Cette petite phrase que j’entends, un peu trop souvent, comme si elle était la seule et unique réponse que l’on puisse donner, la seule et unique solution que l’on ait trouvée "on n’y peut rien…"
C’est sûr que l’on ne va pas changer le monde … mais quelques personnes essaient de le faire, essaient de penser autrement …
https://m.usbeketrica.com/article/black-friday-profitez-en-n-achetez-rien Je ne les connais pas personnellement, mais j'aime beaucoup cette façon de penser.
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Commentaires
Green Friday
Je te rejoins cb. Personnellement n'étant pas pour la consommation inutile. C'est un autre sujet mais c'est étonnant qu'avec toute cette consommation et ce gaspillage que nous émettions si peu de CO2, ce qui nous permet ensuite de donner des leçons d'écologie au monde entier, et particulièrement aux pays d'où proviennent ce que nous consommons. Normal qu'ils produisent autant de pollution, de C02 .... on leur a refilé nos usines avec la délocalisation et la mondialisation à outrance.
C'était la minute de Tom, pour changer le monde ...
Ou quand et comment
l’approche fataliste qui arrange tant d’individus en raison de l’irresponsabilité qu’elle induit de facto (et maintenant même parfois de jure) sert formidablement la boulimie de profits des détenteurs du capital.
Ce « on n’y peut rien » est à mettre en parallèle avec le « ce n’est pas ma faute » si répandu : cette fuite de la responsabilité individuelle et/ou collective est un art, celui de botter en touche ou n'être jamais là intellectuellement.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fatalisme
Il faut aussi s'alarmer du traitement des déchets et plus spécifiquement des décharges que les pays industrialisés créent dans les pays en voie de développement : les êtres humains qui en vivent sont réduits à l'état de fouisseurs et le paient parfois de leur vie :
http://www.lemonde.fr/international/article/2017/04/17/sri-lanka-29-mort...
http://www.geo.fr/environnement/actualite-durable/le-ghana-poubelle-pour...
Il y a cependant une prise de conscience générale actuellement en France : les circuits courts, les AMAP, les ateliers de réparation (la personne vient elle-même réparer son objet aidée d'une autre possédant le savoir), les garages solidaires (dont la vocation première est d'aider les actifs aux faibles revenus à conserver leur véhicule car celui-ci est la condition sine qua non de l'emploi), les associations de défense de consommateurs, les ONG environnementales, etc, en sont preuves.
Les jeunes générations ont intégré le fait que la planète n'est pas inépuisable, que leurs aînés l'ont pour partie détruite et continuent de la mettre en danger : j'ai confiance en eux pour avoir une action en regard de la vision globale qu'ils possèdent des choses (ils vivent déjà, de par leur construction intellectuelle (je dirais même neuronale) dans la transversalité).
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