Vive l'exception culturelle^^

Pareil pour moi pour chaques interventions sur ce site et je te dis pas ce que je prends quant je poste un blog !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! des millions !!!!!!!!!

Putain, quel chance, avec un seul film il peut s'acheter un U-Boot allemand d'époque et une salle pour l'exposer 

Oui c'est incompréhensible, et après sa pleurniche, ça ce morfond et ça se demande pourquoi les films américain et les films Indien envahissent le marché mondiale, c'est pas étonant vu comme il paye leur acteur ici.

Et même la télévision c'est pareil, canal + sort la série "les revenants" a coup de tapage médiatique hors de prix, une série Française a "l'américaine" d'après eux, alors qu''ailleurs dans le monde des série de ce type ils en sort 50 par an.

Ensuite les films d'épouvante et d'horreur qui sont vraiment plebiciter a mort dans le monde entier par les adolescents et les pre-adulte, et bien en France ils n'arrivent toujours pas à en faire ou vraiment très peu une goutte d'eau dans la marre (Martyrs et haute tension entre autre) bref en France rien n'est jamais a la hauteur à ce niveau là.

De part le monde on sort chaque années des dizaine de  blockbuster à gogo, des Avatar, Prometheus et j'en passe, des trilogie du genre seigneur des anneaux stars wars et la France ça ce compte sur les doigts d'une main du genre Astérix et Obelix quoi.

Non il faut vraiment faire évoluer tout ça.

Des changement radical sont nécessaire dans ce milieux la en France. Les films d'auteur d'accord, Adjani, Depardieu ok mais il faut du nouveau un peu et du bon surtout.

Et il faut se mettre a hauteur de ce qui ce passe dans le monde à ce niveau la.

A la lecture du papier de Vincent Maraval (le Monde - 29/12/12), il se dégage quand même quelque chose d'ambigu. 

Certes l'exemple de Sandrine la rouquine est à prendre à part. Car si elle fait des entrées, elle fait aussi pas mal de sorties (entre potes).

Non, la charge lancée contre les salaires des acteurs français, superbement inconnus en-dehors de la zone euro francophone, à quelques rares exceptions près, porte sur le financement du cinéma. Une merveilleuse opération qui visait, à l'origine, à se protéger des majors américaines, éviter le fiasco de l'Italie, protéger cette industrie comme on protège nos fromages au lait cru. Sauf que personne n'en veut de nos fromages (qui puent, dixit Canal+).

La partie délicate jouée par Vincent Maraval, dont la société Wild Bunch est le distributeur mondial d'un film comme "The artist", seule exception culturelle notoire, exportable (un film muet, en noir et blanc !), oscarisé, etc... révèle un scandale financier que le grand public ignore.

Le système de financement public du cinéma (via le CNC) s'appuie sur l'obligation pour les chaînes de télé à coproduire de la merde. Il faut alimenter les tuyaux. 

Si l'acteur vit à L.A., comme Juliette Binoche par exemple, c'est parce que c'est plus sympa. De temps en temps, elle apparaît dans un film qui la maintient dans son statut de star décalée, le reste du temps, on ne sait pas ce qu'elle fabrique.

Tous, ou presque, ont fiscalement quitté le territoire. Bien avant Hollande (même sa taxation à 75% vient d'être retoquée par le Conseil constitutionnel), pourtant, le public se plaît à rêver. Même avec le fric de ses impôts. Il préfèrera visiter en catimini la villa luxueuse, l'hôtel particulier, plutôt qu'un vague deux pièces triste à chier. 

L'épisode du plus récent exil fiscal a soulevé une indignation totalement irrationnelle. Un Premier ministre qui accable un brave imposable de minable, c'était du jamais vu. Sa ministre en charge des affaires culturelles n'a pas été plus brillante.

Pourquoi donc tout ce raffut ? Ils gagnent du pognon (pour parler comme Gégé), et alors ? où est le mal ? Nous le savions déjà, non ? Oui, Depardieu a été un acteur qui m'a fait rêver, dans un camion avec Marguerite Duras, ou pour promouvoir la viole de gambe, dans Tous les matins... (d'après le roman d'un auteur français, Pascal Quignard), le drame de son fils Guillaume, tout ça, l'excès, le fric et la débine, tout ce qui a toujours alimenté les gazettes, car sans eux les people seraient cantonnés à Mmes Bettencourt, mère et fille, tu parles d'un glamour, ou l'autre planqué de Bernard Arnault, ou le populiste Bernard Tapie qui s'achète une presse régionale pour s'ériger en arbitre des bienséances lors des prochaines élections municipales, à Marseille, autant de parvenus...

Le problème français, c'est la routine, le manque de création, d'audace, et ce lien jamais résolu à la fortune, autrefois, avant la Révolution, l'aristocratie menait le pays à sa perte, mais avec quel entrain ! c'était ça le cinéma du XVIIIe s., le cuisinier de Louis XIV se suicide car l'arrivage des huîtres est compromis pour un banquet, Vattel meurt pour un déshonneur et on se dit aujourd'hui que le sacrifice était démesuré, 

si les cachets de nos aimables acteurs contribuables en irrite certains, c'est toute la machine qu'il faudrait revoir, Nathanaël évoque lui aussi cette frilosité créative, on parle beaucoup de fric, mais très peu de talent, d'inspiration, de nouveauté,

qui consent encore à perdre 10 euros pour voir une nullité ? on attend qu'elle soit diffusée sur une chaîne tv, tranquille chez soi, même ce rapport simple à la salle de cinéma se trouve dépassé, perso ça m'agace de me trouver confiné dans une salle sans pouvoir bouger, fumer...

on parle enfin beaucoup des acteurs, des actrices, mais les salaires minima syndicaux des techniciens sont exhorbitants, lorsque le régime des intermittents du spectacle offre un confort doré pour un simple machiniste, 

c'est l'ensemble du système qui devrait être repensé, le cinéma français s'effondre comme le reste, mais l'argent n'est pas seul en cause, la part de l'Etat dans cette industrie est une catastrophe, l'importance des chaînes tv un mirage, 

pourtant, je crois encore à la magie de l'image, j'en ai aussi un peu marre qu'on nous bassine sur le fric, ce segment de l'industrie n'a jamais été entre les mains d'une congrégation religieuse, il serait peut-être temps de réaliser que même le rêve se paie, parfois très cher.

on est loin derriere les etats unis !!!!!!!!!!! et pourtant moi je suis a fond film francais ...........tu multiplie par dix ou par 20 les salaires la bas ..............c est decidé je vais me mettre au cinema.....j ai deja fais 3 films pour un pote qui etudié le cinema sur toulouse ..........le genre de film conceptuel ou des que tu en voit 10 mn tu capotes !!!!! tu parles d un lancement de carriere !!!!!!!!