un sentier, d'un côté la falaise, l'océan, iroise, voilé de brume légère, une douceur arachnéenne noyant dans une même matière l'eau et l'air, tu me parles de François Dilasser, tu vois là un bateau-feu, moi je ne vois rien, tu es émerveillé, presque scandalisé par la beauté, c'est fou comme tu t'embrases, te passionnes, de l'autre côté du sentier des ronciers, j'imagine des monceaux de mûres,...