un visage oublié
Une image chérie, du fond de sa mémoire
Son seul amour de femme, son seul amour de femme »
Voici un mois que je fais le tri parmi mes souvenirs
Bibelots achetés aux grés de nos brocantes et de nos errances
Chacun a son histoire son souvenir
Celui acheté à la Calmette ou bien à Calvisson ou encore à Fontvieille
Le prix pour tout ça … il n’y en a pas
Même ceux qui ont encore des odeurs de colères ou de tristesses
D’abandons ou de traitrises
Et de lassitudes
Même prix pour les autres
Ceux ou le cœur s’emballe
Ou ce rayon de soleil brillera toujours
Dans un coin de ma mémoire
Costumes fait pour un défilé à Fos-sur-Mer, à Martigues ou Port-de-Bouc
à Vauvert ou Marsillargues
Ces heures penchées sur le travail
Chiffons entassés sur des porte-manteaux
Les inondations avaient fait déjà le tri
Bonsaïs cueilli dans les pinèdes de Fontvieille sur le bord ‘une route
Dans le jardin public
Ou encore le long d’une roubine
Choyés durant vingt années
Mais un jour il faut abandonner sur sa route ces choses trop lourdes à porter
à savoir près de soi
Même enfermées dans des cartons leurs odeurs me rappellent
Et de déménagement en déplacements d’une pièce à l’autre
Ils pèsent les salops
Ce sentir moins lourd de ces choses surannées
Changer l’atmosphère
Chasser l’incongruité
Chasser les fantômes
Chasser la douleur
Commentaires
Il me revient en tête ces paroles de Barbara
« Car venait de surgir, du fond de sa mémoire
Du fond de sa mémoire, un visage oublié
Une image chérie, du fond de sa mémoire
Son seul amour de femme, son seul amour de femme »
Voici un mois que je fais le tri parmi mes souvenirs
Bibelots achetés aux grés de nos brocantes et de nos errances
Chacun a son histoire son souvenir
Celui acheté à la Calmette ou bien à Calvisson ou encore à Fontvieille
Le prix pour tout ça … il n’y en a pas
Même ceux qui ont encore des odeurs de colères ou de tristesses
D’abandons ou de traitrises
Et de lassitudes
Même prix pour les autres
Ceux ou le cœur s’emballe
Ou ce rayon de soleil brillera toujours
Dans un coin de ma mémoire
Costumes fait pour un défilé à Fos-sur-Mer, à Martigues ou Port-de-Bouc
à Vauvert ou Marsillargues
Ces heures penchées sur le travail
Chiffons entassés sur des porte-manteaux
Les inondations avaient fait déjà le tri
Bonsaïs cueilli dans les pinèdes de Fontvieille sur le bord ‘une route
Dans le jardin public
Ou encore le long d’une roubine
Choyés durant vingt années
Mais un jour il faut abandonner sur sa route ces choses trop lourdes à porter
à savoir près de soi
Même enfermées dans des cartons leurs odeurs me rappellent
Et de déménagement en déplacements d’une pièce à l’autre
Ils pèsent les salops
Ce sentir moins lourd de ces choses surannées
Changer l’atmosphère
Chasser l’incongruité
Chasser les fantômes
Chasser la douleur