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Mots clés  : Covid-19variants

Interview du Dr Bruno Coignard, Directeur maladies infectieuses, Santé Publique France

La circulation des variants d’intérêt anglais, sud africains et brésiliens est encore minoritaire sur le territoire français avec 14% des cas détectés au 27 janvier. Mais les risques de reprise épidémique, d’échappement immunitaire et vaccinal qu’ils représentent imposent à la France de renforcer rapidement leur surveillance génomique. Dans cette course contre les variants, les moyens mis en place en France sont-ils suffisants ? Le Docteur Bruno Coignard, directeur Maladies infectieuses à Santé Publique France fait un point de situation.

C'est ici :

https://www.jim.fr/medecin/actualites/pro_societe/e-docs/surveillance_de...

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Portrait de jl06

Variants sud-africain et brésilien : pourquoi la Moselle inquièteLe ministre de la Santé se rend ce vendredi en Moselle où plus de 300 cas qui pourraient être liés aux variants sud-africain et brésilien ont été repérés.

  • Le taux d’incidence, le nombre de cas de Covid-19 confirmés pour 100.000 habitants, atteignait 455 mardi dans les Alpes-Maritimes.
  • Le délégué départemental de l’ARS Paca a confirmé à 20 Minutes qu’un cas du variant sud-africain était à l’isolement à Juan-les-Pins.

Sont pas découragé pour partir en vacance ......a Nice !

Une file d'attente à l'aéroport Nice Côte d'Azur le 19 décembre 2020.

 

Portrait de jl06

Covid-19 : Attal prévient que des mesures locales peuvent être prises

Le porte-parole du gouvernement s'est exprimé juste avant un déplacement du ministre de la Santé, Olivier Veran, en Moselle, où la situation sanitaire inquiète.

 Vers un reconfinement local en Moselle ? «Rien n'est exclu», répond Gabriel Attal 

«On regarde en permanence quelle est la situation. S'il y a des mesures à prendre au niveau local, elles seront prises.» Vendredi 12 février au matin sur Europe 1, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a rappelé que l'épidémie «garde une forme d'imprévisibilité», soulignant que les «variants changent la donne».

Un rappel destiné en particulier au département de la Moselle, dans lequel se rend vendredi le ministre de la Santé, Olivier Veran, en raison, a-t-il expliqué de l'identification de «300 cas de mutations évocatrices de variants sud-africains et brésiliens ces quatre derniers jours». Alors qu'il y avait «déjà 200 cas supplémentaires identifiés les jours précédents». «Tout est possible, rien n’est exclu pour prendre les mesures destinées à limiter la propagation de ces variants», a insisté vendredi Gabriel Attal.

Plus tôt sur Sud Radio, le président LR de la région PACA, Renaud Muselier, est monté au créneau pour dénoncer la lenteur des autorités sanitaires sur la mise en place des tests salivaires dans sa région. Une solution qu'il défend avec vigueur et dont il craint une mise en place «que dans trois mois». «Ce sont toujours les mêmes qui décident de la même chose en se donnant raison a posteriori», s'est-il agacé, reconnaissant avoir «des problèmes avec les moyens de la santé» mais pas avec les ministres de l'Économie et du Travail, Bruno Le Maire et Elisabeth Borne. Alors que le maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a ouvert quatre musées de sa ville, Renaud Muselier a commenté : «Je ne suis pas pour la désobéissance civile mais pour la proposition permanente».