Portrait de

Le blog de balwin

Portrait de balwin
Publié par balwin le 13.02.2011
1 147 lectures
Bonjour, Merci à ceux qui m'ont fait du bien. Merci à ceux qui m'ont fait du mal ; c'est qu'ils m'ont fait beaucoup de bien avant. Je présente mes excuses à ceux que j'ai pu blesser. Je vous souhaite le meilleur. Ne vous enfermez pas trop dans la maladie, la vie même est chronique. Pour l'heure, je me replie sur moi-même une nouvelle fois et c'est sans doute la dernière. Mais, déjà, là, ça ne...
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Publié par balwin le 28.11.2010
451 lectures
http://www.youtube.com/watch?v=K9RNeEsj66Y&feature=related Une chanson qui a la chaleur des tavernes et des brasseries, le goût de la bière, comme on ne les trouve que dans le Nord et en Belgique, en Alsace sûrement, à Paris parfois, quand il fait froid, brumeux et noir dehors, quand des canaux une vapeur s'échappe comme pour en signaler la présence hostile et chaleureuse. Il y a le flamand...
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Publié par balwin le 14.11.2010
677 lectures
Merci à jean mcfr qui nous donne à voir qc de nature à remettre les pendules à l'heure et trouve toute sa place ici.
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Publié par balwin le 31.10.2010
3 656 lectures
Je viens de me voir nu. Le prix à payer pour vivre est trop monstrueux. C'est ignoble, ignoble. Ces lipodystrophies, non, là ça n'est plus possible. On ne peut pas vivre comme ça. Si vous vous y arrivez, je ne sais comment vous faites. Les médicaments sonts vraiment une m... sans nom. pharmakon en grec, c'est autant "remède" que "poison"; les Anciens voyaient juste. Déconcerté, angoissé,presque...
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Publié par balwin le 28.10.2010
996 lectures
Demain, je vais à l'hôpital. Un hôpital qui fut le théâtre d'une tragédie. Où j'ai raté l'Amour, m'en accusant jusqu'à sombrer dans cette angoisse de n'en avoir été l'artisan. Ce /n/ n'est pas négation; il permet souvent, en français, d'éloigner (symboliquement) les représentations qui nous sont intolérables: "Je crains de ne l'avoir raté." Je renouai lors avec les troubles de l'humeur, comme l'...
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Publié par balwin le 24.10.2010
1 115 lectures
Ainsi, je crois, sont estampillés les courriers néerlandais "écrire dit plus". Ecrire sur internet, c'est s'exposer au risque de la traçabilité. L'histoire se formant en boucles, il n'est pas dit que nous ne le payons pas un jour. Pourtant j'écris que toute ma vie j'ai cherché un lien pérenne que je n'étais pas capable de soutenir et que les hommes que j'ai aimés n'étaient pas davantage en mesure...
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Publié par balwin le 20.09.2010
436 lectures
Une femme, blanche celle-là, dont la famille profitera moins des Trente Glorieuses, a frôlé avant lui les épineux qu’il vient de franchir, engagé son pas sur les chemins qu’il a, à l’instant, parcourus ; l’enfant ne le sait pas –comment le pourrait-il savoir ? Ne lui imposons pas encore un devoir de mémoire. Il découvrira toujours trop tôt le désamour des hommes face à la différence, aussi bien...
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Publié par balwin le 20.09.2010
405 lectures
Il ne faut bien-sûr pas s’y tromper : Si cette seconde rupture est une rupture qui s’étend à chaque pan de ma vie ; si elle m’a fait brutalement prendre conscience que j’ai mûri, et, son corollaire, vieill ;. si j’ai réalisé que la jeunesse est bel et bien passée, me rapprochant plus sûrement de la sagesse et d’une valorisation du silence, que de la mort, il m’est arrivé d’encore souscrire à des...
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Publié par balwin le 20.09.2010
407 lectures
Cette histoire est celle d’un amour qui a occupé deux hommes, celle de l’amour qu’ils se sont porté, qu’is se sont toujours porté, et avant même de ne se rencontrer, et qu’ils se portent encore. Cet amour a constitué la trame de mon existence avant qu’il ne prenne le visage de Jacques. Cette trame s’est consolidée pendant les dix années qui suivirent une première rupture, le temps la construisant...
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Publié par balwin le 20.09.2010
383 lectures
< Pascal se considérait dans le seul miroir en sa possession. Les traitements, en déformant son corps, l’avaient plus sûrement isolé que la maladie. Il accordait peu de valeur à ce reflet qui n’était qu’un reflet, en tout cas bien moins qu’il n’en accordait à ce qu’il voyait dans les yeux d’autrui, et en particulier ce qu’il avait vu dans le regard de Jacques, cet homme en qui il avait cru,...