Dernier refuge..........Enfin...........
Elle n'est pas de la renaissance l’insolente, qu'importe j'y bois mes sens
Deux arbres s'offrent presque sur la pointe des pieds comme pour une dernière
danse, d'un balai scintillant dans la lueur de ce dernier jour d'été
L'herbe s'invite d'un mal qui l'habite d'une incompréhension voilà, une
façon de lui tendre les bras dans ce climat ténébreux moi, l'amoureux du vide
occasionné du déni de ses pauvres âmes sans scrupules qui m'ont délaissés
Une clôture bancale qui laisse à supposer que d'autres n'ont jamais voulu
rafraîchir cette habitation des derniers frissons où, qui ont passés sans se rendre
compte de sa générosité
Le vent s'engage en jetant les plus fragiles feuilles à mes pieds, voulant
faire allégeance de bons sens de ce tapis aux multiples couleurs devant mes
pauvres yeux en pleurs
L'hésitation est un peu dans ce corps inodore qui vient là comme pour
embrasser ses dernières volontés, instant fragile qui ne se refuse pas, chargé
d'une grande émotion prenant une grande résonance malgré, le silence
Pas l'ombre d'une ombres pour accompagner l'envie de se jeter vers ce
nouvel inconnu d’où les autres ne murmurent plus, ici jadis venus cherchant
cet appétit du risque de l'absolu
Un volet mal engagé claque rappelant qu'il est temps de franchir le seuil
le pieds ne doit pas faiblir s'en retourner trop tard la décision est pour cette
belle fin de soirée
Une toile d'araignée voltige sur la poutre maîtresse de la forteresse
elle aussi danse silencieusement de ces gestes d'épouvante dans un ultime
ressort qui déterminera son propre sort
Je franchis maintenant, sur le parquet usé des insectes courent sans doute
prient de panique de ma venu, quel audace que ce nouveau passant surgissant
dans ce monde solitaire jusque là protégé
Peu de mobilier étonnement où, humble réalité croyant arrivé dans un palais
rempli d'étincelles aux candélabres dégoulinant de cire d'or et seul poussière
s'offre sur une photo laissé sur un tabouret aux pieds meurtris du passé
Un repose attend garni de paille d'antan, légèrement ondulé de corps
venus déposer leurs souffrances dans ce même silence
Le regard bascule dans cette atmosphère du voyage qui prendra fin à
l'heure venue, peut-être au dernier couché de soleil, sous la lune pour
ce joli préambule
Déposer pour mieux épouser, l'ombre glisse lentement comme une intrus
levant les yeux dans ce hasard, ne voulant pour simple regard l'idée qu'un jour
il à était aimé.
La Maison du silence vous dit, tendres baisés.
Petit Patock.
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