VIH et activité physique : qui veut témoigner ?

9 Avril 2011
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Une équipe universitaire (à Montpellier) Santesih (Santé, éducation et situations de handicap), en partenariat avec l’association Actif Santé, mène une enquête pour comprendre comment VIH et activités physiques et sportives sont conciliables. Cette enquête consiste en un questionnaire qui garantit l’anonymat, et/ou par entretien avec l’équipe de recherche. Les organisateurs, Santesih et Actif Santé, souhaitent rassembler un maximum de témoignages de "personnes pratiquant un sport ou n'ayant aucune activité physique et sportive ; de personnes vivant avec le VIH depuis plus ou moins longtemps ; de femmes ou d’hommes de tous âges, etc. L’équipe insiste bien sur le fait qu’il ne s’agit pas pour elle "d'évaluer ou de juger les pratiques, mais de recueillir des informations aussi authentiques que possibles, pour mieux comprendre la situation dans laquelle se trouvent les personnes séropositives".
Plus d’infos auprès d’Estelle Duval, membre de l’équipe, au 04 11 75 90 88 et sur estelle.duval "@" univ-montp1.fr

 

Commentaires

Portrait de sonia

Deux cas de figure dans cet énoncé; les personnes seropositives qui vont bien et font du sport Et les pvvih qui ne pratiquent aucune activité physique. D'après moi

  •  le type A est un bon seropo
  • le type B es soit un malade en phase terminale ou
  • un poëte maudit dans une mal-vie

SourireSourire venez venez venons venins

Portrait de madelin40

La démarche est intéressante, "in all respects". Les spécialistes de la maladie s'accordent à dire, depuis longtemps, que les séropositifs doivent devenir des athlètes sportifs (à développer). Tout dépend de la morphologie, de l'histoire de vie, de la psychologie... Ces enquêtes ne nous apprendrons jamais à mieux nous connaître; nous sommes seuls maîtres à bord.