dont le moteur commence à s'essouffler comme elle,j'ai comme qui dirai,des ratés je me rabache,je me répète de temps à autre j'éructe,je me déssèche le temps est loin où je gambadai comme un cabri mes cheveux deviennent grisâtres,ma tête se dégarnit par tous les temps,je filai comme un éclair maintenant,je compte les années qui m'emmèneront en terre il fut un temps où j'étais un abruti du boulot...