Monsieur Trénet l’a chanté longtemps avant moi
Bienheureux le Poète qui par le souvenir
Vient embellir la vie de toute l’humanité
Modeste gribouillard ou géant confirmé
Toi qui as su pour moi faire oublier le pire
Tu restes dans mon cœur comme un hymne à la joie.
Tes enfants ont grandi, certains sont au sommet
Mais non, Monsieur Bécaud, le Poète n’est pas mort
Je l’ai croisé hier, et peut être aujourd’hui
Reviendra-t-il aussi au fil d’une mélodie
Leitmotiv lancinant qui chantera encore
Au milieu des bleuets dans tous les champs de blé.
Echappatoire facile ou besoin d’autre chose
Lorsque le quotidien ressemble à un fardeau
Poète, mon ami, tu es toujours présent
Grâce à toi j’oublie tout, les chagrins et les ans
Les trahisons pareilles à des coups de couteau
En pensée avec toi enfin, oui enfin, j’ose.
Pour qui sait te comprendre, pour qui sait t’apprécier
Ou même simplement pour qui sait t’écouter,
Poète de mon cœur qui vogues au fil du temps
Tu partages tes secrets avec tous tes amants
Tu peux venir souvent, mes bras te restent ouverts
Inutile d’essayer, je ne peux me passer
De toi ni de ton âme, Poète aimé.
Bienheureux le Poète qui par le souvenir
Vient embellir la vie de toute l’humanité
Modeste gribouillard ou géant confirmé
Toi qui as su pour moi faire oublier le pire
Tu restes dans mon cœur comme un hymne à la joie.
Tes enfants ont grandi, certains sont au sommet
Mais non, Monsieur Bécaud, le Poète n’est pas mort
Je l’ai croisé hier, et peut être aujourd’hui
Reviendra-t-il aussi au fil d’une mélodie
Leitmotiv lancinant qui chantera encore
Au milieu des bleuets dans tous les champs de blé.
Echappatoire facile ou besoin d’autre chose
Lorsque le quotidien ressemble à un fardeau
Poète, mon ami, tu es toujours présent
Grâce à toi j’oublie tout, les chagrins et les ans
Les trahisons pareilles à des coups de couteau
En pensée avec toi enfin, oui enfin, j’ose.
Pour qui sait te comprendre, pour qui sait t’apprécier
Ou même simplement pour qui sait t’écouter,
Poète de mon cœur qui vogues au fil du temps
Tu partages tes secrets avec tous tes amants
Tu peux venir souvent, mes bras te restent ouverts
Inutile d’essayer, je ne peux me passer
De toi ni de ton âme, Poète aimé.
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