Oui, vous allez me dire que ça arrive à tout le monde et qu'on a tous des hauts et des bas. Simplement dans ma bouche, avouer que je vais mal est quelque chose de peu courant. Le syndrome du surhomme, sûrement. Ou des relents éducatifs qui m'ont appris à ne pas me plaindre et d'affronter l'adversité la tête droite. Il n'empêche que je dois bien me l'avouer : je vais mal. Je cherche encore les...